L'amour n'est que tromperie
Par : MrLasfatal
Genre : Sentimental
Status : Abandonnée
Note :
Chapitre 5
Révélation et Trahison
Publié le 10/01/12 à 12:32:57 par MrLasfatal
Jeremy
Aujourd’hui, j’ai reçu une lettre, j’ai commencé à la lire, et j’étais septique, cette lettre ne mettais pas destiné, jusqu’à ce que je voie Je t’aime, Caroline.
D’après ce que j’ai compris, il n’y a que la famille qui puisse encore lui rendre visite, mais seu-lement avec l’accord de sa tante.
J’y retourne demain, en lui suppliant, j’aurais peut-être une chance.
Mais ce soir, je sors avec Mélodie, on va au cinéma.
C’est la première fois que je me sens bien avec une fille autre que Caroline.
Son sourire me rappelle celui de Caroline, moi qui croyais qu’il était unique.
J’ai passé une superbe soirée en compagnie de Mélodie, cette fille me redonne le sourire, mais
CAROLINE SERA TOUJOURS UNIQUE.
Je tien à l’écrire, comme ça le jour où mon cœur flanchera, j’aurais l’écris pour m’en dissuader.
Je n’ai pas de peine à discuter avec elle, c’est comme si j’avais déjà l’habitude…
Je me rends chez la tante de Caroline, mais je ressens du stress, de l’effrois, et surtout de l’anxiété, et je déteste ressentir ça.
« Aller, je toc. »
Mais à ma grande surprise, Mélodie ouvris la porte…
M: Jeremy ? Mais comment tu sais que je vis ici ?
j: Mé..Mé…Mélodie ? Tu vis ici ?
m: Oui, ma mère vis ici. (Non… non… mais non… ce n’est pas possible…)
j: Tu es donc la cousine à Caroline ?
m: Caroline ? euh, je ne sais même qui s’est.
j: … Tu es la nièce de Christina ?
m: Oui, c’est elle qui est morte.
j: Bin, sa fille s’appelle Caroline, et elle est ma meilleure amie.
m: Écoute, je ne suis pas au courant pour sa fille…
j: Bref, je suis venu parlait à ta mère.
m: Elle n’est pas là pour le moment, mais je peux lui transmettre ton message.
j: Non, c’est personnel. Et sinon, ça te dis qu’on ait boire un verre un jour ou l’autre ?
m: Et pourquoi pas maintenant ?
j: Maintenant ? Si tu veux…
2 Milshack plus tard :
m: Dis-moi, tu me raconte pas de bêtise pour Clara ?
j: Son nom c’est Caroline… et non.
m: Ma mère m’en a jamais parlé, mais mon père, avant qu’il parte m’en a vaguement parlé, mais j’étais vraiment jeune.
j: Je vois…
m: Mais tu étais proche d’elle ?
j: Je n’aie jamais était aussi proche d’une personne à part elle.
m: Et elle est où ?
j: C’est pour cela que je suis venu voir ta mère. Elle l’a mise dans un couvant en pleine cam-pagne, et je dois lui rendre visite, mais seul la famille peux la voir, et l’accord de ta mère est primordiale.
m: Ok, on ira lui demander ça quand elle rentrera, soit, demain.
j: Cool.
m: Bon, je te dis à demain, il commence à se faire tard, et je suis crevé.
j: Oui, je te raccompagne.
m: Et dis-moi, il n’a rien entre toi et ma cousine ?
j: … On dira que nous sommes des amis.
m: Cool, donc je peux t’embrasser, car je ne vais pas te mentir, mais j’en crève d’envie.
Je n’eus même pas eu le temps de donner une réponse que ses lèvre étaient déjà en contact avec les miennes.
j: Demain, même heure.
m: Oui.
Je n’arrive pas à croire que j’ai embrassé la cousine de la fille que j’aime…
Et que cette fille… n’avait jamais apparus dans nos vies.
Mais qui était-elle ?
Pourquoi nous l’avions jamais vu aux paravents ?
Je devais le savoir.
Caroline.
Le nom de Mélodie te dit quelques-choses, car je crois que j’ai retrouvé notre cousine.
Je l’ai croisée chez notre tante, et j’ai sympathisé avec elle jusqu’à me rendre compte de qui il s’agissait.
Si je viens, se sera avec elle.
Bisous, je t’aime tellement.
Jeremy.
Caroline
Une des sœurs a couru vers moi en me tendant une lettre, enfin la réponse de Jeremy.
Je m’enfermai dans le dortoir pour lire cette lettre, seule, sans personne.
Mélodie ? Ma cousine…
Mais qui est cette fille ?
De toute façon je le serais tout au tard…
Chers Jeremy, je me souviens d’aucune Mélodie appartenant à notre famille, mais si vous me rendez visite, se sera avec la plus grande joie que je la saluerais comme étant ma cousine.
