Révolution!
Par : Conan
Genre : Action
Status : Terminée
Note :
Chapitre 40
Exfiltration.
Publié le 29/06/11 à 16:32:23 par Conan
***
La section O'Reilly à été prise à partie dans la station de métro Nation par des centaines de fantassins ennemis.
Ces derniers n'ont pas hésiter à tirer aveuglément en plein milieu de la foule et à lancer des grenades à fragmentation dans les couloirs étroits et grouillants de civils pour avoir des membres des Escadrons.
Dans ce chaos, Jack s'est retrouvé isolé du reste de son groupe avec deux de ses hommes. Ils courent dans les souterrains, traqués comme des bêtes par des mercenaires qui n'ont que l'argent en tête. Si ils devaient rapporter la tête d'un membre de l'ARF sur un plateau pour être payés, ils le feraient.
Jack se retrouve nez-à-nez avec cinq ennemis au détour d'un couloir. Il vide son chargeur dans leurs ventres à bout portant mais l'un d'entre eux parvient à lâcher une rafale qui le blesse au bras et tue un de ses commandos sur le coup.
Alertés par les tirs, d'autres ennemis accourent et manquent de tuer Jack qui s'engouffre dans un tunnel d'aération. Il rampe en sachant qu'il n'a que quelques secondes pour sortir de là avant que des loyalistes n'enfument les conduits. Il se sent piégé comme un renard dans son terrier. Pourtant, il ne lâche pas prise et continue d'avancer malgré son bras ensanglanté et les balles qui percent les parois d'aluminium tout autours.
Il arrive au dessus d'une loge de la RATP réquisitionnée par les loyalistes qui en ont fait un dépôt de munitions. Il met un coup de crosse dans la grille et demande une grenade à son subordonné qui le suit. Quand il l'eut dégoupillée, O'Reilly dit à son homme de commencer à rebrousser chemin. Il tend le bras au dessus de la loge et lâche la grenade.
En rampant aussi vite qu'il le peut pour faire demi-tour, il fait le décompte dans sa tête.
5
4
3
2
1
L'explosion résonne dans toute la station. Des flammes s'infiltrent dans le conduit et manquent de bruler les jambes de Jack. Il a les plans du métro en tête et dit à son commando devant lui de tourner à droite et de s'extirper du conduit à la prochaine intersection.
Comme il le pensait, les gardes postés aux sorties se sont précipités vers le lieu de l'explosion. Jack monte les quelques marches qui mènent à l'extérieur. Ils sont juste à coté de la place de la Nation qui est fortement gardée. La sortie va être délicate.
Lentement, les deux hommes en noir s'exfiltrent et marchent doucement vers une rue étroite apparemment calme. Hélas, une patrouille les remarque et donne l'alerte. Tandis que Jack retient les hommes avec un tir de couverture, son subordonné force la serrure d'une voiture et la fait démarrer en bidouillant les fils.
Les ennemis se font de plus en plus nombreux et Jack ne peux plus lever la tête. Caché derrière une camionnette, il tire au hasard avec son AK en surchauffe.
Le bruit du moteur l'interpelle. Il jette une grenade vers les mercenaires et court jusqu'à la voiture pour s'installer au volant.
Tandis qu'il appuie sur l'accélérateur, son gars, assis à la place du mort, arrose les ennemis de son FAL.
Une course-poursuite s'engage alors. Mais les 4x4 de l'armée beaucoup plus lourds ne rivalisent pas avec le moteur V6 de l'Audi.
Ils arrivent à un pont tenu par les loyalistes.
-Cramponne toi! Hurle Jack en lançant la voiture sur le barrage de l'armée.
Après avoir défoncé une barrière, il baisse la tête et traverse le pont à fond sous un feu nourri qui étoile le pare-brise, déchire les sièges et troue la carrosserie comme du gruyère.
Un nouveau fracas de barrière se fait entendre : ils sont de l'autre coté.
