Je me rendis compte qu'il était déjà 12h30, et on avait marché pendant longtemps avant de se poser dans un pré au bord du sentier battu. Cette endroit était tellement paisible et agréable, les oiseaux, le bruit des moutons et des vaches, et surtout : Sarah

Moi : Léandre il commence à être tard pour le déjeuner, on à rendez vous à 13h15 chez tes grand parents et on à marché pendant au moins 45 minutes là !

Léandre : Aaa ouai j'avoue c'est la dech, faut qu'on rentre Sarah pour aller bouffer là !

Sarah : Oki les garçons pas de problème on va rentrer. Mais on à intérêt à se dépêcher en effet. Moi aussi je dois aller manger de toute façon.

Moi je n'en pouvais plus de voir cette bombe, j'avais juste envie de me libérer le Z, il fallait que je rentre pour aller prendre une petite douche et me... :


C'est alors qu'arriva une voiture, une camionnette bleue (La même que celle de Robert).

Sarah : Mince c'est mon oncle, il à du se demander où j'étais.

La voiture s’arrêta devant nous, Petit Jean descendit du véhicule.

Petit Jean : Sarah, c'est qui c'est deux mec là ?

Sarah : Euh c'est Léandre ! Tu sais tu le connais bien c'est le garçon qui habite en face, et ça c'est Pierre-Philippe, un de ses amis.

Nous : Bonjour monsieur.

Jean : Ah oui Léandre je m'en souviens maintenant !! Comment vas-tu ? Viens monte à l'avant que je prenne de tes nouvelles !

Léandre : Euh d'accord d'accord...

Petit Jean me regarda de travers, puis il fit signe à Sarah de monter dans le compartiment arrière du véhicule avec moi.

Je pris donc place dans l'arrière du fourgon avec Sarah, qui se mis juste à côté de moi, coller à moi en fait...

La voiture démarra. Je n'entendais pas bien ce que disait Petit Jean à l'avant.

Sarah : Désolé pour mon oncle, il est un peu sur les nerfs.

Elle pris ma main et la regarda étrangement. Puis elle me fit un bisous dans le cou.

Moi : Mais, tu fais quoi ?

Sarah : Rien je t'aime bien c'est tout. Puis elle sortit un stylo de sa poche et écriva son numéro sur ma main.

La camionnette s’arrêta, on était devant notre maison. Sarah me regarde droit dans les yeux, me fis un clin d'oeil tout en se mordant la lèvre :

N'oublie pas de m'appeler mon chou.

Puis elle ouvrit la porte de la camionnette et partit en direction de sa maison.

Nous remercions petit Jean avant de tourner les talons.

Nous nous exclamèrent en même temps :

« MEC JE DOIS TE DIRE UN TRUC »