Des ombres au 'Nam
Par : Yankee-Six
Genre : Action
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 2
L'arrivée au camp
Publié le 16/12/12 à 22:21:39 par Yankee-Six
28 Octobre 1967
Ta Lai, Sud-Vietnam
Trois heures de vol, mon magazine touchait à sa fin, il était temps de délier les langues histoire de ce sociabiliser un peu.
« Vous embarquez pour le groupe A-302 ?
– Ouais. Enfin on va plutôt dire que je réembarque.
– Alors vous avez combattu à la frontière Cambodgienne ? Comment ça se passe là-bas ?
– Comment vous expliquer ça… Vous prenez un Charlie, vous lui enlevez un bras, et vous le laissez tirer avec une AK en automatique.
– Ils sont si nuls que ça ?
– Même pire ! Mais on compense ça avec la nullité des montagnards. Combien de fois ces connards ont tirés sur nous et leurs propres gars ? On ne le compte plus, mais craignez plus les LLDB que les Gooks du Cambodge !
– J’imagine que vous êtes le sergent Mercer ?
– Ouais, de retour au combat après deux mois à Saigon et deux autres à former l’ARVN… C’était tellement chiant que je voulais retrouver un peu l’action.
Ce mec avait l’air assez dingue dans sa tête, mais c’était un peu ce que j’aimais bien chez lui. Un taré est capable de te sortir des pires situations, contrairement aux fiottes qui restent planqué sous leurs casques à attendre que ça se passe.
– Alors on s’est tous les deux fait chier à Saigon ! Et tu connais les gars du groupe où ils se sont tous barrés ?
– J’ai appris la mort du sergent-chef Andrews, mais notre mitrailleur, le sergent Mitchell m’a dit que le reste est toujours là. Tous des cons, mais bon on s’y fait à voir leur sale gueule tous les matins. Et vous vous êtes le Sergent-Chef Ryan Hastings ?
– C’est ça, je reviens de quatre mois d’hosto et quatre mois de baise à Saigon. Mais bon à part picoler, niquer, et jouer au Poker, on se lassait très vite. Je pensais qu’ils allaient me renvoyer dans ma Californie mais me voilà dans ce trou paumé que je ne connais même pas. J’espère qu’on fera du bon boulot ensemble. »
Le pilote nous coupa en annonçant l’arrivée au camp. Je vis le sol se rapprocher gracieusement. Un homme agitait les bras, jusqu’à l’immobilisation du véhicule et les croisa. Sous la puissance du rotor et de l’hélice principale, l’herbe se couchait et la terre voltigeait à plusieurs mètres de la zone d’atterrissage. Je remis mon sac sur l’épaule, et descendis de la bête. Mes cheveux bruns s’agitaient dans tous les sens. Le bonhomme qui guidait l’atterrissage du Huey vint à ma rencontre et me serra la main.
« Sergent-Chef Hastings, je suis le sergent Frank Black artificier du groupe A-302. Rendez-vous au Mess des Bérets Verts. Le capitaine Bakersfield veut vous voir d’urgence. C’est la grosse tente avec un étendard de pirate, vous pouvez pas le louper.
– Merci Frank, j’y vais tout de suite.
– Hey Boomer ! Toujours dans cette merde de Ta Lai ? plaisanta Mercer en mettant un petit coup dans l’épaule de Frank.
– Salopard ! Des vacances gratuites au frais de… »
Je laissai l’artificier et le radioman discuter entre eux, tandis que j’allais me faire connaitre dans le bureau du capitaine. Je croisai pas mal de montagnards dans nos tenues aux camouflages Tiger Stripes, en fait y avait pratiquement que des jaunes dans ce camp ! C’était assez flippant de se dire que parmi eux y avait peut-être des infiltrés… Je n’étais pas tranquille et ça commençait déjà à me les briser. Après avoir marché une petite minute, je pénétrai dans cette gigantesque tente, renfermant bureau, tableau de briefing, et des machines à écrire… le parfait paradis de bureaucrate de combat. Enfin bref, il y avait un homme, aux cheveux poivrés sels légèrement cachés par une casquette d’officier, qui semblait planifier quelque chose. Je l’apostrophai d’un timide « Capitaine Bakersfield ? » Il se retourna et dit :
« Sergent-Chef Ryan Hastings n’est-ce pas ?
