Ma vie était parfaite
Par : para-neuski
Genre : Action , Polar
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 1
Enfer
Publié le 18/07/12 à 11:15:04 par para-neuski
J’ouvre la porte, j’entre, j’entends des cris, des hurlements … J’ai entendu ce que mes oreilles ne devaient jamais entendre … Ces cris étaient tellement atroces que je ne reconnaissais même pas la voix de la personne qui criait … Ma sœur ? Ma mère ? En tout cas, il s’agit d’une femme … Je suis resté pétrifié cinq minutes en bas, jusqu’à ce que j’entende une voix masculine … Je me souviens parfaitement de ces mots :
« Alors salope, t’as aimé ? Bah on te tue, et on se tape ton cadavre ! »
Des rires, puis un coup de feu … Deux … Trois … Je monte lentement l’escalier … J’entre dans la chambre de ma sœur … Un pistolet par terre (un modèle glock je crois …) … Trois horribles salauds en train de violer le cadavre de ma sœur … Ma main glisse vers le pistolet … Je suis calme, je ne sens même plus de tremblements, je sais ce qu’il faut que je fasse … Je vérifie l’arme … Elle est chargée … Vous, les sales connards, vous allez dormir dans un frigo à l’hôpital ce soir … Tant qu’à aller au bout … Super, un 45. GAP … J’en déduis donc que c’est un Glock 21 … Ces enculés étaient bien équipés … Je vise la tête de celui qui était en train de souiller ma sœur en pénétrant son cadavre … Le coup part tout seul, sa tête éclate … La jouissance que me procure ce coup de feu est … Infinie … Les deux autres, couverts du sang de leur acolyte et de morceaux de cervelle se regardent … Ils tournent lentement la tête vers moi … Je les braque tour à tour … Celui qui tenait la tête de ma sœur ne bouge pas, pétrifié … L’autre, plus près de moi, se met à genoux, et implore ma pitié …
Je le laisse croire que je vais l’épargner … Il tend ses bras vers moi … Je lui loge trois balles dans le buffet … Il s’effondre à terre, mort … L’autre se jette sur moi … Malgré ma force physique et le fait que ce mec était un petit gros, j’ai eu la plus grande peine du monde a le maintenir au sol … Je mets sa nuque à nu … Ce sale enfant de putain se débat … Un coup part, il reçoit la balle en pleine nuque, et tombe, inanimé … Je vérifie leurs cadavres, ils sont tous bien morts … Ils le sont bien … Juste pour m’amuser, et me calmer, je vide ce qu’il restait du chargeur (6 balles en fait …) dans leurs cadavres … Puis je me tourne vers le corps de ma sœur … Ses habits déchirés … Son beau visage couvert de sang … Je la prends dans mes bras, je l’installe dans le lit, je lui mets une couverture sur le corps, je lui ferme les yeux … Maintenant sœurette, tu peux reposer en paix … La sirène retentit … Le bleu brille dans la nuit … Des policiers déboulent dans la chambre, me braquent avec leurs armes … Je m’en fous, qu’ils tirent, plus rien ne me rattache à la vie … Je reste, immobile, devant le lit de ma sœur … Ma sœur de dix-huit ans … Un des flics me prend le pistolet de la main … Ils inspectent la pièce … De toute façon, j’en ai plus rien à foutre, l’essentiel est que ces salopards soient morts …
« Alors salope, t’as aimé ? Bah on te tue, et on se tape ton cadavre ! »
Des rires, puis un coup de feu … Deux … Trois … Je monte lentement l’escalier … J’entre dans la chambre de ma sœur … Un pistolet par terre (un modèle glock je crois …) … Trois horribles salauds en train de violer le cadavre de ma sœur … Ma main glisse vers le pistolet … Je suis calme, je ne sens même plus de tremblements, je sais ce qu’il faut que je fasse … Je vérifie l’arme … Elle est chargée … Vous, les sales connards, vous allez dormir dans un frigo à l’hôpital ce soir … Tant qu’à aller au bout … Super, un 45. GAP … J’en déduis donc que c’est un Glock 21 … Ces enculés étaient bien équipés … Je vise la tête de celui qui était en train de souiller ma sœur en pénétrant son cadavre … Le coup part tout seul, sa tête éclate … La jouissance que me procure ce coup de feu est … Infinie … Les deux autres, couverts du sang de leur acolyte et de morceaux de cervelle se regardent … Ils tournent lentement la tête vers moi … Je les braque tour à tour … Celui qui tenait la tête de ma sœur ne bouge pas, pétrifié … L’autre, plus près de moi, se met à genoux, et implore ma pitié …
Je le laisse croire que je vais l’épargner … Il tend ses bras vers moi … Je lui loge trois balles dans le buffet … Il s’effondre à terre, mort … L’autre se jette sur moi … Malgré ma force physique et le fait que ce mec était un petit gros, j’ai eu la plus grande peine du monde a le maintenir au sol … Je mets sa nuque à nu … Ce sale enfant de putain se débat … Un coup part, il reçoit la balle en pleine nuque, et tombe, inanimé … Je vérifie leurs cadavres, ils sont tous bien morts … Ils le sont bien … Juste pour m’amuser, et me calmer, je vide ce qu’il restait du chargeur (6 balles en fait …) dans leurs cadavres … Puis je me tourne vers le corps de ma sœur … Ses habits déchirés … Son beau visage couvert de sang … Je la prends dans mes bras, je l’installe dans le lit, je lui mets une couverture sur le corps, je lui ferme les yeux … Maintenant sœurette, tu peux reposer en paix … La sirène retentit … Le bleu brille dans la nuit … Des policiers déboulent dans la chambre, me braquent avec leurs armes … Je m’en fous, qu’ils tirent, plus rien ne me rattache à la vie … Je reste, immobile, devant le lit de ma sœur … Ma sœur de dix-huit ans … Un des flics me prend le pistolet de la main … Ils inspectent la pièce … De toute façon, j’en ai plus rien à foutre, l’essentiel est que ces salopards soient morts …
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