Jack sait que les loyalistes ne passeront pas le pont sans une force d'assaut écrasante et il ralenti une fois que la voiture est à l'abri des tirs.
Le moteur toussote et fume, deux pneus ont été crevés. L'Audi n'est plus qu'une carlingue. Jack pose la nuque sur son appuie tête déchiré et passe les mains sur son visage en riant nerveusement :
-Putain, on l'a fait mon gars.
Pas de réponse. Il tourne la tête vers son coéquipier. Celui-ci le regarde aussi. Fixement, les yeux grands ouverts. Il a un grand trou rouge en plein milieu du front.
Rapidement, des partisans sortis de nul part affluent autours de la voiture et aident Jack à sortir. Il a perdu beaucoup de sang et s'évanouit dans l'infirmerie de fortune.
***
Les Fantômes viennent de rentrer, sans trop de casse cette fois-ci. Les loyalistes venus secourir leurs collègues que nous avons attaqués à Reuilly ne s'attendaient pas à nous voir rappliquer de Bastoche. Ils n'ont pas eu le temps de réorganiser leurs défenses et se sont contentés de nous regarder d'un air ébahi passer en courant devant eux.
En revanche à Nation il nous a fallu jouer finement. Il y avait eu apparemment beaucoup de casse pour la section de Jack. J'ai récupéré quelques-uns de ses commandos qui s'étaient réfugiés dans des recoins et qui m'ont expliqué brièvement ce qu'il leur était arrivé. Nous sommes repassés par les tunnels encore privés de courant jusqu'à Bercy et avons traversé la voie ferrée suspendue par laquelle nous étions passés pour venir, non sans mal car les loyalistes étaient de nouveau en force à Bercy et nous ont copieusement arrosés depuis le sol. Mais nous n'avons eu au final que deux blessés légers sur le chemin du retour.
En arrivant à Austerlitz, nous avons été accueillis par Ritchie et Beaussant qui venait tout juste d'arriver. Il n'a pas eu trop de soucis. Arrivé à Nation, il est parti par les tunnels en direction de Vincennes, une ville limitrophe de Paris à l'est. Là-bas, ils n'ont croisé que quelques groupes de CRS qui n'ont vraisemblablement pas voulu engager le combat avec d'anciens collègues à eux, qui plus est surarmés et aussi alertes que des chats. Ils ont longé le périphérique en évitant les patrouilles militaires et sont rentrés dans Paris par le sud-est.
Ritchie m'apprend que Jack est arrivé par le pont de Sully, au centre de Paris. Il est blessé et sa section a été laminée. Les seuls survivants hormis Jack sont les neuf types que nous avons ramené.
Bien que Ritchie n'ait pas fait partie de l'expédition à cause de sa sale blessure à l'épaule, il a néanmoins effectué quelque chose d'intéressant. Après avoir rassemblé tous les membres de la Jeune Garde et les partisans qui n'étaient pas en état de combattre, il a commencé à leur faire creuser des tranchées et installer des barricades et postes de tir tout le long du boulevard Saint-Germain.
Le boulevard Saint-Germain est un grand axe routier reliant le quai d'Orsay au pont de Sully. En gros, il fait le tour du centre de Paris, coté rive gauche. Situé à quelques rues des principaux ponts de Paris, il est conçu de manière à former une poche autours d'eux.
-Sachant bien que nous ne pourrons pas tenir directement les ponts, nous allons former une bulle de protection autours d'eux et fortifier le tout afin d'encercler les ennemis qui voudraient nous envahir par le centre. Les pavés et le béton que nous enlèverons pour la construction de cette tranchée géante serviront à monter des barricades, voir des bunkers et des postes fortifiés si nous en avons le temps. J'ai prévu que les tranchées fassent au moins la largeur de la moitié du boulevard afin d'empêcher les blindés ennemis de la franchir et soient profondes de deux mètres cinquante. Les bords seront accessibles par des échelles ou des caisses que nous installerons tout le long. Les postes fortifiés seront construits face aux grands axes qui rejoignent le boulevard Saint Germain et qui sont des rues à risques car assez larges pour que les chars d'assaut et un grand nombre de fantassins ennemis puissent s'y engouffrer. Si la tranchée Saint-Germain voit le jour, nous aurons enfin une place forte au centre de Paris, ce qui nous manquait cruellement comme on a pu le constater lors de leur invasion. Nous explique Ritchie.