– C’est exact mon capitaine.
– Bien ! J’espère que le vol ne fut pas trop pénible. Le camp est un peu sur le pied de guerre ces temps-ci depuis la disparition d’un groupe de LLDB, et le commandement Sud-Vietnamien est à fleur de peau. Je ne vous cache pas, que c’est un vrai soulagement de vous avoir avec nous pour prendre la tête d’un groupe qui était presque inactif depuis une semaine.
– Avec plaisir capitaine, je m’emmerdais beaucoup trop à Saigon.
– J’imagine bien sergent. Allez poser vos affaires dans votre chambre dans la tranchée numéro seize derrière cette tente, et allez rencontrer le reste de votre équipe, ils sont au champ de tir avec quelques montagnards.
– Bien capitaine… »
Capitaine par ci, sergent, par la… La vie militaire c’est assez chiant parfois ! Mais bon fallait pas s’en plaindre, parce que sinon c’était le peloton d’exécution ! Ça doit faire huit mois que je n’avais pas touché un fusil, j’espérais ne pas être trop rouillé et avoir le même niveau que les jaunes. Je descendis dans une tranchée ou se trouvait ma chambre. J’avais un bureau avec une machine à écrire, une radio et une lampe, une étagère avec des documents, et en guise de lit, un pauvre matelas posé à même le sol. Je jetai mon sac d’affaire dessus et je sortis de ma piaule. J’entendais des tirs un peu plus loin sur ma droite. Je me dirigeai vers ces derniers. Il venait d’une sorte de stand de foire avec des canettes posées sur des bancs un peu plus loin. Les LLDB les prenaient pour cible sous les yeux avisés de mes gars. En parlant de mes gars, y avait un gaillard d’un mètre quatre-vingt-dix avec une M60 sur l’épaule qui faisait la leçon à l’un des jeunes, tout en mâchant son tabac à chiquer.
« Mais mec tu sors d’où la ? T’as vu la taille de ton putain de flingue ? Tu crois que tu vas canarder du communiste en restant appuyé sur la gâchette ? Prend le temps d’ajuster ta cible mec ! Et là tu vas voir comment cette putain de canette communiste qui a épinglé toute ta famille va voler en éclat cousin !
– Ton accent de redneck est à vomir mon gars ! T’es le sergent Mitchell ? Je suis le sergent-chef Ryan Hastings, votre nouveau chef de section. dis-je d’un air amusé.
– Excusez-moi sergent ! Mais ces viets ils savent pas tirer et ils nous gaspillent les munitions. C’est pas comme si on nous envoie du ravitaillement tous les jours v’savez ?
– Non je comprends, mais franchement vous les faites tirer qu’avec ses antiquités de Thompson ?
– On fait avec ce que l’oncle Sam nous envoie pour buter l’oncle Ho ! Et nos M16 ou autres AR-15 aux mains de ces mecs ça va pas le faire ! »
Nous rigolions tous les deux, sous les regards ahuri de deux montagnards qui devaient nous prendre pour des connards. Un peu plus loin, y avait un autre gars avec un chapeau Boonie, de la même carrure que moi, blond aux yeux verts qui faisait un cours sur les munitions à deux pauvres types.
« Vous avez des calibres .45 dans les mains. Les fils de chien de l’oncle Ho possèdent des munitions beaucoup plus puissantes appelées 7.62. Alors oui, ils ont le plus gros machin que vos petites bites d’asiat, mais contrairement à eux, vous saurez vous en servir. Et je peux vous jurer qu’ils sentiront bien votre petite bite dans leurs putains de cul ! Vous leur donnerez le plaisir de les renvoyer chez leurs mères, alors que ces salauds ne vous le donnerons pas ! Bon. Quartier libre pour le moment, mais gardez bien en tête qu’on va les bouter ces foutus communistes !
