The Traveller
Par : Snake-suicide
Genre : Polar , Fantastique
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 1
Publié le 11/10/12 à 21:05:02 par Snake-suicide
9 août 1969, dans la soirée
Garé près du Cielo Drive de Benedict Canyon, un superbe endroit qui surplombe Beverly Hills, une zone pour star... Il fera bientôt nuit et cette date marquera la fin de l'innocence des années 60 de triste manière enfin... C'est tout du moins ce qu'il c'est passé dans ma ligne temporelle et ce que je me suis chargé de modifier, tout du moins en partie... Certaines choses doivent se passer... Je regarde ma montre, ma concentration est maximale, je n'aurais le droit qu'à une seule chance.
Le véhicule arrive avec les quatre pourritures de la Manson Family... Je reste dans la voiture et dégaine les jumelles pour observer l'action. Charles Watson, surnommé Tex, sort en premier du véhicule, il se charge de grimper au poteau électrique pour couper les fils et priver la propriété de téléphone... Les deux femmes, Susan Atkins et Patricia Krewinkel, sortent à leurs tours et passent par au-dessus la clôture. Dans quelques secondes, ils seront surpris par le jeune Steven Parent, 18 ans, je ne pourrais pas le sauver... Dommage collatéral, il doit y en avoir un, si j'interviens maintenant, l'histoire ne se sera pas assez marquante, l'insouciance sera encore présente et les gens dormiront encore avec la porte de leur propriété ouverte et ce genre de crime recommencera. Sauver des vies, oui, mais il y a une bonne manière de le faire.
Quatre coups sourds résonnent, c'est fini, paix à ton âme Steven.
Linda Kasabian, la dernière du groupe, reste dehors faire le guet
Il est temps pour moi d'agir.
J'enfile mes gants en cuir noir d'auto défense et les resserrent avec la petite languette rattachée au bouton, la froideur de la matière suivit du petit couinement et des craquements des grains de sable au niveau des doigts lorsque je les plie me donne un peu d'adrénaline.
Je descends du véhicule et referme doucement la portière, je n'ai pas fait de fioriture pour ce soir, un sweat à capuche noire avec un gilet pare-balle en kevlar dessous, un pantalon militaire en camouflage urbain avec un renforcement au niveau des genoux, de simples rangers noirs et pour finir une cagoule noire laissant ma bouche, mon nez et mes yeux apparents. Malgré la chaleur de la nuit, cet équipement est nécessaire, pour mon bien et pour celui de ma mission. Je traverse la route et passe par au-dessus la clôture avant que la femme ne puisse me voir. Arriver dans son dos n'est pas une difficulté, j'entoure mes bras autour de sa tête et lui brise la nuque d'un mouvement sec et laisse son corps tomber lourdement à terre.
Je ne m'attarde pas sur le corps du jeune homme gisant dans son sang à côté de son véhicule.
Les hurlements résonnent déjà, je fais le tour de la maison, un coup d'oeil à la piscine me donne encore plus chaud, je sens les gouttes de transpirations perler sur mon visage, mais il y a plus urgent.
Même la porte de derrière n'est pas verrouillée, je lâche un soupir exaspéré et rentre. Ils sont réunis au salon, bourreaux et victimes. Le tableau électrique est juste à côté de moi, voilà une aubaine.
J'entends les voix, elles sont inquiètes, Tex envoi l'une des femmes voir ce qu'il ce passe, je ressors et me dirige vers la fenêtre par laquelle il c'est introduit dans la maison, elle donne dans le salon et je peux distinguer les silhouettes. J'enjambe le mur sans un bruit et pénètre dans la pièce. Il est à quelques centimètres de moi, je n'ai qu'à tendre le bras pour le toucher. L'une des victimes s'agite, Tex lève le bras, je distingue la lame du couteau. Il n'a pas le temps de comprendre ce qu'il vient de se passer, son bras est fermement maintenu dans ma main, il pointe son revolver vers moi au moment où la lumière se rallume et que mon poing s'écrase sur son visage. Je sens son nez craquer suivi du bruit caractéristique de l'os qui se fend et se replie un peu. Il lâche un hurlement, j'enchaîne avec un coup de coude dans les dents et je termine par lui briser le bras tenant le couteau avec un violent coup de paume, je récupère la lame avant qu'elle ne tombe à terre et le lance vers Patricia. Il se loge dans sa gorge alors qu'elle s'apprêtait à lâcher un cri ou un hurlement de terreur, je ne sais pas.