Je m'inquiète :
-Est-ce que les tranchées seront prêtes à temps? Et aurons-nous suffisamment de combattants et de matériel pour tenir la position?
-J'ai plus de deux-cent personnes qui son actuellement en train de commencer à creuser. A ce rythme, dans moins de deux semaines je pense que ça aura de la gueule. Il y aura deux à trois fois plus de combattants qui seront postés 24 heures sur 24 dans la future tranchée Saint-Germain.
-Et les abris seront-ils suffisants contre les attaques aériennes où les frappes d'artillerie? Demande Beaussant.
-Non, c'est pour ça que j'ai prévu que dans les zones les moins risquées, en gros celles qui ne font fasse à aucune rue, de faire des abris souterrains.
-Tu veux dire que certaines zones de la tranchée seront recouvertes?
-Affirmatif. On creusera des tunnels à certains endroits pour que les types s'y réfugient en cas d'attaques venues du ciel.
Ritchie semble sûr de son plan. J'ai envie d'y croire, même si la construction en moins de deux semaines d'une tranchée de plus de trois kilomètres de long, espacée par des tunnels et parsemée de bunkers est un peu folle pour des Communards. Maintenant, allons voir Jack.
http://s3.noelshack.com/upload/6181867141461_bd_st_germain.png
____________________________________
Quelque chose sans aucun rapport avec le chapitre mais qui convient plutôt bien de près ou de loin avec le thème de la fiction :
La section O'Reilly à été prise à partie dans la station de métro Nation par des centaines de fantassins ennemis.
Ces derniers n'ont pas hésiter à tirer aveuglément en plein milieu de la foule et à lancer des grenades à fragmentation dans les couloirs étroits et grouillants de civils pour avoir des membres des Escadrons.
Dans ce chaos, Jack s'est retrouvé isolé du reste de son groupe avec deux de ses hommes. Ils courent dans les souterrains, traqués comme des bêtes par des mercenaires qui n'ont que l'argent en tête. Si ils devaient rapporter la tête d'un membre de l'ARF sur un plateau pour être payés, ils le feraient.
Jack se retrouve nez-à-nez avec cinq ennemis au détour d'un couloir. Il vide son chargeur dans leurs ventres à bout portant mais l'un d'entre eux parvient à lâcher une rafale qui le blesse au bras et tue un de ses commandos sur le coup.
Alertés par les tirs, d'autres ennemis accourent et manquent de tuer Jack qui s'engouffre dans un tunnel d'aération. Il rampe en sachant qu'il n'a que quelques secondes pour sortir de là avant que des loyalistes n'enfument les conduits. Il se sent piégé comme un renard dans son terrier. Pourtant, il ne lâche pas prise et continue d'avancer malgré son bras ensanglanté et les balles qui percent les parois d'aluminium tout autours.
Il arrive au dessus d'une loge de la RATP réquisitionnée par les loyalistes qui en ont fait un dépôt de munitions. Il met un coup de crosse dans la grille et demande une grenade à son subordonné qui le suit. Quand il l'eut dégoupillée, O'Reilly dit à son homme de commencer à rebrousser chemin. Il tend le bras au dessus de la loge et lâche la grenade.
En rampant aussi vite qu'il le peut pour faire demi-tour, il fait le décompte dans sa tête.
5
4
3
2
1
L'explosion résonne dans toute la station. Des flammes s'infiltrent dans le conduit et manquent de bruler les jambes de Jack. Il a les plans du métro en tête et dit à son commando devant lui de tourner à droite et de s'extirper du conduit à la prochaine intersection.
