enfermé dans la cave de ma cousine
Par : boxxy
Genre : Sayks
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 1
1
Publié le 09/02/12 à 00:39:56 par boxxy
1
L'année passée, je suis parti vivre chez ma cousine Jessica de 27 ans qui habitait dans le canton du Jura en Suisse. Elle était installée toute seule dans une superbe maison et possédait une certaine surface de terre héritée de son père, qu'elle n'avait pas le temps d'exploiter à cause de son travail. Le problème : c'était une surface agricole et elle était obligée de l'utiliser à des fins commerciales (oui en Suisse c'est la législation qui ordonne ça)
Elle m'a donc proposé de s'en occuper puisque je suis issu d'une famille de paysan donc capable de travailler la terre. Et vu que j'étais au chômage, ce plan tombait à merveille. J'étais vraiment heureux de pouvoir trouver quelque chose de stable et intéressant, j'avais donc même organisé un petit repas festif en cet honneur avec la famille. Ce que je savais pas, c'est que ce rêve aura eu tôt fait de se transformer en enfer.
Arrivé le premier jour, elle me fit visiter les lieux pour me familiariser avec mon nouvel environnement. Elle me présenta les différentes pièces et m'expliqua le rôle de certains élément mobiliers de son habitation. Ma chambre me fût montrée. Je la trouvait sympathique, elle possédait un peu l'ambiance chaleureuse qu'on retrouve dans les chambre toutes faites de chez IKEA, avec en plus la bonne odeur du vieux bois qu'on ne peut sentir sur le neuf.
Ce moment-là sera -à un détail près- le seul bon moment que je vivrais pour les prochains temps à venir.
Car suite à cela, vint la présentation de la cave. On prit donc un petit escalier escarpé qui nous mena à environ trois mètres sous sol pour terminer sa course près d'une lourde et poussiéreuse porte métallique. On entra. En son temps, le père de ma cousine avait une petite production d'huile de tournesol qu'il entreposait dans ladite cave. Pendant qu'elle m'apprenait ce fait en me montrant d'un signe de main les rangées d'armoires remplies du précieux liquide, je fis un geste anodin mais non sans conséquences, qui aura eu plongé ma prochaine semaine d'existence dans une détresse que j'espère ne jamais retrouver dans le futur. Par habitude, je refermai machinalement la porte que j'avais derrière moi d'un petit coup de hanche sur sa partie frontale. Au moment où j'étais en train de pousser la porte, je vis ma cousine faire les gros yeux et pousser un "NON!" retentissant qui mis fin à sa présentation des lieux. Elle se mis directement à fouiller ses poches nerveusement, sans avoir l'air de retrouver l'objet de sa recherche. Suite à cela, elle s'affaissa sur le par-terre en poussant un gros râle à en faire pâlir un croque mort.
Je la regardai d'un air moitié étonné moitié soucieux en lui demandant :" quoi? qu'est ce qu'il se passe? "
C'est là que le cauchemar commença. Elle m'expliqua alors que la porte de la cave se fermait automatiquement depuis l'extérieur car la poignée interne était cassée. Effectivement, à un mètre de moi je pouvais constater l'absence de poignée sur la porte de la cave. Et là je commençai vraiment à prendre peur. Cela me fit d'un coup comme un choc, de tel sorte que j'aurais juré avoir reçu une armoire à glace sur mon buste.
Les premiers mots qui me sortirent de la bouche furent littéralement :"Putain c'est pas vrai?"
J'avais dit ça en même temps d'avoir pris conscience du fait que ma cousine vivait seule, que probablement personne ne viendrais chez elle d'habitude et que personne ne se serait non plus soucié de son absence au travail du fait qu'elle était en vacances.
j'étais seule avec ma cousine en train de se lamenter sur notre sort dans une froide cave avec pour seule compagnie de l'huile de tournesol...
