Elle était magnifique. Cette chanson me fait penser à elle - allez savoir pourquoi.

Je me rappelle encore de la douceur de sa magnifique crinière blonde que je caressais que je me réveillais auprès d'elle.

Je suis loin d'elle maintenant. Elle me manque.

Elle est ses douces jambes magnifique, douces comme de la soie. Elle et sa magnifique bouche, que je ne pouvais m'empêcher d'embrasser tendrement. Elle et sa douce voix.

Le soir, quand je rentrais du travail, j'allais tout de suite la voir. J'admirais son corps, ses courbes magnifiques. Je l'embrassais, je caressais son dos, ses oreilles...

Vous savez ce qui est pire? Je l'avais vu naitre. J'étais vraiment très jeune. Sa mère était morte dans l'accouchement, les conditions étaient dures, on a pas beaucoup d'argent.

Parfois, on faisait l'amour. Et je dois le dire: c'est un bon coup. Elle est assez silencieuse pendant l'acte, ceci dit. Mais je sais qu'elle prend son pied - et moi aussi. Elle aime tout dans le sexe, et on pratiquait tout ensemble.

Un jour, ils m'ont emmenés loin d'elle. Loin de cette étable où résidait ma chère Marguerite.

Quand on me demande par quelle folie j'ai pu aimer ainsi une vache laitière, je réponds simplement:

"Qui êtes vous pour juger?"