– Un sacré discours de coach ! applaudissais-je derrière lui, c’est quoi ton nom ?
– Sergent Taylor Gryffin, artificier en second et approvisionneur du groupe A-302.
– Bien, je suis votre nouveau chef de section sergent-chef Ryan Hastings. C’est sur Black et toi que je dois compter pour éclater la piste Ho-Chi-Minh ?
– Ouais, et aussi pour vous réapprovisionner en munitions pendant les combats. Vous inquiétez pas, l’équipe assure bien le boulot généralement, quoique parfois Mitchell il est un peu…
– Roh ta gueule Griff ! Vous inquiétez pas chef, il aime bien cirer les pompes des supérieurs !
– Mais va te faire…
– Du calme les enfants ! Ne vous battez pas pour moi ! Vous savez ou je peux trouver le Doc de l’unité ? Je me suis pas présenté à lui et…
– Bah le voilà dans la jeep avec le capitaine justement ! désignait Gryffin en les pointant du doigt.
– Hastings ! Venez avec le sergent Price et moi-même, on vous emmène voir le chef du village de Ta Lai.
– J’arrive capitaine. Je vous laisse les gars, et pas de baston entre temps !
– Okay boss ! » acquiesçait Mitchell en me donnant un AR-15 un peu rouillé.
A peine j’arrivai dans ce trou, que c’était parti pour une petite escapade dans la jungle. J’espérais que ce serait tranquille, mais… je me trompai lourdement…
Ta Lai, Sud-Vietnam
Trois heures de vol, mon magazine touchait à sa fin, il était temps de délier les langues histoire de ce sociabiliser un peu.
« Vous embarquez pour le groupe A-302 ?
– Ouais. Enfin on va plutôt dire que je réembarque.
– Alors vous avez combattu à la frontière Cambodgienne ? Comment ça se passe là-bas ?
– Comment vous expliquer ça… Vous prenez un Charlie, vous lui enlevez un bras, et vous le laissez tirer avec une AK en automatique.
– Ils sont si nuls que ça ?
– Même pire ! Mais on compense ça avec la nullité des montagnards. Combien de fois ces connards ont tirés sur nous et leurs propres gars ? On ne le compte plus, mais craignez plus les LLDB que les Gooks du Cambodge !
– J’imagine que vous êtes le sergent Mercer ?
– Ouais, de retour au combat après deux mois à Saigon et deux autres à former l’ARVN… C’était tellement chiant que je voulais retrouver un peu l’action.
Ce mec avait l’air assez dingue dans sa tête, mais c’était un peu ce que j’aimais bien chez lui. Un taré est capable de te sortir des pires situations, contrairement aux fiottes qui restent planqué sous leurs casques à attendre que ça se passe.
– Alors on s’est tous les deux fait chier à Saigon ! Et tu connais les gars du groupe où ils se sont tous barrés ?
– J’ai appris la mort du sergent-chef Andrews, mais notre mitrailleur, le sergent Mitchell m’a dit que le reste est toujours là. Tous des cons, mais bon on s’y fait à voir leur sale gueule tous les matins. Et vous vous êtes le Sergent-Chef Ryan Hastings ?
– C’est ça, je reviens de quatre mois d’hosto et quatre mois de baise à Saigon. Mais bon à part picoler, niquer, et jouer au Poker, on se lassait très vite. Je pensais qu’ils allaient me renvoyer dans ma Californie mais me voilà dans ce trou paumé que je ne connais même pas. J’espère qu’on fera du bon boulot ensemble. »
Le pilote nous coupa en annonçant l’arrivée au camp. Je vis le sol se rapprocher gracieusement. Un homme agitait les bras, jusqu’à l’immobilisation du véhicule et les croisa. Sous la puissance du rotor et de l’hélice principale, l’herbe se couchait et la terre voltigeait à plusieurs mètres de la zone d’atterrissage. Je remis mon sac sur l’épaule, et descendis de la bête. Mes cheveux bruns s’agitaient dans tous les sens. Le bonhomme qui guidait l’atterrissage du Huey vint à ma rencontre et me serra la main.
