Journal de bord bug +145
Par : Boris-Ivanovich
Genre : Science-Fiction
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 16
16 - BUG + 1h00
Publié le 14/07/11 à 18:43:27 par Boris-Ivanovich
Comment se redresser après tout cela. Je revins des toilettes après y avoir vomi mon diner de la veille. Le corps de Fred ainsi que de ces tueurs avaient été ramassé et ramené par les militaires au commissariat.Ils étaient allongés sous des draps dans un bureau en attendant que l'on puisse rapidement s'occuper d'eux.
Il y avait en fait une forte agitation qui ne m'avait pas vraiment surpris à notre arrivé.
Maintenant que l'adrénaline était tombé, que mon cœur avait cessé de battre la chamade et que tout le reste de mon corps ne tremblait plus, je vis les militaires. Des soldats, il y en avait partout.
Je pourrais dire que moi aussi je suis encore militaire en tant que Gendarme. Mais là, il y en avait plus que les policiers qui avaient été mis de coté.
Leur organisation était impeccable. Chaque soldat savait exactement ce qu'il devait faire et il le faisait avec célérité.
Mes hommes et moi-même, avions été mis de coté à cause de l'état de choc dans lequel nous sommes arrivés après l'affrontement à l'arme d'assaut.
Un policier vint vers moi et me tendit une tasse.
- Qu'est ce qui s'est passé en ville ?demandais-je.
- Une bombe terroriste à Impulsion Electro-Magnétique, me répondit le gars. C'est les militaires qui en ont parlé lorsqu'ils ont installé leurs
générateurs électriques.
- Des terroristes ? Je bus une gorgée de café qui m'enleva le goût de dégueulis. Au moins il était chaud.
- Ouais, et ils semblent qu'ils en ont fait péter un peu partout en France. Surtout dans les grandes villes. Une évacuation est prévue pour protéger la population contre des attaques NBC.
- Des attaques NBC? Mais mince alors, c'est qui ces terroristes? A-Quaida? Ou quelque chose comme ça?
- Je n'ai pas la réponse et je n'ai pas d'autres informations. Les radios sont HS et la télé aussi. Aucune information de l'extérieur.
- C'est vraiment le bazar alors. Ils viennent d'où? Questionnais-je en montrant les bidasses.
- je ne sais pas ils n'ont même pas d'écusson.
Sur ces mots, le policier me quitta pour rejoindre quelques uns de ses amis.
Je me rapprochais de mes gendarmes adjoints.
- Alors comment allez-vous?
- Dur, rien ne passe. Les téléphones sont grillés? Je ne sais pas si ma copine va bien.
- Pareil pour moi les gars. Je ne peux pas savoir si ma femme et mes enfants vont bien. Et impossible d'avoir une liaison avec la Compagnie ou le Centre Opérationnel. Pour l'instant, on est seul avec les policiers. On verra à l'aube comment cela se présente.
Je pris mon sac sur les épaules et montrais un bureau beaucoup plus calme pour se poser. La nuit allait être longue et personne avait besoin de nous.
C'est là, à ce moment que j'aurais du me méfier. Les militaires étaient nerveux. Certains le montraient en regardant leur montre toutes les quinze secondes.
Le cri, ou l'ordre vint : « GAZ!! »
Tout le monde mis son masque à gaz.
Tout le monde, non, sauf les policiers et nous.
Il y avait en fait une forte agitation qui ne m'avait pas vraiment surpris à notre arrivé.
Maintenant que l'adrénaline était tombé, que mon cœur avait cessé de battre la chamade et que tout le reste de mon corps ne tremblait plus, je vis les militaires. Des soldats, il y en avait partout.
Je pourrais dire que moi aussi je suis encore militaire en tant que Gendarme. Mais là, il y en avait plus que les policiers qui avaient été mis de coté.
Leur organisation était impeccable. Chaque soldat savait exactement ce qu'il devait faire et il le faisait avec célérité.
Mes hommes et moi-même, avions été mis de coté à cause de l'état de choc dans lequel nous sommes arrivés après l'affrontement à l'arme d'assaut.
Un policier vint vers moi et me tendit une tasse.
- Qu'est ce qui s'est passé en ville ?demandais-je.
- Une bombe terroriste à Impulsion Electro-Magnétique, me répondit le gars. C'est les militaires qui en ont parlé lorsqu'ils ont installé leurs
générateurs électriques.
- Des terroristes ? Je bus une gorgée de café qui m'enleva le goût de dégueulis. Au moins il était chaud.
- Ouais, et ils semblent qu'ils en ont fait péter un peu partout en France. Surtout dans les grandes villes. Une évacuation est prévue pour protéger la population contre des attaques NBC.
- Des attaques NBC? Mais mince alors, c'est qui ces terroristes? A-Quaida? Ou quelque chose comme ça?
- Je n'ai pas la réponse et je n'ai pas d'autres informations. Les radios sont HS et la télé aussi. Aucune information de l'extérieur.
- C'est vraiment le bazar alors. Ils viennent d'où? Questionnais-je en montrant les bidasses.
- je ne sais pas ils n'ont même pas d'écusson.
Sur ces mots, le policier me quitta pour rejoindre quelques uns de ses amis.
Je me rapprochais de mes gendarmes adjoints.
- Alors comment allez-vous?
- Dur, rien ne passe. Les téléphones sont grillés? Je ne sais pas si ma copine va bien.
- Pareil pour moi les gars. Je ne peux pas savoir si ma femme et mes enfants vont bien. Et impossible d'avoir une liaison avec la Compagnie ou le Centre Opérationnel. Pour l'instant, on est seul avec les policiers. On verra à l'aube comment cela se présente.
Je pris mon sac sur les épaules et montrais un bureau beaucoup plus calme pour se poser. La nuit allait être longue et personne avait besoin de nous.
C'est là, à ce moment que j'aurais du me méfier. Les militaires étaient nerveux. Certains le montraient en regardant leur montre toutes les quinze secondes.
Le cri, ou l'ordre vint : « GAZ!! »
Tout le monde mis son masque à gaz.
Tout le monde, non, sauf les policiers et nous.
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