Ma rencontre avec elle..
Par : RazerBlackWidow
Genre : No-Fake , Sayks
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 12
J't'invite ok ?
Publié le 02/11/11 à 04:10:31 par RazerBlackWidow
J'embrasse une dernière fois Laury et sors de la chambre pour boire ma bière.
Je me dirige vers le salon. Finalement c'est pas tant le bordel que ça, juste l'odeur
Y: "Tiens ta bière poto et roule un mig !"
A: "Ah cimer, on attaque bien la journée hein !"
Y: "Il faut c'qui faut hein !"
Je roule un joint tout en buvant ma bière, quand je reçois un appel de ma mère, flemme de répondre on verra le répondeur. Je compose le 123 et écoute mon message.
"Coucou, c'est maman, je rentre bien en fin de journée, on va à perpignan ensemble et range la maison, bisous"
J'en étais sur, elle veut que j'y aille avec elle. Eh merde j'aurais pu faire dormir Laury chez moi encore, fais chier quoi !
Je fais tourner le joint et part voir Laury dans la chambre, faut que je récupére son numéro et que je voye pour allez voir un film avec chez moi pendant cet après midi. J'ouvre la porte de la chambre, plus de Laury et plus de Chloé, eh merde elles sont ou ? Je vais voir dans la cuisine, personne. Je passe voir Yohan dans le salon il est plus la non plus. Alors soit j'ai eu une absence et ils sont partis, soit je suis débile Je suis débile, ils fument dans le jardin.
A: "Putain je vous avez perdu dans la maison !"
Tout le monde se met à rire et se fout de ma gueule, génial.
Y: "T'es défoncer ou quoi ?"
Ben je pense que je pense pas que je suis pas défoncer.. ah si je suis défoncer
Je cherche Laury du regard pour lui faire un sourire qu'elle me renvoie.
A: "C'est quoi ta beuh hein ?"
Y: "Conso ultra perso que t'aurais meme pas du fume négro !"
Non je ne suis pas noir, c'est un simple délire venant des films américains à la How High
A: "Je vois le délire man, Laury tu peux venir 2 secondes je veux te parler."
Je reçois un clin d'oeil de la part de Yohan tte de Chloé, décidément ces deux la
L: "Oui oui je te suis !"
Je m'éloigne un peu du groupe en prennant Laury avec moi.
L: "C'est grave docteur ?"
A: "Ah oui très, il me faudrait votre numéro de téléphone ainsi qu'un rendez vous chez moi cet après midi !"
L: "D'accord alors pour le numéro c'est le 06.18.**.**.** (même pas en reve ) et pour le rencard.."
A: "J'ai dis rendez vous.. "
L: "Et pour le RENCARD c'est d'accord, mais seulement si vous m'embrassez docteur.."
A: "Ah parfait je vais pouvoir mieux diagnostiquer le probleme !"
Ouais bon la j'en fais trop, je vais m'arrêter la Je m'approche donc d'elle et l'embrasse avec passion à sa plus grande joie.
L: "Miam, recommence !"
Bah écoutes pas de soucis, je l'embrasse à nouveau, lui touche les fesses et obtient un petit sourire coquin de sa part.
A: "On part chez moi d'ici 30 minutes ?"
L: "Ça me convient !"
A: "Par contre tu repars comment ? Tu pourra pas dormir chez moi, ma mere rentre en fin d'après midi.."
L: "Ah, ben j'appelerais ma mère.."
A: "Ça marche, un bisou ?"
Elle s'est approcher de moi, ma tirer le col vers elle et m'a embrasser d'une tel sorte que j'ai compris un "fais moi l'amour" à travers la salive
Nous sommes retourner avec Chloé et Yohan (qui s'embrassaient au passage) pour les prevenirs que nous allions partir.
Je me dirige vers le salon. Finalement c'est pas tant le bordel que ça, juste l'odeur
Y: "Tiens ta bière poto et roule un mig !"
A: "Ah cimer, on attaque bien la journée hein !"
Y: "Il faut c'qui faut hein !"
Je roule un joint tout en buvant ma bière, quand je reçois un appel de ma mère, flemme de répondre on verra le répondeur. Je compose le 123 et écoute mon message.
"Coucou, c'est maman, je rentre bien en fin de journée, on va à perpignan ensemble et range la maison, bisous"
J'en étais sur, elle veut que j'y aille avec elle. Eh merde j'aurais pu faire dormir Laury chez moi encore, fais chier quoi !
Je fais tourner le joint et part voir Laury dans la chambre, faut que je récupére son numéro et que je voye pour allez voir un film avec chez moi pendant cet après midi. J'ouvre la porte de la chambre, plus de Laury et plus de Chloé, eh merde elles sont ou ? Je vais voir dans la cuisine, personne. Je passe voir Yohan dans le salon il est plus la non plus. Alors soit j'ai eu une absence et ils sont partis, soit je suis débile Je suis débile, ils fument dans le jardin.
A: "Putain je vous avez perdu dans la maison !"
Tout le monde se met à rire et se fout de ma gueule, génial.
Y: "T'es défoncer ou quoi ?"
Ben je pense que je pense pas que je suis pas défoncer.. ah si je suis défoncer
Je cherche Laury du regard pour lui faire un sourire qu'elle me renvoie.
A: "C'est quoi ta beuh hein ?"
Y: "Conso ultra perso que t'aurais meme pas du fume négro !"
Non je ne suis pas noir, c'est un simple délire venant des films américains à la How High
A: "Je vois le délire man, Laury tu peux venir 2 secondes je veux te parler."
Je reçois un clin d'oeil de la part de Yohan tte de Chloé, décidément ces deux la
L: "Oui oui je te suis !"
Je m'éloigne un peu du groupe en prennant Laury avec moi.
L: "C'est grave docteur ?"
A: "Ah oui très, il me faudrait votre numéro de téléphone ainsi qu'un rendez vous chez moi cet après midi !"
L: "D'accord alors pour le numéro c'est le 06.18.**.**.** (même pas en reve ) et pour le rencard.."
A: "J'ai dis rendez vous.. "
L: "Et pour le RENCARD c'est d'accord, mais seulement si vous m'embrassez docteur.."
A: "Ah parfait je vais pouvoir mieux diagnostiquer le probleme !"
Ouais bon la j'en fais trop, je vais m'arrêter la Je m'approche donc d'elle et l'embrasse avec passion à sa plus grande joie.
L: "Miam, recommence !"
Bah écoutes pas de soucis, je l'embrasse à nouveau, lui touche les fesses et obtient un petit sourire coquin de sa part.
A: "On part chez moi d'ici 30 minutes ?"
L: "Ça me convient !"
A: "Par contre tu repars comment ? Tu pourra pas dormir chez moi, ma mere rentre en fin d'après midi.."
L: "Ah, ben j'appelerais ma mère.."
A: "Ça marche, un bisou ?"
Elle s'est approcher de moi, ma tirer le col vers elle et m'a embrasser d'une tel sorte que j'ai compris un "fais moi l'amour" à travers la salive
Nous sommes retourner avec Chloé et Yohan (qui s'embrassaient au passage) pour les prevenirs que nous allions partir.
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