Assassin's Creed: Legend Killer.
Par : xPacifik
Genre : Action , Science-Fiction
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 1
Publié le 08/03/13 à 15:33:59 par xPacifik
« Aaron Pinsk, gronda une voix grave.
L’appelé sursauta, sortit de ses pensées. Il était resté assis sur cette chaise, éclairé par cette petite lumière aveuglante et brillante juste en face de lui, pendant longtemps. Il leva la tête doucement, sentant une légère courbature au niveau de la nuque.
Il plissa les yeux lorsque la lumière l’éblouit, et sentit la corde qui tenait ses poignets liés lui brûler la peau.
Le prisonnier tentait d’apercevoir quelqu’un derrière le rayon aveuglant du projecteur.
-Confirmez votre identité, gronda une nouvelle fois la voix.
-Montrez-vous, répliqua Aaron.
-Confirmez-vous votre identité ? trancha la voix.
-Oui, répondit Aaron après quelques secondes. Qui êtes-vous ?
-Vous savez très bien qui nous sommes, monsieur Pinsk.
-Que voulez-vous ?
-Des réponses.
Aaron entendit des pas derrière le projecteur. Il s’aperçut que celui-ci était posé sur une table métallique. Il regarda autour de lui et ne vit que des murs épais, en béton, et sous ses pieds nus, le même béton froid.
-Je n’ai rien à vous dire, reprit Aaron.
-Je crois que si, monsieur Pinsk.
Tout à coup, Aaron sentit son cœur battre, un sentiment de peur s’empara de lui, un sentiment qu’il n’avait pas ressenti depuis bien longtemps. Puis, d’une voix hésitante, il reprit :
-Je ne vois pas de quoi vous voulez parler…
-Je vois sur votre visage, monsieur Pinsk, que vous semblez comprendre ce à quoi je veux en venir.
D’un coup, l’interrogateur se leva en faisant racler sa chaise et éteignit le projecteur.
La pièce grise devint alors toute noire. Aaron balaya son regard autour de lui et n’aperçut aucun faisceau lumineux lui indiquant une sortie.
-Souvenez-vous, monsieur Pinsk Je sais que cela remonte à bien longtemps, pendant la guerre… Mais ce sont des choses que l’on n’oublie pas.
Un lourd silence pesa, puis l’homme reprit :
-Où sont-ils, monsieur Pinsk ?
-Où est quoi ? répondit Aaron, agacé.
-Ne jouez pas au plus malin avec moi. Nous pouvons retrouver votre famille, monsieur Pinsk, et vous savez que nous ne rigolons pas.
-Je les ai tous tués, tous les quatre. Vous aussi vous savez que je ne rigole pas.
-Vous aviez vingt ans de moins.
L’homme disait vrai. Lorsqu’il les avait assassinés, il était beaucoup plus jeune, plus svelte, plus fort. Il avait quitté l’ordre après avoir récupérer les deux artefacts, il avait dit adieux à cette vie de vengeance pour rester auprès des siens.
-Alors, monsieur Pinsk, où est cette Pomme ?
-Quelle Pomme ? provoqua Aaron.
Soudain, la lumière se ralluma et vint attaquer les yeux bleus du prisonnier juif.
Au moment où il tenta de les ouvrir, son interrogateur lui asséna un violent coup de poings.
Aaron tomba violemment au sol, la tête la première, tandis que sa chaise, qui avait accompagné la chute, vint doucement se loger sous ses côtes.
L’homme hurla, bavant presque au visage de l’inconscient :
-Celle que vous avez intercepté à Hitler alors qu’il devait la donner à Winston Churchill !
L’appelé sursauta, sortit de ses pensées. Il était resté assis sur cette chaise, éclairé par cette petite lumière aveuglante et brillante juste en face de lui, pendant longtemps. Il leva la tête doucement, sentant une légère courbature au niveau de la nuque.
Il plissa les yeux lorsque la lumière l’éblouit, et sentit la corde qui tenait ses poignets liés lui brûler la peau.
Le prisonnier tentait d’apercevoir quelqu’un derrière le rayon aveuglant du projecteur.
-Confirmez votre identité, gronda une nouvelle fois la voix.
-Montrez-vous, répliqua Aaron.
-Confirmez-vous votre identité ? trancha la voix.
-Oui, répondit Aaron après quelques secondes. Qui êtes-vous ?
-Vous savez très bien qui nous sommes, monsieur Pinsk.
-Que voulez-vous ?
-Des réponses.
Aaron entendit des pas derrière le projecteur. Il s’aperçut que celui-ci était posé sur une table métallique. Il regarda autour de lui et ne vit que des murs épais, en béton, et sous ses pieds nus, le même béton froid.
-Je n’ai rien à vous dire, reprit Aaron.
-Je crois que si, monsieur Pinsk.
Tout à coup, Aaron sentit son cœur battre, un sentiment de peur s’empara de lui, un sentiment qu’il n’avait pas ressenti depuis bien longtemps. Puis, d’une voix hésitante, il reprit :
-Je ne vois pas de quoi vous voulez parler…
-Je vois sur votre visage, monsieur Pinsk, que vous semblez comprendre ce à quoi je veux en venir.
D’un coup, l’interrogateur se leva en faisant racler sa chaise et éteignit le projecteur.
La pièce grise devint alors toute noire. Aaron balaya son regard autour de lui et n’aperçut aucun faisceau lumineux lui indiquant une sortie.
-Souvenez-vous, monsieur Pinsk Je sais que cela remonte à bien longtemps, pendant la guerre… Mais ce sont des choses que l’on n’oublie pas.
Un lourd silence pesa, puis l’homme reprit :
-Où sont-ils, monsieur Pinsk ?
-Où est quoi ? répondit Aaron, agacé.
-Ne jouez pas au plus malin avec moi. Nous pouvons retrouver votre famille, monsieur Pinsk, et vous savez que nous ne rigolons pas.
-Je les ai tous tués, tous les quatre. Vous aussi vous savez que je ne rigole pas.
-Vous aviez vingt ans de moins.
L’homme disait vrai. Lorsqu’il les avait assassinés, il était beaucoup plus jeune, plus svelte, plus fort. Il avait quitté l’ordre après avoir récupérer les deux artefacts, il avait dit adieux à cette vie de vengeance pour rester auprès des siens.
-Alors, monsieur Pinsk, où est cette Pomme ?
-Quelle Pomme ? provoqua Aaron.
Soudain, la lumière se ralluma et vint attaquer les yeux bleus du prisonnier juif.
Au moment où il tenta de les ouvrir, son interrogateur lui asséna un violent coup de poings.
Aaron tomba violemment au sol, la tête la première, tandis que sa chaise, qui avait accompagné la chute, vint doucement se loger sous ses côtes.
L’homme hurla, bavant presque au visage de l’inconscient :
-Celle que vous avez intercepté à Hitler alors qu’il devait la donner à Winston Churchill !
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