J'achève l'homme avec un nouveau coup de poing, il s'effondre dans un gémissement, je le terminerais après. J'entends les pas rapides de Susan. Je ramasse le revolver et attends qu'elle fasse surface. Revolver versus couteau, devinez qui gagne ?
Trois balles dans le ventre et une dans la tête. Elle glisse lentement le long du mur du couloir en laissant une longue traînée de sang. Je baisse les bras et regarde les pauvres victimes, apeurées, en larme.
- Vous êtes en sécurité maintenant...
Je les détachent et les aident à s'asseoir, je sors une petite boîte à sucre de la poche de mon pantalon et leur donne un morceau chacun
- Vous n'avez plus rien à craindre, tout ira bien...
- Mais... qui êtes-vous ?
Je dirige mon regard vers la voix, c'est celle de Sharon Tate, aucune blessure, mais un sacré traumatisme, cela passera avec le temps.
- Je ne suis que de passage... Je vais avertir le gardien, ne bougez pas...
- Attendez ! M’interpelle Sharon. Qui que vous soyez... Merci...
Je me contente d'un léger sourire pour lui répondre. J'attrape Tex par le col et le traîne en dehors de la propriété jusqu'à la petite loge du gardien, je tambourine à la porte jusqu'à ce qu'il vienne m'ouvrir.
- Allez immédiatement dans la maison, il y a eu une tentative de meurtre, tous les occupants sont envie enfin, les occupants légitiment en tout cas ! Contactez la police le plus vite possible. Au revoir...
Je fais demi-tour toujours en traînant ma victime. Le gardien ne s'attarde pas sur mon cas et ce précipite dans la maison, je sors de la propriété et me dirige vers la voiture, je jette négligemment Tex côté passager avant de monter à mon tour, de démarrer et de partir loin de cet endroit.
Il se réveille tout doucement, je n'ai pas oublié de lui attacher les mains et les pieds. Il sursaute, crache du sang et essaye de se débattre, mais la douleur de son bras cassé ainsi que celle de son visage le calme rapidement.
- Putain... Mais t'es qui ?!
- On me pose souvent cette question... Je fixe le soleil qui se lève au loin et surplombe la ville en l'éclairant d'une douce lueur orangée. À vrai dire, très peu de personnes ont eu de réponse et ceux qui connaisse mon identité sont rarement resté vivant très longtemps...
- Charles va te retrouver et te faire la peau, je serais au premier rang lorsqu'il t'arrachera tes putains d’yeux avant de t'étrangler avec tes boyaux
- Oh, vraiment ? Je lâche un petit rire cynique. Ton gourou est le prochain sur ma liste, à vrai dire, c'est bientôt l'heure et tu vas y assister, j'aurais bien voulu y amener tes jeunes amies, mais elles ont été refroidi par mon attitude...
Je détache ma ceinture de sécurité et descend du véhicule, je me dirige vers le coffre et l'ouvre et je m'amuse à voir le regard craintif de cet homme qui semblait si sûr de lui, si puissant avec son arme entre les mains et maintenant ce n'est plus qu'une bête acculée et craintive, un bel échange de rôle. Je prends le gros sac de sport noir et le dépose sur les fins graviers au bord du vide, j'ouvre ensuite la porte à mon jeune ami et le jette à terre près du sac.
- Je crois que ton chef est dans le coin, non ?
Il ne répond pas, mais je vois bien son inquiétude dans les yeux pendant que je suis en train d'assembler le fusil sniper M200.
- Allez, c'est bon !
Je fixe le silencieux, déploie le trépied et dépose l'arme au sol, je prends mes jumelles et les placent devant les yeux de Tex
- Tu vois ?
- Non ! Non ! Non !
Il continu de hurler en se débattant, je souris et range les jumelles, je m'allonge ensuite et épaule le fusil
- Allez, tais-toi un peu, j'ai besoin de me concentrer !
- Arrête ça, sale taré !
