Imaginez: Deux filles de 17 ans, nues dans une chambre, plaquées contre un mur, l'une a sa main enfouie dans l'intimité de l'autre, qui est offerte jambes écartées, tout ça surpris par un garçon de 19 ans qui connait les deux filles, l'une étant sa sœur l'autre une amie d'enfance. Quel tableau!
La tête que faisait Benjamin quand il nous a vu... j'étais gêné. Rouge de honte. Ça m'a tout coupé. D'autant plus que, c'est lui, le garçon dont je suis amoureuse. Et c'était là le seul secret que j'avais envers mon amie d'enfance, normal. Le seul qui m'ai jamais témoigné du respect et de l'amitié. Et là, il me voit nue en train de faire l'amour avec sa sœur... déjà que c'était pas gagné, mais là je m'était grillée toute seule. J'étais embarrassée, mais en même temps j'aimais Julie, je la désirais et de toutes façon aucun mec ne m'avait jamais accosté. Je vois pas où était le mal.

On s'est arrêté d'un coup net.

Julie se retourna, et le regarda fixement, nue mais toujours sur d'elle. Elle chercha dans son dos ma main et la prise, puis me caressa avec son puce pour me rassurer. Moi, j'étais contente qu'elle soit devant moi et qu'elle cache mes formes trop rondes. J'avais honte de mon corps devant les garçons, mais pas devant Julie. Elle, elle m'acceptait. Benjamin était resté planté là, halluciné pendant quelques secondes, puis à entre-murmuré un "désolé"... et est parti en fermant la porte doucement.

Elle me pris dans ses bras et se blottie contre mon épaule. Elle commençait à rigoler.
"- Je suis désolée...mais je t'avais prévenu! ahah! Ca va, t'as pas trop eu peur?
- Putain, je suis morte à la second où il a passer sa tête!
- Je me demande si ça l'a fait bander?
- C'est ton frère! Il peut pas bander sur toi?!
- Je parlais pas de moi... me dit-elle avec à la fois un sourire forcé et ses yeux tristes.
- ...M..moi? Arrête de déconner! Il ne m'a jamais vu autrement que comme sa voisine d'enfance. Et puis franchement vu les meufs qu'il ramène, je pense pas qu'une fille comme moi le fasse bander.... m'exclamais-je plus pour me convaincre moi-même.
- On s'en fout de toute façon, il a qu'à se branler. La prochaine fois on fera plus attention.
- Tu veux une prochaine fois? lui demandais-je intriguée, surprise et excitée.
- ... oui bien sur! ... Enfin... si tu te sens."
Je fis un signe de la tête pour lui dire pourquoi pas. Et elle se serra encore plus. Nos corps avaient refroidi, mais j'aimais sentir sa peau le long de mon corps. J'effleurais encore une fois ses jolies fesses, puis nous nous sommes habillées.