L'année passée, je suis parti vivre chez ma cousine Jessica de 27 ans qui habitait dans le canton du Jura en Suisse. Elle était installée toute seule dans une superbe maison et possédait une certaine surface de terre héritée de son père, qu'elle n'avait pas le temps d'exploiter à cause de son travail. Le problème : c'était une surface agricole et elle était obligée de l'utiliser à des fins commerciales (oui en Suisse c'est la législation qui ordonne ça)
Elle m'a donc proposé de s'en occuper puisque je suis issu d'une famille de paysan donc capable de travailler la terre. Et vu que j'étais au chômage, ce plan tombait à merveille. J'étais vraiment heureux de pouvoir trouver quelque chose de stable et intéressant, j'avais donc même organisé un petit repas festif en cet honneur avec la famille. Ce que je savais pas, c'est que ce rêve aura eu tôt fait de se transformer en enfer.
Arrivé le premier jour, elle me fit visiter les lieux pour me familiariser avec mon nouvel environnement. Elle me présenta les différentes pièces et m'expliqua le rôle de certains élément mobiliers de son habitation. Ma chambre me fût montrée. Je la trouvait sympathique, elle possédait un peu l'ambiance chaleureuse qu'on retrouve dans les chambre toutes faites de chez IKEA, avec en plus la bonne odeur du vieux bois qu'on ne peut sentir sur le neuf.
Ce moment-là sera -à un détail près- le seul bon moment que je vivrais pour les prochains temps à venir.
Car suite à cela, vint la présentation de la cave. On prit donc un petit escalier escarpé qui nous mena à environ trois mètres sous sol pour terminer sa course près d'une lourde et poussiéreuse porte métallique. On entra. En son temps, le père de ma cousine avait une petite production d'huile de tournesol qu'il entreposait dans ladite cave. Pendant qu'elle m'apprenait ce fait en me montrant d'un signe de main les rangées d'armoires remplies du précieux liquide, je fis un geste anodin mais non sans conséquences, qui aura eu plongé ma prochaine semaine d'existence dans une détresse que j'espère ne jamais retrouver dans le futur. Par habitude, je refermai machinalement la porte que j'avais derrière moi d'un petit coup de hanche sur sa partie frontale. Au moment où j'étais en train de pousser la porte, je vis ma cousine faire les gros yeux et pousser un "NON!" retentissant qui mis fin à sa présentation des lieux. Elle se mis directement à fouiller ses poches nerveusement, sans avoir l'air de retrouver l'objet de sa recherche. Suite à cela, elle s'affaissa sur le par-terre en poussant un gros râle à en faire pâlir un croque mort.
Je la regardai d'un air moitié étonné moitié soucieux en lui demandant :" quoi? qu'est ce qu'il se passe? "
C'est là que le cauchemar commença. Elle m'expliqua alors que la porte de la cave se fermait automatiquement depuis l'extérieur car la poignée interne était cassée. Effectivement, à un mètre de moi je pouvais constater l'absence de poignée sur la porte de la cave. Et là je commençai vraiment à prendre peur. Cela me fit d'un coup comme un choc, de tel sorte que j'aurais juré avoir reçu une armoire à glace sur mon buste.
Les premiers mots qui me sortirent de la bouche furent littéralement :"Putain c'est pas vrai?"
J'avais dit ça en même temps d'avoir pris conscience du fait que ma cousine vivait seule, que probablement personne ne viendrais chez elle d'habitude et que personne ne se serait non plus soucié de son absence au travail du fait qu'elle était en vacances.
j'étais seule avec ma cousine en train de se lamenter sur notre sort dans une froide cave avec pour seule compagnie de l'huile de tournesol...
24/06/12 à 23:38:39
Gregor est venu commenter, omagad ?
01/04/12 à 21:40:48
"Je suis issu d'une famille de paysan, je sais donc travailler la terre"
BITCH PLEASE
"Je suis issu d'une famille de paysan, je suis donc un pouilleux qui se plaint tout le temps et qui vote extrême droite"
13/02/12 à 16:03:40
j'ai lu je ne sais combien de chapitre et oui le "Sayks" est justifiée
09/02/12 à 20:34:53
La balise sexe est justifiée oui car ma fic en comporte un peu. Sinon c'est à peu près inclassable...
Bref, j'ai mis juste sexe pour me simplifier la vie
09/02/12 à 18:02:38
Bonjour à toi Star. Nouveau ?
09/02/12 à 17:52:22
Pas trop non mais il aurait fallu qu'il garde l'original pour le CTRL + V et aller plus vite :'(
09/02/12 à 16:37:48
J'ai déjà lue cette fic sur le 15-18.
La balise "Sayks" est justifiée ?
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