Comme il le pensait, les gardes postés aux sorties se sont précipités vers le lieu de l'explosion. Jack monte les quelques marches qui mènent à l'extérieur. Ils sont juste à coté de la place de la Nation qui est fortement gardée. La sortie va être délicate.
Lentement, les deux hommes en noir s'exfiltrent et marchent doucement vers une rue étroite apparemment calme. Hélas, une patrouille les remarque et donne l'alerte. Tandis que Jack retient les hommes avec un tir de couverture, son subordonné force la serrure d'une voiture et la fait démarrer en bidouillant les fils.
Les ennemis se font de plus en plus nombreux et Jack ne peux plus lever la tête. Caché derrière une camionnette, il tire au hasard avec son AK en surchauffe.
Le bruit du moteur l'interpelle. Il jette une grenade vers les mercenaires et court jusqu'à la voiture pour s'installer au volant.
Tandis qu'il appuie sur l'accélérateur, son gars, assis à la place du mort, arrose les ennemis de son FAL.
Une course-poursuite s'engage alors. Mais les 4x4 de l'armée beaucoup plus lourds ne rivalisent pas avec le moteur V6 de l'Audi.
Ils arrivent à un pont tenu par les loyalistes.
-Cramponne toi! Hurle Jack en lançant la voiture sur le barrage de l'armée.
Après avoir défoncé une barrière, il baisse la tête et traverse le pont à fond sous un feu nourri qui étoile le pare-brise, déchire les sièges et troue la carrosserie comme du gruyère.
Un nouveau fracas de barrière se fait entendre : ils sont de l'autre coté.
Jack sait que les loyalistes ne passeront pas le pont sans une force d'assaut écrasante et il ralenti une fois que la voiture est à l'abri des tirs.
Le moteur toussote et fume, deux pneus ont été crevés. L'Audi n'est plus qu'une carlingue. Jack pose la nuque sur son appuie tête déchiré et passe les mains sur son visage en riant nerveusement :
-Putain, on l'a fait mon gars.
Pas de réponse. Il tourne la tête vers son coéquipier. Celui-ci le regarde aussi. Fixement, les yeux grands ouverts. Il a un grand trou rouge en plein milieu du front.
Rapidement, des partisans sortis de nul part affluent autours de la voiture et aident Jack à sortir. Il a perdu beaucoup de sang et s'évanouit dans l'infirmerie de fortune.
***
Les Fantômes viennent de rentrer, sans trop de casse cette fois-ci. Les loyalistes venus secourir leurs collègues que nous avons attaqués à Reuilly ne s'attendaient pas à nous voir rappliquer de Bastoche. Ils n'ont pas eu le temps de réorganiser leurs défenses et se sont contentés de nous regarder d'un air ébahi passer en courant devant eux.
En revanche à Nation il nous a fallu jouer finement. Il y avait eu apparemment beaucoup de casse pour la section de Jack. J'ai récupéré quelques-uns de ses commandos qui s'étaient réfugiés dans des recoins et qui m'ont expliqué brièvement ce qu'il leur était arrivé. Nous sommes repassés par les tunnels encore privés de courant jusqu'à Bercy et avons traversé la voie ferrée suspendue par laquelle nous étions passés pour venir, non sans mal car les loyalistes étaient de nouveau en force à Bercy et nous ont copieusement arrosés depuis le sol. Mais nous n'avons eu au final que deux blessés légers sur le chemin du retour.
En arrivant à Austerlitz, nous avons été accueillis par Ritchie et Beaussant qui venait tout juste d'arriver. Il n'a pas eu trop de soucis. Arrivé à Nation, il est parti par les tunnels en direction de Vincennes, une ville limitrophe de Paris à l'est. Là-bas, ils n'ont croisé que quelques groupes de CRS qui n'ont vraisemblablement pas voulu engager le combat avec d'anciens collègues à eux, qui plus est surarmés et aussi alertes que des chats. Ils ont longé le périphérique en évitant les patrouilles militaires et sont rentrés dans Paris par le sud-est.
