Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

L'amour n'est que tromperie


Par : MrLasfatal
Genre : Sentimental
Statut : Abandonnée



Chapitre 1 : Jeremy


Publié le 09/01/2012 à 22:12:14 par MrLasfatal

Et dire que tout aller bien avant que je ne fasse cette connerie...
Je me serais tus, pour une fois, et tout aurais été parfait...
Et pourtant, j'ai fait ce que le cœur me disait de faire...
Je les fais, et maintenant je le regrette, je peux le jurer, je n'écouterais plus jamais mon cœur, mais mon cerveaux.

Tout à commencer à l'âge de mes 9 ans, mon père venait de se faire muter par son patron pour des raisons qui me sont toujours obscures.

Rue des Pommiers 13.

C'était là où nous allions habiter, je savais que ça ne dérangerais pas mère de changer de ville, et aurait suivit mon père partout.
Mon premier jour d'école c'était mal passé, je mettais déjà mis sur le dos un bon monde de personnes, mais je me rappellerai toujours de notre rencontre, ça faisait même pas 2 heures que je venais d'arriver, qu'elle m'avait adresser la parole en me disant : « Salut ! » avec un grand sourire que n'oublierais jamais, c'était ce grand sourire qui m’a tout de suite plus chez elle, mais ce n'était pas tout, entre son magnifique visage, sa voie d'ange ou encore sont rire si prenant, elle avait tout pour plaire...
J'ai toujours pensé que j'avais une chance avec elle, même à mes 9 ans j'étais fous d'elle, alors le jour où j'ai vu que je me retrouverais dans sa classe ma tant fait plaisir, il ne manquer plus qu'à lui parlait, mais vu ma timidité, cela était une chose plutôt dure à réaliser, heureusement, se fut elle qui le fit...

–Eh, salut, c'est quoi ton nom? me demanda-t-elle avec son sourire.
Je lui répondis difficilement mais je le fis quand même.
–Euh... Je... Jeremy, et toi?
–Moi c'est Caroline! S'exclama-t-elle.
–Tu es nouveau ici ? Me demanda-t-elle.
–Oui ça fait 2 jours... et euh...
Je me souviens que je n'étais timide qu'avec elle, je me demande pourquoi d’ailleurs.
–Tu sais, ça fait 1 ans que je vis ici, donc je sais ce que sa fait d'être le nouveau, mais ne t'inquiète pas, ici ils ne sont pas méchant.
Je me rends compte, que nous étions complémentaire, en effet, on s'est toujours remonté le moral, car nous savions tous les deux ce que l'autre avait.
–Ah ok, mais tu sais, je n’ai pas peur, je suis même plutôt courageux !
D'accord ma technique de drague n'était pas au point, mais j'avais 9 ans, et grâce à elle, je me suis grandement amélioré.
–Donc monsieur est téméraire. Me fit remarquer Caroline en rigolant.
Je vous ai déjà parlais de son rire ? Une fois qu'elle rigolait, je la suivais sans m'en rendre compte.
–Haha, donc tu ne me crois pas ? Et que puis-je faire pour que tu me croies ?
J’étais si sûr de moi à l'époque, alors que maintenant c'est une autre histoire.
–Rien, je te crois ! Me fit-elle en me laissant un clin d’œil.
Notre discussion prit fin au moment où la sonnerie retentit.
Je n'aurais jamais pensé, qu'à ce moment-là, elle pouvait être amoureuse de moi, je me rappelle bien le jour où Cassi, m'avait demandait de sortir avec elle, d'accord elle était belle... Mais elle n'avait pas la beauté de Caroline, ni sa voix, ni son sourire, ni sa naïveté légendaire, ni son don pour la photographie qui m’a toujours fasciné chez elle, même qu'on aurait pu devenir les meilleur reporter au monde, elle avec ses photo hors du commun, et moi et ma créativité, je pence pas que je suis fort pour écrire, mais plutôt que je suis fort pour gérer ma créativité.

Les jours passèrent si vite en sa compagnie, plus nous grandissions, plus mon amour grandissait pour elle. A un point même où je me serais coupé un bras pour un baiser. Elle a toujours était la première à me soutenir, à m'aider à réaliser tous mes projets, je me demande même si je l'avais remercié depuis le temps.

Aujourd'hui j'ai 16 ans tout comme elle, et il y a deux semaines, ses parents sont mort dans un accident de voiture, ils ont percuté un camion de front, elle était chez moi quand ça s'est passé, quand la police l'avait appelé j'avais fait tout mon possible pour lui remonter le moral, mais c'était une chose impossible, car pour moi, rien ne peut remplacer une famille, elle est donc partit vivre à Paris.
Sa tante a décidé de la placer dans un internat catholique, elle ne pourra plus jamais en sortir...
Le jour de son départ, tout le monde lui fit ses adieux, moi, j'ai pris mon courage à deux mains, et je lui avouai mes sentiments pour elle, elle commença à pleurer je ne sais trop pourquoi, et elle me prit dans ses bras. Je la reverrais sans doute jamais.


Commentaires