E.V.N.I (êtres vivants non-identifiés)
Par : Ssk
Genre : Action , Horreur
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 5
Publié le 26/03/12 à 19:45:57 par Ssk
Ce soir, nous avions prévu de regarder des films d’horreur, d’aller dehors et d’aller traîner en ville peut être.
Quand j’allais chercher les films je n’eus pas besoin de lampe torche, on discernait encore quelques rayons de lumière qui filtraient les branches. Cette nuit s’annonçait longue. En faite je flippais avant même de regarder les films d’ horreur : Rec 1 et 2 ( que je vous conseil fortement ) The Ring, ça, AmityVille et Silent dead. J’ai toujurs eu des films d’horreur j’ai moi mais je n’y avais jamais vraiment touché, c’est pas que j’aimais pas ça, mais à vrai dire je viens juste de savoir qu’il y’en avais donc je prends.
J’étais parti chercher les films avec Lucas et même avec lui je flippais, j’espérais que ce pressentiment va pas pourrir la nuit. Non rien ne se passera ce soir, rien.
Lucas interrompit mes pensées.
-Oh mec, n’oublie pas l’ordi !
Ah oui c’est vrai, merde, sinon comment on va regarder les films, que je suis con moi parfois.
-Okay je vais le chercher, toi prend les DVD.
Je montais les escaliers quatre à quatre, j’arrivais dans ma chambre, je pris l’ordinateur la rallonge et son chargeur, puis je regardais pas la fenêtre pour voir ce que faisait les autres, ce qui était totalement con d’ailleurs puisse qu’ils étaient sous la tente et que je ne pouvais évidemment rien voir. Mais j’ai vu quelque chose, ou plutôt quelqu’un à l’entrée de la maison, de ce que je pouvais voir, il avait une capuche noire et des chaussures Nike. Il regardait les tentes dans le jardin. Sans hurler, je dévalais les escaliers en courant toujours avec l’ordi et la rallonge dans les mains, Mes amis ont du me prendre pour un autiste à courir comme ça dans le jardin jusqu’au portail (qu’on ne pouvait pas voir depuis les tentes) et je vis l’individu, il me repérait très vite et dit
-Votre heure arrive.
Ces simples mots qui me firent avoir un vertiges, je n’eus même pas le courages de le poursuivre, de toute façon avec l’ordinateur dans les mains j’avais aucune chance. Mes amis m’avaient rejoins en m’interrogeant du regard. Quelques mots sortirent de ma bouche.
-C’était un homme.
Quand j’allais chercher les films je n’eus pas besoin de lampe torche, on discernait encore quelques rayons de lumière qui filtraient les branches. Cette nuit s’annonçait longue. En faite je flippais avant même de regarder les films d’ horreur : Rec 1 et 2 ( que je vous conseil fortement ) The Ring, ça, AmityVille et Silent dead. J’ai toujurs eu des films d’horreur j’ai moi mais je n’y avais jamais vraiment touché, c’est pas que j’aimais pas ça, mais à vrai dire je viens juste de savoir qu’il y’en avais donc je prends.
J’étais parti chercher les films avec Lucas et même avec lui je flippais, j’espérais que ce pressentiment va pas pourrir la nuit. Non rien ne se passera ce soir, rien.
Lucas interrompit mes pensées.
-Oh mec, n’oublie pas l’ordi !
Ah oui c’est vrai, merde, sinon comment on va regarder les films, que je suis con moi parfois.
-Okay je vais le chercher, toi prend les DVD.
Je montais les escaliers quatre à quatre, j’arrivais dans ma chambre, je pris l’ordinateur la rallonge et son chargeur, puis je regardais pas la fenêtre pour voir ce que faisait les autres, ce qui était totalement con d’ailleurs puisse qu’ils étaient sous la tente et que je ne pouvais évidemment rien voir. Mais j’ai vu quelque chose, ou plutôt quelqu’un à l’entrée de la maison, de ce que je pouvais voir, il avait une capuche noire et des chaussures Nike. Il regardait les tentes dans le jardin. Sans hurler, je dévalais les escaliers en courant toujours avec l’ordi et la rallonge dans les mains, Mes amis ont du me prendre pour un autiste à courir comme ça dans le jardin jusqu’au portail (qu’on ne pouvait pas voir depuis les tentes) et je vis l’individu, il me repérait très vite et dit
-Votre heure arrive.
Ces simples mots qui me firent avoir un vertiges, je n’eus même pas le courages de le poursuivre, de toute façon avec l’ordinateur dans les mains j’avais aucune chance. Mes amis m’avaient rejoins en m’interrogeant du regard. Quelques mots sortirent de ma bouche.
-C’était un homme.
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