1ère Guerrière de Lotwar.
Par : BACHIBOUZOUC
Genre : Fantastique , Action
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 2
Un oublie de sac
Publié le 22/04/12 à 17:28:26 par BACHIBOUZOUC
( Et voilà le deuxième chapitre "enfin" je n'avais pas vraiment le temps de le poster j'espère que vous m'excuserez, en tout cas bonne lecture à tous ) .
- Zyaria …..
- Hum…. Va-t’en !
- ZYARIA ! Debout tu dois m’amener au collège, alors bouge-toi !
- QUOI !
Il était déjà 8h10. Je n’avais pas le temps de déjeuner. Tant pis ! Une fois de plus mon ventre gargouillerais.
J’amenais ma petite sœur à son école. Après l’avoir déposé et bien regardais, qu’elle aller bien en cours, je courrais jusqu’à mon lycée.
Ouf ! La sonnerie venait à peine de retentir.
Je rejoignais ma classe, B35. La classe de philosophie, avec le professeur : Monsieur Hébert.
Un professeur, qui essayait d’enseigner l’art de la philosophie à des élèves, qui n’écoutaient jamais rien à son cours. Le prof part tellement dans des délires fous, qu’au bout de 10min tout le monde avait déjà décrochés, même Monsieur Hebert souvent se perdait dans ce qu’il racontait.
Comme à mon habitude, je me mettais au fond de la classe, avec mes écouteurs dans les oreilles pour être tranquille. Je m’étais assise et j’apprêtais à ouvrir mon sac, je me penchais du côté gauche de la table et …..
NON ! Mais ce n’étais pas vrai. J’étais vraiment un boulet ! Mon sac ! J’avais oublié mon sac ! Comme si raté mon réveil ce matin ne suffisez pas…
Comme si de rien n’étais je me levais de ma chaise, et sortais de la classe. Le prof n’avais même pas fait attention à mon départ.
Dans les couloirs je faisais très attention à ne pas me faire repérer par la directrice ou son acolyte sadique.
Oui je dis bien sadique, à l’époque, ce n’étais pas une directrice, mais un directeur, qui employer des moyens vraiment atroce pour faire respecter l’ordre dans son lycée. Il torturer les élèves psychologiquement en les enfermant dans le placard du sous-sol, pas mal d’élève y ont péri. Mon père était dans la même école que moi à l’époque et il est encore traumatisé, que ma belle-mère mi envoi, il n’était pas vraiment d’accord, mais bon il est amoureux que voulez-vous il succombe a chacun de ces désires
Tout en faisant bien attention à ne pas me faire repérer par les démons qui surveiller le lycée, je fini par sortir par la porte de derrière, la porte qui conduit au parking de professeur, ou aucun n’élève n’as le droit d’accès, mais si je voulais vraiment ne pas me faire choper il fallait bien que je passe par là.
J’allais appuyer sur la poignée quand soudain :
- Mademoiselle, puis-je savoir ou vous comptez aller comme ça ? Surtout par la ?
Mon sang ne fit qu’un tour, j’étais bonne pour 3 ans de colle, en regardant toujours la poignet et regardant mon espoir de pouvoirs sortir, s’envoler, j’ai dit :
- Je suis désolée j’ai oublié mon sac de cour, et je compter le récupérer chez moi.
- Non, mais vous pouvez me regarder dans les yeux c’est une blague ou quoi, 300 ans de colle.
300 ans, pourquoi ? Je m’étais retournée et là un grand soulagement !
- Maria ! Tu m’as fait peur, je me disais bien que 300 ans d’heure de colle faisaient un peu beaucoup.
- Je t’ai bien us ! Tu es vraiment un boulet, oublier son sac de cour quand même.
- Oui, ça va…
- Bon t’en cas faire si on allait au magasin, on se prend notre journée, en plus une nouvelle bijouterie vient d’ouvrir allons-y ?
- Au point où j’en suis pourquoi pas.
Maria était mon amie d’enfance, ces parents et mes parents sont très proche, ils viennent souvent à la maison, Maria et moi sommes un peu comme des sœurs, on se dit tout, nos peine, nos joie, on ne se cache rien, nous sommes vraiment inséparable. Nous sommes vraiment opposée elle et moi, elle est très extraverti et elle se fiche que pense le monde d’elle, elle a les cheveux blond et elle est grande de taille, moi, je suis plutôt réserver et timide, je suis brune et de taille moyenne. Souvent on est comparé au Yin et yang ou ange et démon.