Je le saisis à la gorge et rapproche son visage à quelques centimètres du mien
- Taré ? Un sale taré ? Toi et ta bande de dégénéré, votre but était d'assassiner une famille heureuse, une femme attendant un enfant, vous êtes des monstres sans foi ni loi et vous vouliez souiller ce qu'il peut y avoir de plus pur en ce monde et c'est moi le taré ? Maintenant, tu te tais !
Il respire rapidement et se tait, je place mon œil dans le viseur, ma cible est là, je retiens ma respiration et presse la détente. Le corps s'effondre, c'est terminé.
Tex se remet à hurler, je me relève, démonte mon arme et la range dans le sac, avant de le refermer, je prends le Mark 23 silencieux dont la crosse est parcourue de fin fil d'or.
- Qui es tu putain ?! Qui es-tu ?!
Je me relève, le regarde dans les yeux et retire lentement ma cagoule
- Je suis le Traveller... Je voyage à travers le temps pour empêcher des crimes tels que les tiens de se produire... Je traque mes cibles dans l'ombre et une fois entre mes mains, je les efface de la ligne du temps...
- Et moi, qu'est ce que tu vas me faire ?!
- Toi... Eh bien...
Je pointe mon arme vers son torse
- Je t'efface du temps...
Les trois balles s'écrasent dans son buste, je termine par une balle dans la tête, au cas où. Je prends le sac et le mets en bandoulière. Je ferme ensuite les yeux, je sens l'énergie bouillir dans mes veines, je vois l'Aura, cette sorte de fumée bleutée qui m'entoure. J'ouvre les yeux et disparais.
Garé près du Cielo Drive de Benedict Canyon, un superbe endroit qui surplombe Beverly Hills, une zone pour star... Il fera bientôt nuit et cette date marquera la fin de l'innocence des années 60 de triste manière enfin... C'est tout du moins ce qu'il c'est passé dans ma ligne temporelle et ce que je me suis chargé de modifier, tout du moins en partie... Certaines choses doivent se passer... Je regarde ma montre, ma concentration est maximale, je n'aurais le droit qu'à une seule chance.
Le véhicule arrive avec les quatre pourritures de la Manson Family... Je reste dans la voiture et dégaine les jumelles pour observer l'action. Charles Watson, surnommé Tex, sort en premier du véhicule, il se charge de grimper au poteau électrique pour couper les fils et priver la propriété de téléphone... Les deux femmes, Susan Atkins et Patricia Krewinkel, sortent à leurs tours et passent par au-dessus la clôture. Dans quelques secondes, ils seront surpris par le jeune Steven Parent, 18 ans, je ne pourrais pas le sauver... Dommage collatéral, il doit y en avoir un, si j'interviens maintenant, l'histoire ne se sera pas assez marquante, l'insouciance sera encore présente et les gens dormiront encore avec la porte de leur propriété ouverte et ce genre de crime recommencera. Sauver des vies, oui, mais il y a une bonne manière de le faire.
Quatre coups sourds résonnent, c'est fini, paix à ton âme Steven.
Linda Kasabian, la dernière du groupe, reste dehors faire le guet
Il est temps pour moi d'agir.
J'enfile mes gants en cuir noir d'auto défense et les resserrent avec la petite languette rattachée au bouton, la froideur de la matière suivit du petit couinement et des craquements des grains de sable au niveau des doigts lorsque je les plie me donne un peu d'adrénaline.
Je descends du véhicule et referme doucement la portière, je n'ai pas fait de fioriture pour ce soir, un sweat à capuche noire avec un gilet pare-balle en kevlar dessous, un pantalon militaire en camouflage urbain avec un renforcement au niveau des genoux, de simples rangers noirs et pour finir une cagoule noire laissant ma bouche, mon nez et mes yeux apparents. Malgré la chaleur de la nuit, cet équipement est nécessaire, pour mon bien et pour celui de ma mission. Je traverse la route et passe par au-dessus la clôture avant que la femme ne puisse me voir. Arriver dans son dos n'est pas une difficulté, j'entoure mes bras autour de sa tête et lui brise la nuque d'un mouvement sec et laisse son corps tomber lourdement à terre.
Je ne m'attarde pas sur le corps du jeune homme gisant dans son sang à côté de son véhicule.
