(FIC = fiction donc cette histoire est fictive)

Aujourd'hui, jour comme les autres, je me lève, je m'habille, je prends un croissant et je pars au bahut.
Après de longues minutes d'attente à l'arrêt de bus, il arriva enfin. Je n'avais pas mon pass Navigo et qu'1€60 sur moi... Donc, n'ayant pas de ticket, je stressais à chaque arrêt à cause des contrôleurs, c'est assez fréquent. Et là, qu'est-ce que je vois ? Pas un contrôleur mais une contrôleuse, une stagiaire je pense, elle devait avoir 16/17 ans. Ce genre de femme qui te fait oublier tous les thons et boudins que tu as pu vois auparavant. Elle était blonde, avait les yeux verts comme des émeraudes trônant sur une couronne. Elle était fine, grande, avait des jambes à n'en pas finir et des hanches enchanteresses. Elle me suivait du regard, peut-être savait-elle que je n'avais pas de ticket ou peut-être... Non, une beauté pareille ! Impossible ! C'était même impossible qu'elle m'ait regardé. Pendant qu'elle vérifiait le ticket d'une personne âgée qui ne le retrouvait pas, je sorti en douce par la porte avant. J'ai marché quelques mètres et j'ai senti quelque chose de froid sur mes poignets...des menottes ! Et merde !
-Où tu comptais aller comme ça toi ? Alors.... Julien Foché, bientôt 17 ans, les cheveux châtain clair, les yeux verts, non, c'est pour la police, au cas où.
-Bah j'habite juste à côté .
-C'est ça... Allez, je t'emmène au poste.
J'allais aller en prison, l'endroit où il ne faut jamais laisser tomber la savonnette (tu te baisses, je te turlupine l'anus ). Elle m'emmena dans une voiture noire, une Volkswagen Passat.
Arrivé au poste, elle me glissa quelque chose dans la poche mais j'étais entravé par les menottes. Juste avant d'entrer dans le bâtiment, elle me banda les yeux et m'emmena un peu plus loin et me chuchota :"changement de plan " à l'oreille puis elle m'emmena un peu plus loin. J'avais peur, je m'attendais à être violé , torturé , tué , mais non, je me suis retrouvé dans un appartement sympa, puis des lèvres joignirent les miennes et nos langues jouaient ensemble quelques secondes après.
Après de longs et tendre baisers, elle me dit de sortir son cadeau de ma poche...une capote ! Mais... j'étais encore puceau et... Mais, au fait, c'est qui cette fille ? On m'appliqua un chiffon mouillé sur mon nez sans que je ne puisse rien dire, et là, le trou noir...