« Sergent-Chef Hastings, je suis le sergent Frank Black artificier du groupe A-302. Rendez-vous au Mess des Bérets Verts. Le capitaine Bakersfield veut vous voir d’urgence. C’est la grosse tente avec un étendard de pirate, vous pouvez pas le louper.
– Merci Frank, j’y vais tout de suite.
– Hey Boomer ! Toujours dans cette merde de Ta Lai ? plaisanta Mercer en mettant un petit coup dans l’épaule de Frank.
– Salopard ! Des vacances gratuites au frais de… »
Je laissai l’artificier et le radioman discuter entre eux, tandis que j’allais me faire connaitre dans le bureau du capitaine. Je croisai pas mal de montagnards dans nos tenues aux camouflages Tiger Stripes, en fait y avait pratiquement que des jaunes dans ce camp ! C’était assez flippant de se dire que parmi eux y avait peut-être des infiltrés… Je n’étais pas tranquille et ça commençait déjà à me les briser. Après avoir marché une petite minute, je pénétrai dans cette gigantesque tente, renfermant bureau, tableau de briefing, et des machines à écrire… le parfait paradis de bureaucrate de combat. Enfin bref, il y avait un homme, aux cheveux poivrés sels légèrement cachés par une casquette d’officier, qui semblait planifier quelque chose. Je l’apostrophai d’un timide « Capitaine Bakersfield ? » Il se retourna et dit :
« Sergent-Chef Ryan Hastings n’est-ce pas ?
– C’est exact mon capitaine.
– Bien ! J’espère que le vol ne fut pas trop pénible. Le camp est un peu sur le pied de guerre ces temps-ci depuis la disparition d’un groupe de LLDB, et le commandement Sud-Vietnamien est à fleur de peau. Je ne vous cache pas, que c’est un vrai soulagement de vous avoir avec nous pour prendre la tête d’un groupe qui était presque inactif depuis une semaine.
– Avec plaisir capitaine, je m’emmerdais beaucoup trop à Saigon.
– J’imagine bien sergent. Allez poser vos affaires dans votre chambre dans la tranchée numéro seize derrière cette tente, et allez rencontrer le reste de votre équipe, ils sont au champ de tir avec quelques montagnards.
– Bien capitaine… »
Capitaine par ci, sergent, par la… La vie militaire c’est assez chiant parfois ! Mais bon fallait pas s’en plaindre, parce que sinon c’était le peloton d’exécution ! Ça doit faire huit mois que je n’avais pas touché un fusil, j’espérais ne pas être trop rouillé et avoir le même niveau que les jaunes. Je descendis dans une tranchée ou se trouvait ma chambre. J’avais un bureau avec une machine à écrire, une radio et une lampe, une étagère avec des documents, et en guise de lit, un pauvre matelas posé à même le sol. Je jetai mon sac d’affaire dessus et je sortis de ma piaule. J’entendais des tirs un peu plus loin sur ma droite. Je me dirigeai vers ces derniers. Il venait d’une sorte de stand de foire avec des canettes posées sur des bancs un peu plus loin. Les LLDB les prenaient pour cible sous les yeux avisés de mes gars. En parlant de mes gars, y avait un gaillard d’un mètre quatre-vingt-dix avec une M60 sur l’épaule qui faisait la leçon à l’un des jeunes, tout en mâchant son tabac à chiquer.
« Mais mec tu sors d’où la ? T’as vu la taille de ton putain de flingue ? Tu crois que tu vas canarder du communiste en restant appuyé sur la gâchette ? Prend le temps d’ajuster ta cible mec ! Et là tu vas voir comment cette putain de canette communiste qui a épinglé toute ta famille va voler en éclat cousin !