Ritchie m'apprend que Jack est arrivé par le pont de Sully, au centre de Paris. Il est blessé et sa section a été laminée. Les seuls survivants hormis Jack sont les neuf types que nous avons ramené.
Bien que Ritchie n'ait pas fait partie de l'expédition à cause de sa sale blessure à l'épaule, il a néanmoins effectué quelque chose d'intéressant. Après avoir rassemblé tous les membres de la Jeune Garde et les partisans qui n'étaient pas en état de combattre, il a commencé à leur faire creuser des tranchées et installer des barricades et postes de tir tout le long du boulevard Saint-Germain.
Le boulevard Saint-Germain est un grand axe routier reliant le quai d'Orsay au pont de Sully. En gros, il fait le tour du centre de Paris, coté rive gauche. Situé à quelques rues des principaux ponts de Paris, il est conçu de manière à former une poche autours d'eux.
-Sachant bien que nous ne pourrons pas tenir directement les ponts, nous allons former une bulle de protection autours d'eux et fortifier le tout afin d'encercler les ennemis qui voudraient nous envahir par le centre. Les pavés et le béton que nous enlèverons pour la construction de cette tranchée géante serviront à monter des barricades, voir des bunkers et des postes fortifiés si nous en avons le temps. J'ai prévu que les tranchées fassent au moins la largeur de la moitié du boulevard afin d'empêcher les blindés ennemis de la franchir et soient profondes de deux mètres cinquante. Les bords seront accessibles par des échelles ou des caisses que nous installerons tout le long. Les postes fortifiés seront construits face aux grands axes qui rejoignent le boulevard Saint Germain et qui sont des rues à risques car assez larges pour que les chars d'assaut et un grand nombre de fantassins ennemis puissent s'y engouffrer. Si la tranchée Saint-Germain voit le jour, nous aurons enfin une place forte au centre de Paris, ce qui nous manquait cruellement comme on a pu le constater lors de leur invasion. Nous explique Ritchie.
Je m'inquiète :
-Est-ce que les tranchées seront prêtes à temps? Et aurons-nous suffisamment de combattants et de matériel pour tenir la position?
-J'ai plus de deux-cent personnes qui son actuellement en train de commencer à creuser. A ce rythme, dans moins de deux semaines je pense que ça aura de la gueule. Il y aura deux à trois fois plus de combattants qui seront postés 24 heures sur 24 dans la future tranchée Saint-Germain.
-Et les abris seront-ils suffisants contre les attaques aériennes où les frappes d'artillerie? Demande Beaussant.
-Non, c'est pour ça que j'ai prévu que dans les zones les moins risquées, en gros celles qui ne font fasse à aucune rue, de faire des abris souterrains.
-Tu veux dire que certaines zones de la tranchée seront recouvertes?
-Affirmatif. On creusera des tunnels à certains endroits pour que les types s'y réfugient en cas d'attaques venues du ciel.
Ritchie semble sûr de son plan. J'ai envie d'y croire, même si la construction en moins de deux semaines d'une tranchée de plus de trois kilomètres de long, espacée par des tunnels et parsemée de bunkers est un peu folle pour des Communards. Maintenant, allons voir Jack.
http://s3.noelshack.com/upload/6181867141461_bd_st_germain.png
____________________________________
Quelque chose sans aucun rapport avec le chapitre mais qui convient plutôt bien de près ou de loin avec le thème de la fiction :
06/07/11 à 19:25:44
Problème résolu!
06/07/11 à 01:05:24
J'ai comme qui dirait l'impression qu'il s'est volatilisé. Je n'ai reçu aucun message de l'admin et je ne vois pas ce qui aurait pu être hors-charte dans cette partie. C'est un peu le flou total mais dès que cette fic est finie je reposte Nous Sommes leur Pire Cauchemar.
06/07/11 à 00:06:35
Euuh... J'me rends compte d'un truc là... Où est passée "nous sommes leur pire cauchemar"?
06/07/11 à 00:04:06
Owii
Vous devez être connecté pour poster un commentaire