Quelques poèmes.
Par : Peace
Genre : Nawak
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 2
2
Publié le 07/03/12 à 11:29:53 par Peace
Pâle rose du petit matin
Éclose à l'aube glacée
D'un hiver étiré en vain
Dans la lumière qui perçait.
Un rayon vint caresser
Tes pétales presque fermées,
Et lentement effleurer
Ton fin visage, apaisé.
Sentant une douce chaleur,
Une sensation t'enivrait,
Qui faisait battre ton cœur,
Un sourire tu esquissais.
Et alors que lentement fondait
La glace qui t'enfermait,
Fine rosée qui étincelait,
Tu te sentais t'éveiller.
Au jour tu t'épanouissais,
Seule dans la neige tenace,
Sous le soleil qui t'éclairais,
Tu te reposais, lasse.
Annonciatrice du printemps,
Tu n'en étais que plus belle,
Fragile, portée par les vents,
Naquirent fleurs nouvelles.
Car les neiges d'antan,
Dessous ta jeune ardeur,
S'étaient enfin retirées,
Laissant un tapis de fleurs.
Toi, distinguée de toutes,
Jamais tu ne fanais,
Tu survivais coute que coute,
Mais toujours unique tu étais.
Éclose à l'aube glacée
D'un hiver étiré en vain
Dans la lumière qui perçait.
Un rayon vint caresser
Tes pétales presque fermées,
Et lentement effleurer
Ton fin visage, apaisé.
Sentant une douce chaleur,
Une sensation t'enivrait,
Qui faisait battre ton cœur,
Un sourire tu esquissais.
Et alors que lentement fondait
La glace qui t'enfermait,
Fine rosée qui étincelait,
Tu te sentais t'éveiller.
Au jour tu t'épanouissais,
Seule dans la neige tenace,
Sous le soleil qui t'éclairais,
Tu te reposais, lasse.
Annonciatrice du printemps,
Tu n'en étais que plus belle,
Fragile, portée par les vents,
Naquirent fleurs nouvelles.
Car les neiges d'antan,
Dessous ta jeune ardeur,
S'étaient enfin retirées,
Laissant un tapis de fleurs.
Toi, distinguée de toutes,
Jamais tu ne fanais,
Tu survivais coute que coute,
Mais toujours unique tu étais.
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