– Ton accent de redneck est à vomir mon gars ! T’es le sergent Mitchell ? Je suis le sergent-chef Ryan Hastings, votre nouveau chef de section. dis-je d’un air amusé.
– Excusez-moi sergent ! Mais ces viets ils savent pas tirer et ils nous gaspillent les munitions. C’est pas comme si on nous envoie du ravitaillement tous les jours v’savez ?
– Non je comprends, mais franchement vous les faites tirer qu’avec ses antiquités de Thompson ?
– On fait avec ce que l’oncle Sam nous envoie pour buter l’oncle Ho ! Et nos M16 ou autres AR-15 aux mains de ces mecs ça va pas le faire ! »
Nous rigolions tous les deux, sous les regards ahuri de deux montagnards qui devaient nous prendre pour des connards. Un peu plus loin, y avait un autre gars avec un chapeau Boonie, de la même carrure que moi, blond aux yeux verts qui faisait un cours sur les munitions à deux pauvres types.
« Vous avez des calibres .45 dans les mains. Les fils de chien de l’oncle Ho possèdent des munitions beaucoup plus puissantes appelées 7.62. Alors oui, ils ont le plus gros machin que vos petites bites d’asiat, mais contrairement à eux, vous saurez vous en servir. Et je peux vous jurer qu’ils sentiront bien votre petite bite dans leurs putains de cul ! Vous leur donnerez le plaisir de les renvoyer chez leurs mères, alors que ces salauds ne vous le donnerons pas ! Bon. Quartier libre pour le moment, mais gardez bien en tête qu’on va les bouter ces foutus communistes !
– Un sacré discours de coach ! applaudissais-je derrière lui, c’est quoi ton nom ?
– Sergent Taylor Gryffin, artificier en second et approvisionneur du groupe A-302.
– Bien, je suis votre nouveau chef de section sergent-chef Ryan Hastings. C’est sur Black et toi que je dois compter pour éclater la piste Ho-Chi-Minh ?
– Ouais, et aussi pour vous réapprovisionner en munitions pendant les combats. Vous inquiétez pas, l’équipe assure bien le boulot généralement, quoique parfois Mitchell il est un peu…
– Roh ta gueule Griff ! Vous inquiétez pas chef, il aime bien cirer les pompes des supérieurs !
– Mais va te faire…
– Du calme les enfants ! Ne vous battez pas pour moi ! Vous savez ou je peux trouver le Doc de l’unité ? Je me suis pas présenté à lui et…
– Bah le voilà dans la jeep avec le capitaine justement ! désignait Gryffin en les pointant du doigt.
– Hastings ! Venez avec le sergent Price et moi-même, on vous emmène voir le chef du village de Ta Lai.
– J’arrive capitaine. Je vous laisse les gars, et pas de baston entre temps !
– Okay boss ! » acquiesçait Mitchell en me donnant un AR-15 un peu rouillé.
A peine j’arrivai dans ce trou, que c’était parti pour une petite escapade dans la jungle. J’espérais que ce serait tranquille, mais… je me trompai lourdement…
18/12/12 à 20:02:12
M-M-M-M-Monster FAKE !
18/12/12 à 19:32:17
Les miens ne sont que des ébauches, chacune ajoutant sa pierre, sa petite empreinte pour une véritable oeuvre en chantier. :troll:
18/12/12 à 12:44:23
Challenge Accepted !
Tu peux parler Hell, parce que j'ai jamais vu beaucoup de fin a tes textes :troll:
17/12/12 à 23:47:40
Il ne finira pas le texte de toutes façons. :troll:
17/12/12 à 22:03:48
Non mais n'importe quoi
17/12/12 à 19:01:17
Non mais t'as raison je suis un couillon, et un putain de gros looser !
17/12/12 à 18:30:02
Arrête toi tout de suite, mec, c'est comme toutes tes fics, c'est de la merde
:troll:
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