Viens le plus vite possible.
Bisous, Je t’aime.
Caroline.
Aujourd’hui, j’ai reçu une lettre, j’ai commencé à la lire, et j’étais septique, cette lettre ne mettais pas destiné, jusqu’à ce que je voie Je t’aime, Caroline.
D’après ce que j’ai compris, il n’y a que la famille qui puisse encore lui rendre visite, mais seu-lement avec l’accord de sa tante.
J’y retourne demain, en lui suppliant, j’aurais peut-être une chance.
Mais ce soir, je sors avec Mélodie, on va au cinéma.
C’est la première fois que je me sens bien avec une fille autre que Caroline.
Son sourire me rappelle celui de Caroline, moi qui croyais qu’il était unique.
J’ai passé une superbe soirée en compagnie de Mélodie, cette fille me redonne le sourire, mais
CAROLINE SERA TOUJOURS UNIQUE.
Je tien à l’écrire, comme ça le jour où mon cœur flanchera, j’aurais l’écris pour m’en dissuader.
Je n’ai pas de peine à discuter avec elle, c’est comme si j’avais déjà l’habitude…
Je me rends chez la tante de Caroline, mais je ressens du stress, de l’effrois, et surtout de l’anxiété, et je déteste ressentir ça.
« Aller, je toc. »
Mais à ma grande surprise, Mélodie ouvris la porte…
M: Jeremy ? Mais comment tu sais que je vis ici ?
j: Mé..Mé…Mélodie ? Tu vis ici ?
m: Oui, ma mère vis ici. (Non… non… mais non… ce n’est pas possible…)
j: Tu es donc la cousine à Caroline ?
m: Caroline ? euh, je ne sais même qui s’est.
j: … Tu es la nièce de Christina ?
m: Oui, c’est elle qui est morte.
j: Bin, sa fille s’appelle Caroline, et elle est ma meilleure amie.
m: Écoute, je ne suis pas au courant pour sa fille…
j: Bref, je suis venu parlait à ta mère.
m: Elle n’est pas là pour le moment, mais je peux lui transmettre ton message.
j: Non, c’est personnel. Et sinon, ça te dis qu’on ait boire un verre un jour ou l’autre ?
m: Et pourquoi pas maintenant ?
j: Maintenant ? Si tu veux…
2 Milshack plus tard :
m: Dis-moi, tu me raconte pas de bêtise pour Clara ?
j: Son nom c’est Caroline… et non.
m: Ma mère m’en a jamais parlé, mais mon père, avant qu’il parte m’en a vaguement parlé, mais j’étais vraiment jeune.
j: Je vois…
m: Mais tu étais proche d’elle ?
j: Je n’aie jamais était aussi proche d’une personne à part elle.
m: Et elle est où ?
j: C’est pour cela que je suis venu voir ta mère. Elle l’a mise dans un couvant en pleine cam-pagne, et je dois lui rendre visite, mais seul la famille peux la voir, et l’accord de ta mère est primordiale.
m: Ok, on ira lui demander ça quand elle rentrera, soit, demain.
j: Cool.
m: Bon, je te dis à demain, il commence à se faire tard, et je suis crevé.
j: Oui, je te raccompagne.
m: Et dis-moi, il n’a rien entre toi et ma cousine ?
j: … On dira que nous sommes des amis.
m: Cool, donc je peux t’embrasser, car je ne vais pas te mentir, mais j’en crève d’envie.
Je n’eus même pas eu le temps de donner une réponse que ses lèvre étaient déjà en contact avec les miennes.
j: Demain, même heure.
m: Oui.
Je n’arrive pas à croire que j’ai embrassé la cousine de la fille que j’aime…
Et que cette fille… n’avait jamais apparus dans nos vies.
Mais qui était-elle ?
Pourquoi nous l’avions jamais vu aux paravents ?
Je devais le savoir.
Caroline.
Le nom de Mélodie te dit quelques-choses, car je crois que j’ai retrouvé notre cousine.
Je l’ai croisée chez notre tante, et j’ai sympathisé avec elle jusqu’à me rendre compte de qui il s’agissait.
Si je viens, se sera avec elle.
Bisous, je t’aime tellement.
Jeremy.
Caroline
Une des sœurs a couru vers moi en me tendant une lettre, enfin la réponse de Jeremy.
Je m’enfermai dans le dortoir pour lire cette lettre, seule, sans personne.
Mélodie ? Ma cousine…
Mais qui est cette fille ?
De toute façon je le serais tout au tard…
Chers Jeremy, je me souviens d’aucune Mélodie appartenant à notre famille, mais si vous me rendez visite, se sera avec la plus grande joie que je la saluerais comme étant ma cousine.
Viens le plus vite possible.
Bisous, Je t’aime.
Caroline.
Vous devez être connecté pour poster un commentaire