Il faisait sombre et des bruits de grognements faisaient échos sur toutes les parois.
J’avançais doucement vers le bruit horrifiant, qui me faisait parcourir les frissons dans tout mon dos. D’un coup ! Je voyais un monstre répugnant, il était très grand et très large, à peu près 20 mètres de hauteur sur 10 mètres de largeur. Il était vert, mélangé avec du marron et du rouge, il avait une peau semblable à des écailles de poisson, une odeur de mort pénétrais dans mes narines, qui me donnais la nausée. Ce monstre, avait de la bave qui couler de sa bouche par litre. Il se redressait sans cesse sur ces énormes pattes arrière. Le monstre était en folie, il hurler de toute sa puissance, peut être sentait-il ma présence… Des flammes gigantesque sortaient de sa gueule affreuse et véritablement laide, ces yeux globuleux jaunes avec un iris en ovale, bougeaient dans tous les sens.
Les pulsations de mon cœur tambourinaient de plus en plus fort dans ma poitrine.
La peur commençait à m’envahir.
Je ne pouvais plus bouger.
Mes membres étaient tétanisés.
La peur pétrifiait tout mon corps.
Je souhaitais vraiment m’enfuir, je voulais partir loin d’ici. Mais, j’avais promis à ma petite sœur qu’il ne lui arriverait rien. Non ! Il fallait à présent que je me ressaisi-ce, il ne faut pas que j’abandonne lâchement, ce n’est pas digne du tout d’un Guerrier Lotwar.
Il fallait que j’arrive à me calmer et, de ne plus avoir peur. Il fallait que j’aille affronter cette bête dégoutante. Pendant des années j’ai suivi un entrainement sans relâche, dure, on m’avait traité comme une moins que rien, un entrainement solide pour pouvoir à avoir affronté ce genre de situation. Et, il fallait a tout pris que je saisisse cette chance, offert pas… Dieu seul le sais. Mon rêve depuis petite était de montrer à mon peuple que je peux devenir 1er Guerrier de Lotwar, en tant que femme.
Je respirais un grand coup d’aire, et pris mon courage à deux mains.
J’ai sorti ma bague Nomikus, pouvoir de la terre.
J’étais rentré dans la pièce face au monstre.
J’avais repérer des plantes vertes sur le sol à côté du monstre visqueux. Sans perdre une seconde je brandissais ma bague vers le plafond et je me concentrais sur ces plantes et espérais de tout cœur que cela marcherais. Une lumière éblouissante envahi en un flash tout la pièce, (j’ai toujours trouvée ça super classe). Les plantes ont à peine bougé, comme s’il y avait une petite brise d’air, mais s’en plus. Je n’arrivais pas à maitriser ma peur.
Je ferme les yeux en pensant à Lyhas. ZYARIA ! Un cri persan sorti de nulle part. C’était elle, ça voix je l’ai reconnu, il me semblait de l’avoir entendu sorti du ventre du monstre baveux. Comment affronter cette chose dégoulinante et écailleuse, alors que ma petite sœur était à l’intérieur de lui ?

- Toi… le moche qui bave ! Tu as osé engloutir ma petite sœur, je ne t’épargnerais pas, soit prêt pour tes dernière secondes !
J’ai à nouveau refermais mes yeux, tête baisser et brandit encore une fois mon bras gauche d’un coup en l’air poing levé, en criant :

- Lyhas ! JE TE SAUVERAIS !
La lumière inondait à nouveau la pièce mais d’une force incroyable, je ne pouvais pas rouvrir mes yeux, je pouvais sentir une puissance phénoménale qui se dégagée de mon corps, je pouvais entendre le monstre hurler de douleur, mais je devais rester concentrer, et garder le plus longtemps cette puissance.
Le monstre hurler plus, la lumière s’estomper de plus en plus, et je pouvais distinguer une silhouette. Lyhas.
J’avais réussi. Je l’avais sauvé. Elle était la saine et sauve. Le montre n’existait plus, une grosse marre de gelée prenait sa place à présent.
Ma bague inscrivait à présent : N35, enfin !
Je me sentais fatiguée, ma vision de devenais, flou.
Je tomber sur le sol, et puis plus rien.