Nofake certifié : mon histoire avec Emilie
Par : iPlay
Genre : Sentimental
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 7
Publié le 21/01/09 à 18:58:59 par iPlay
Driiiiing.
Nouvelle récré. Toujours ce même rituel des élèves qui se ruent dehors pour souffler dix minutes entre deux heures de cours ennuyeuses.
Toujours ces mêmes discussions avec mes amis.
Et toujours ce même Mamadou qui roule outrageusement des pelles à ma Emilie.
Cependant, en l'occurence, il ne se trouvait pas sur le banc des couples. Il ne se trouvait pas non plus contre le mur du lycée. En réalité, il ne se trouvait pas non plus près d'Emilie, occupée à se faire draguer par un groupe de 1ère STG.
Non, il n'était pas près d'elle. Et pour tout dire, je n'eus pas à le chercher longtemps...
Je n'eus même pas le temps de commencer à parler de ma partie de Bioshock de la veille avec mes z'amis geeks... Au moment ou j'ouvrais la bouche, quelqu'un me poussa par derrière (le fourbe !), et je manquai de me crouter par terre comme un sale chrosome plafonnier.
Me retournant, je fis face à un Mamadou, qui, visiblement, n'avait pas envie de discuter de Bioshock.
-Alors, jaloux, Alex ? Me fit-il, sans préambule.
-Euh... WTF?
-Apparemment, tu te permets de faire de grandes leçons de morales à ma copine...
-Je fais encore ce que je veux... Répondis-je, en pensant à Emilie, qui m'avait dit ça, quelques heures auparavant.
-Sauf que quand tu insinues que ma princesse est une sal*pe, tu ne fais plus ce que tu veux...
Là, il commençait à me courir sur le haricot, ce Mamadou.
-Ta princesse? Nan mais bolosse, tu la connais depuis deux semaines... Et puis je crois que je la connais mieux que toi, quand même.
-Ben si tu la connais si bien, tu n'avais qu'à sortir avec elle... J'y peux rien, si t'es jaloux, mec! En tout cas t'as pas à traiter ma copine de teuhpu, j'accepte pas ça !
-Mais arrête pauvre noob, tu la traites comme une teuhpu...
Et voilà. Comme avec Emilie, je suis immédiatement que j'étais allé trop loin.
Mamadou étant moins pacifiste qu'elle, il amorça un geste pour me frapper. Geste que je réussis à esquiver (chaud le pgm ).
Le bougre s'apprêtait à frapper à nouveau, mais un cri l'en empêcha.
-ARREEEEEETTE !
Emilie avait réussi à se décoller de son groupe de 1ère STG, et se dirigeait à présent vers nous, ses fesses bougeant de gauche à droite à chacun de ses pas.
-Tu ne vas pas le frapper, quand même...
-Mais mon bébé (argh, cette expression me donna envie de gerber sur ses chaussures "Requin"), il t'a presque traitée de...
-Et alors ? Il ne vaut pas la peine qu'on y accorde de l'importance. Ne l'écoute pas, chéri...
Et, c'est sous mes yeux effarés que tous deux commencèrent à se rouler une galoche d'enfer.
Et si seulement ça avait pu s'arrêter là...
En effet, Emilie murmura alors à Mamadou, assez fort pour que je l'entende :
-Hmm.. Mon coeur, caresse-moi...
Alors, Mamadou, en chien docile, souleva son manteau, dévoilant la microjupe que j'avais soupçonnée.
Avec horreur, je le vis passer les mains sous cette jupe. On ne voyait pas les fesses d'Emilie, mais on devinait qu'il les caressait, qu'il les palpait sans ménagement. Et elle, sa langue collée à celle de Mamadou, cambrait légèrement le cul, de manière à ce que tout le monde ait une folle envie d'elle.
Elle essayait de me rendre jaloux, j'en étais sûr.
Nouvelle récré. Toujours ce même rituel des élèves qui se ruent dehors pour souffler dix minutes entre deux heures de cours ennuyeuses.
Toujours ces mêmes discussions avec mes amis.
Et toujours ce même Mamadou qui roule outrageusement des pelles à ma Emilie.
Cependant, en l'occurence, il ne se trouvait pas sur le banc des couples. Il ne se trouvait pas non plus contre le mur du lycée. En réalité, il ne se trouvait pas non plus près d'Emilie, occupée à se faire draguer par un groupe de 1ère STG.
Non, il n'était pas près d'elle. Et pour tout dire, je n'eus pas à le chercher longtemps...
Je n'eus même pas le temps de commencer à parler de ma partie de Bioshock de la veille avec mes z'amis geeks... Au moment ou j'ouvrais la bouche, quelqu'un me poussa par derrière (le fourbe !), et je manquai de me crouter par terre comme un sale chrosome plafonnier.
Me retournant, je fis face à un Mamadou, qui, visiblement, n'avait pas envie de discuter de Bioshock.
-Alors, jaloux, Alex ? Me fit-il, sans préambule.
-Euh... WTF?
-Apparemment, tu te permets de faire de grandes leçons de morales à ma copine...
-Je fais encore ce que je veux... Répondis-je, en pensant à Emilie, qui m'avait dit ça, quelques heures auparavant.
-Sauf que quand tu insinues que ma princesse est une sal*pe, tu ne fais plus ce que tu veux...
Là, il commençait à me courir sur le haricot, ce Mamadou.
-Ta princesse? Nan mais bolosse, tu la connais depuis deux semaines... Et puis je crois que je la connais mieux que toi, quand même.
-Ben si tu la connais si bien, tu n'avais qu'à sortir avec elle... J'y peux rien, si t'es jaloux, mec! En tout cas t'as pas à traiter ma copine de teuhpu, j'accepte pas ça !
-Mais arrête pauvre noob, tu la traites comme une teuhpu...
Et voilà. Comme avec Emilie, je suis immédiatement que j'étais allé trop loin.
Mamadou étant moins pacifiste qu'elle, il amorça un geste pour me frapper. Geste que je réussis à esquiver (chaud le pgm ).
Le bougre s'apprêtait à frapper à nouveau, mais un cri l'en empêcha.
-ARREEEEEETTE !
Emilie avait réussi à se décoller de son groupe de 1ère STG, et se dirigeait à présent vers nous, ses fesses bougeant de gauche à droite à chacun de ses pas.
-Tu ne vas pas le frapper, quand même...
-Mais mon bébé (argh, cette expression me donna envie de gerber sur ses chaussures "Requin"), il t'a presque traitée de...
-Et alors ? Il ne vaut pas la peine qu'on y accorde de l'importance. Ne l'écoute pas, chéri...
Et, c'est sous mes yeux effarés que tous deux commencèrent à se rouler une galoche d'enfer.
Et si seulement ça avait pu s'arrêter là...
En effet, Emilie murmura alors à Mamadou, assez fort pour que je l'entende :
-Hmm.. Mon coeur, caresse-moi...
Alors, Mamadou, en chien docile, souleva son manteau, dévoilant la microjupe que j'avais soupçonnée.
Avec horreur, je le vis passer les mains sous cette jupe. On ne voyait pas les fesses d'Emilie, mais on devinait qu'il les caressait, qu'il les palpait sans ménagement. Et elle, sa langue collée à celle de Mamadou, cambrait légèrement le cul, de manière à ce que tout le monde ait une folle envie d'elle.
Elle essayait de me rendre jaloux, j'en étais sûr.
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