Il se trompait. Je trouvais qu'en fait, Anto avait été honnête. Il ne jouait pas de double jeu. Je savais à quoi m'attendre avec lui, même si c'était blessant d'un certain point de vu. Et puis, j'étais contente d'avoir découvert ma sexualité au masculin avec lui.
"- Et hier soir... quand tu m'as dit ce que tu ressentais... Mon coeur a explosé. J'ai tout oublié. Ma soeur. Anto. Mes doutes. Et quand je t'ai approché, tu ne m'as pas repoussé."
Je le regardais intensément. Et je me suis serrée contre lui fort. Je lui dit:
"- Pourquoi t'aurais-je repoussé? C'est toi que j'ai toujours voulu !"
Il m'étreigna encore plus et respira le parfum de mes cheveux. Je regrettais vraiment de ne pas me souvenir avoir fait l'amour avec lui... J'étais dans ses bras, et il continua:
"- Tu m'as rendu mon baiser. Et puis nous sommes restés dans les bras l'un de l'autre un moment. Puis tu m'a glissé à l'oreille "Viens avec moi, ne me laisse plus seule". Tu t'es levé et alla ouvrir la porte. Je me foutais des autres et de la fête. Je voulais être près de toi. Ne pas perdre ton contact. Puis nous sommes rentrés et tu as commencé à me toucher... à glisser tes mains sous mon sweet. J'étais tellement heureux de pouvoir enfin te toucher! Tu m'excites tellement. J'ai toujours envie de toi. Chaque fois que je te vois, chaque fois que je pense à toi. Et quand je me ...hum ... branle ... je pense à toi aussi...."
Il avait un peu honte de dire ça, mais ça m'excitait beaucoup de savoir qu'il bandait rien que de penser à moi. Je commençais à embrasser son torse et à caresser son dos. Il soupirait doucement. Puis reprit:
" On est monté dans ta chambre, et, la porte fermée, tu commença à te déshabiller en me demandant de me toucher... tu étais nue sous ta jupe et ça m'a vraiment chauffé! Tu as enlevé tes bas délicatement, puis ton soutif en me tournant le dos. Tu étais nue. Tu t'offrais à moi. Tu es venue contre moi et m'as embrassé. Tes mains me caressaient, m'embrassaient et enlevais mes vêtements un à un. Je bandais vraiment dur, mais tu repoussais mes mains pour ne pas que je te touche. J'étais frustré! Et puis je me suis retrouvé nu. Devant toi. Tu t'es assise sur le lit en me tirant par les fesses. Là, tu me caressais le torse, le ventre, les fesses, et je sentais ton souffle glisser sur mon soldat, tout raidi par ton jeux de séduction. Je te promet que là, tu m'as donné un plaisir vraiment intense! Ta langue léchait le bout de mon gland tendu. Tes mains pressaient mon pénis et glissaient le long de ma verge. Je sentais ta respiration monter d'un cran. Tes seins étaient durs et je devinais que ta chatte mouillait, car une de tes mains allais de temps en temps flatter l'intérieur de tes cuisses, et revenait couvrir mon gland de ton nectar. C'était vraiment bon. Et les choses devinrent encore plus sérieuses. Tu suças le bout de mon sexe, et aspirait un peu de mon jus, tu avais l'air de prendre plaisir.... Puis soudain, alors que je ne m'y attendais pas, tu engloutis mon pénis dans ta bouche. C'était chaud et bon! Je posais mes mains sur ta tête, et je donnais des petits coups de hanche pour suivre tes pressions. C'était délicieux!"