Les hurlements résonnent déjà, je fais le tour de la maison, un coup d'oeil à la piscine me donne encore plus chaud, je sens les gouttes de transpirations perler sur mon visage, mais il y a plus urgent.
Même la porte de derrière n'est pas verrouillée, je lâche un soupir exaspéré et rentre. Ils sont réunis au salon, bourreaux et victimes. Le tableau électrique est juste à côté de moi, voilà une aubaine.
J'entends les voix, elles sont inquiètes, Tex envoi l'une des femmes voir ce qu'il ce passe, je ressors et me dirige vers la fenêtre par laquelle il c'est introduit dans la maison, elle donne dans le salon et je peux distinguer les silhouettes. J'enjambe le mur sans un bruit et pénètre dans la pièce. Il est à quelques centimètres de moi, je n'ai qu'à tendre le bras pour le toucher. L'une des victimes s'agite, Tex lève le bras, je distingue la lame du couteau. Il n'a pas le temps de comprendre ce qu'il vient de se passer, son bras est fermement maintenu dans ma main, il pointe son revolver vers moi au moment où la lumière se rallume et que mon poing s'écrase sur son visage. Je sens son nez craquer suivi du bruit caractéristique de l'os qui se fend et se replie un peu. Il lâche un hurlement, j'enchaîne avec un coup de coude dans les dents et je termine par lui briser le bras tenant le couteau avec un violent coup de paume, je récupère la lame avant qu'elle ne tombe à terre et le lance vers Patricia. Il se loge dans sa gorge alors qu'elle s'apprêtait à lâcher un cri ou un hurlement de terreur, je ne sais pas.
J'achève l'homme avec un nouveau coup de poing, il s'effondre dans un gémissement, je le terminerais après. J'entends les pas rapides de Susan. Je ramasse le revolver et attends qu'elle fasse surface. Revolver versus couteau, devinez qui gagne ?
Trois balles dans le ventre et une dans la tête. Elle glisse lentement le long du mur du couloir en laissant une longue traînée de sang. Je baisse les bras et regarde les pauvres victimes, apeurées, en larme.
- Vous êtes en sécurité maintenant...
Je les détachent et les aident à s'asseoir, je sors une petite boîte à sucre de la poche de mon pantalon et leur donne un morceau chacun
- Vous n'avez plus rien à craindre, tout ira bien...
- Mais... qui êtes-vous ?
Je dirige mon regard vers la voix, c'est celle de Sharon Tate, aucune blessure, mais un sacré traumatisme, cela passera avec le temps.
- Je ne suis que de passage... Je vais avertir le gardien, ne bougez pas...
- Attendez ! M’interpelle Sharon. Qui que vous soyez... Merci...
Je me contente d'un léger sourire pour lui répondre. J'attrape Tex par le col et le traîne en dehors de la propriété jusqu'à la petite loge du gardien, je tambourine à la porte jusqu'à ce qu'il vienne m'ouvrir.
- Allez immédiatement dans la maison, il y a eu une tentative de meurtre, tous les occupants sont envie enfin, les occupants légitiment en tout cas ! Contactez la police le plus vite possible. Au revoir...
Je fais demi-tour toujours en traînant ma victime. Le gardien ne s'attarde pas sur mon cas et ce précipite dans la maison, je sors de la propriété et me dirige vers la voiture, je jette négligemment Tex côté passager avant de monter à mon tour, de démarrer et de partir loin de cet endroit.
Il se réveille tout doucement, je n'ai pas oublié de lui attacher les mains et les pieds. Il sursaute, crache du sang et essaye de se débattre, mais la douleur de son bras cassé ainsi que celle de son visage le calme rapidement.
- Putain... Mais t'es qui ?!
- On me pose souvent cette question... Je fixe le soleil qui se lève au loin et surplombe la ville en l'éclairant d'une douce lueur orangée. À vrai dire, très peu de personnes ont eu de réponse et ceux qui connaisse mon identité sont rarement resté vivant très longtemps...
- Charles va te retrouver et te faire la peau, je serais au premier rang lorsqu'il t'arrachera tes putains d’yeux avant de t'étrangler avec tes boyaux
- Oh, vraiment ? Je lâche un petit rire cynique. Ton gourou est le prochain sur ma liste, à vrai dire, c'est bientôt l'heure et tu vas y assister, j'aurais bien voulu y amener tes jeunes amies, mais elles ont été refroidi par mon attitude...
