Dehors régnait un temps froid et plaisant, la neige tombait abondamment, le sol était recouvert d'une épaisse couche de neige, cela me rappelait mon enfance, là ou j'appelait cette couche de neige, de la "chantilly". J'étais placé comme une planche dans mon lit, le froid régnait autour de moi, ce qui me donnais encore moins envie de lever. Le moment venu, je me suis forcé de me lever mais lorsque j'étais debout, seul mes pieds habillé de mes chaussons ne frissonnait point, ceci était tellement froid que je sentais déjà le rhume arrivé, au moment où j'arrivai dans ma cuisine, je lançai ma cafetière, j'allumai la télévision et je buvais tranquillement mon café. Vu mon heure de sommeil assez bas, 4 heures plus précisément, je fis une petite sieste. Mon rêve était plaisant, mais aussi un peu sombre, ce dernier racontai mon 6ème anniversaire, mais il n'y avait pas mes parents, mon rêve s'interrompu brusquement lorsque j'entendis un éclair retentir dehors, mais quand je mettais ma tête hors de la fenêtre, il n'y avait pas d'orage, ni de nuages douteux, dans le boulevard où j'habitai, le boulevard Davout, un énorme regroupement s'était regroupée au milieu du carrefour qui se situé à côté de chez moi, j'enfilai un T-Shirt, un cale-bute, un jeans, une blouse et mon revolver que je casa dans mon porte-revolver et j'accouru au carrefour. En arrivant sur place, je montrais ma carte de policier où il était inscrit mon nom et mon grade, je poussai la foule qui était empressée devant le cadavre de la victime, quand j'arrivai enfin sur le lieu du crime, un homme d'une trentaines d'années était allongée par terre, il avait une corpulence mince et avait une petite barbichette avec un impacte de balle au niveau du coeur, une traînée de sang joignait le trottoir et le cadavre, je supposai que la victime avait été traînée jusqu'au milieu du carrefour, quand j'étudiai son cadavre, je trouvas un porte-feuille, à l’intérieur se trouvait 500 euros, une carte d’identités anglaise où je lisais "Carl Hook, born July 12 1974", il y avait ensuite un bout de papier avec marqué dessus "Call me tomorrow at 3:00 p.m. to 523-5653-220 Frank Coll", je ne sus pourquoi, mais ce numéro me disais quelque chose, au moment où je relevai ma tête, un homme d'une origine allemande s'imposa au milieu de la foule en criant qu'il était le père du mort, lui était plus gros et joufflu comparé à son soi-disant fils, en regardant le cadavre, il jeta un regard déçu et profondément bouleversé, je lui demandai de rentrer à son domicile, mais il refusais en vain, je lui dis alors de m'attendre à l'entrée de mon immeuble, je terminais d'examiner le cadavre, au final, il n'y avait rien d'autre sur lui, j'entendis alors les sirène de polices et d'ambulances qui s'approchais de plus en plus, je me relevai et remarqua que l'allemand n'étais plus là, je me dis qu'il était peut-être partis, je laissa donc le corps au policier et les ambulancier. Je rentrais chez moi et ferma les fenêtres pour atténuer les bruit de l’extérieur, je me remettais sur mon canapé et je rêva encore une fois...