- Bon allons-y, a ce nouveau magasin.
( le prochain chapitre : la bague NOMIKUS )
- Zyaria …..
- Hum…. Va-t’en !
- ZYARIA ! Debout tu dois m’amener au collège, alors bouge-toi !
- QUOI !
Il était déjà 8h10. Je n’avais pas le temps de déjeuner. Tant pis ! Une fois de plus mon ventre gargouillerais.
J’amenais ma petite sœur à son école. Après l’avoir déposé et bien regardais, qu’elle aller bien en cours, je courrais jusqu’à mon lycée.
Ouf ! La sonnerie venait à peine de retentir.
Je rejoignais ma classe, B35. La classe de philosophie, avec le professeur : Monsieur Hébert.
Un professeur, qui essayait d’enseigner l’art de la philosophie à des élèves, qui n’écoutaient jamais rien à son cours. Le prof part tellement dans des délires fous, qu’au bout de 10min tout le monde avait déjà décrochés, même Monsieur Hebert souvent se perdait dans ce qu’il racontait.
Comme à mon habitude, je me mettais au fond de la classe, avec mes écouteurs dans les oreilles pour être tranquille. Je m’étais assise et j’apprêtais à ouvrir mon sac, je me penchais du côté gauche de la table et …..
NON ! Mais ce n’étais pas vrai. J’étais vraiment un boulet ! Mon sac ! J’avais oublié mon sac ! Comme si raté mon réveil ce matin ne suffisez pas…
Comme si de rien n’étais je me levais de ma chaise, et sortais de la classe. Le prof n’avais même pas fait attention à mon départ.
Dans les couloirs je faisais très attention à ne pas me faire repérer par la directrice ou son acolyte sadique.
Oui je dis bien sadique, à l’époque, ce n’étais pas une directrice, mais un directeur, qui employer des moyens vraiment atroce pour faire respecter l’ordre dans son lycée. Il torturer les élèves psychologiquement en les enfermant dans le placard du sous-sol, pas mal d’élève y ont péri. Mon père était dans la même école que moi à l’époque et il est encore traumatisé, que ma belle-mère mi envoi, il n’était pas vraiment d’accord, mais bon il est amoureux que voulez-vous il succombe a chacun de ces désires
Tout en faisant bien attention à ne pas me faire repérer par les démons qui surveiller le lycée, je fini par sortir par la porte de derrière, la porte qui conduit au parking de professeur, ou aucun n’élève n’as le droit d’accès, mais si je voulais vraiment ne pas me faire choper il fallait bien que je passe par là.
J’allais appuyer sur la poignée quand soudain :
- Mademoiselle, puis-je savoir ou vous comptez aller comme ça ? Surtout par la ?
Mon sang ne fit qu’un tour, j’étais bonne pour 3 ans de colle, en regardant toujours la poignet et regardant mon espoir de pouvoirs sortir, s’envoler, j’ai dit :
- Je suis désolée j’ai oublié mon sac de cour, et je compter le récupérer chez moi.
- Non, mais vous pouvez me regarder dans les yeux c’est une blague ou quoi, 300 ans de colle.
300 ans, pourquoi ? Je m’étais retournée et là un grand soulagement !
- Maria ! Tu m’as fait peur, je me disais bien que 300 ans d’heure de colle faisaient un peu beaucoup.
- Je t’ai bien us ! Tu es vraiment un boulet, oublier son sac de cour quand même.
- Oui, ça va…
- Bon t’en cas faire si on allait au magasin, on se prend notre journée, en plus une nouvelle bijouterie vient d’ouvrir allons-y ?
- Au point où j’en suis pourquoi pas.
Maria était mon amie d’enfance, ces parents et mes parents sont très proche, ils viennent souvent à la maison, Maria et moi sommes un peu comme des sœurs, on se dit tout, nos peine, nos joie, on ne se cache rien, nous sommes vraiment inséparable. Nous sommes vraiment opposée elle et moi, elle est très extraverti et elle se fiche que pense le monde d’elle, elle a les cheveux blond et elle est grande de taille, moi, je suis plutôt réserver et timide, je suis brune et de taille moyenne. Souvent on est comparé au Yin et yang ou ange et démon.
- Bon allons-y, a ce nouveau magasin.
( le prochain chapitre : la bague NOMIKUS )
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