Je détache ma ceinture de sécurité et descend du véhicule, je me dirige vers le coffre et l'ouvre et je m'amuse à voir le regard craintif de cet homme qui semblait si sûr de lui, si puissant avec son arme entre les mains et maintenant ce n'est plus qu'une bête acculée et craintive, un bel échange de rôle. Je prends le gros sac de sport noir et le dépose sur les fins graviers au bord du vide, j'ouvre ensuite la porte à mon jeune ami et le jette à terre près du sac.
- Je crois que ton chef est dans le coin, non ?
Il ne répond pas, mais je vois bien son inquiétude dans les yeux pendant que je suis en train d'assembler le fusil sniper M200.
- Allez, c'est bon !
Je fixe le silencieux, déploie le trépied et dépose l'arme au sol, je prends mes jumelles et les placent devant les yeux de Tex
- Tu vois ?
- Non ! Non ! Non !
Il continu de hurler en se débattant, je souris et range les jumelles, je m'allonge ensuite et épaule le fusil
- Allez, tais-toi un peu, j'ai besoin de me concentrer !
- Arrête ça, sale taré !
Je le saisis à la gorge et rapproche son visage à quelques centimètres du mien
- Taré ? Un sale taré ? Toi et ta bande de dégénéré, votre but était d'assassiner une famille heureuse, une femme attendant un enfant, vous êtes des monstres sans foi ni loi et vous vouliez souiller ce qu'il peut y avoir de plus pur en ce monde et c'est moi le taré ? Maintenant, tu te tais !
Il respire rapidement et se tait, je place mon œil dans le viseur, ma cible est là, je retiens ma respiration et presse la détente. Le corps s'effondre, c'est terminé.
Tex se remet à hurler, je me relève, démonte mon arme et la range dans le sac, avant de le refermer, je prends le Mark 23 silencieux dont la crosse est parcourue de fin fil d'or.
- Qui es tu putain ?! Qui es-tu ?!
Je me relève, le regarde dans les yeux et retire lentement ma cagoule
- Je suis le Traveller... Je voyage à travers le temps pour empêcher des crimes tels que les tiens de se produire... Je traque mes cibles dans l'ombre et une fois entre mes mains, je les efface de la ligne du temps...
- Et moi, qu'est ce que tu vas me faire ?!
- Toi... Eh bien...
Je pointe mon arme vers son torse
- Je t'efface du temps...
Les trois balles s'écrasent dans son buste, je termine par une balle dans la tête, au cas où. Je prends le sac et le mets en bandoulière. Je ferme ensuite les yeux, je sens l'énergie bouillir dans mes veines, je vois l'Aura, cette sorte de fumée bleutée qui m'entoure. J'ouvre les yeux et disparais.
11/10/12 à 22:20:19
« J'entends les voix, elles sont inquiètes, Tex envoi l'une des femmes voir ce qu'il ce passe, je ressors et me dirige vers la fenêtre par laquelle il c'est introduit dans la maison, elle donne dans le salon et je peux distinguer les silhouettes.»
C'est ce que j'entends par problème de virgule. Dans cette exemple (comme ailleurs dans le chapitre) il y a clairement de quoi faire plusieurs phrases, qui elles-mêmes pourraient être plus développées. Penses-y, Suicide.
11/10/12 à 22:09:59
Pour les virgules, j'ai remarqué que j'en ai effectivement abusé ( comme d'habitude ). Pour les phrases où des éléments n'ont rien à voir entre eux, j'aimerais que tu me montre un exemple pour que je puisse corriger ça ! Merci !
11/10/12 à 22:00:04
Je ne suis pas convaincu. Niveau scenario et dialogue, mais j'ai aussi l'impression que tu ne t'es pas amélioré malgré les années passées, que tes phrases sont toujours mal construites. Des virgules, des virgules partout... On retrouve dans une même phrase des éléments qui n'ont rien à voir.
C'est ce qui fait que j'ai toujours eu autant de mal à te lire.
Vous devez être connecté pour poster un commentaire