Liberté
Par : Gentlekid
Genre : Fantastique , Action
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 4
Mauvaise nuit ?
Publié le 20/10/11 à 23:20:33 par Gentlekid
- Excusez-moi...
Je sursaute. Je n'ai entendu personne approcher ! Je suis pourtant attentive. Était. C'est trop tard maintenant.
C'est l'esprit pleins de questions que je réponds.
- Oui ?
- Sauriez-vous où trouver l'Auberge des Murmures ?
- C'est derrière moi, vous ne pouvez pas vous tromper.
Mes yeux sont habitués à l'obscurité depuis un moment maintenant. L'étonnement passé, je regarde attentivement cet homme. Il est de taille moyenne, il porte une cape grise. Un homme banal.
- Je vous remercie.
Il me fait un grand sourire. C'est un sourire sincère, il a les yeux rieurs. C'est étrange, comment peut-il être si guilleret ? Il est tard, je lui ai juste donné une indication. Il passe à coté de moi, sur ce banc où je suis assise depuis un moment déjà. J'ai perdu la notion du temps et je ne sais pas quand mon contact doit arriver. C'est peut-être lui ?
J'ai comme l'impression qu'une main tiède me caresse le cou. Je me retrouve allongé au sol, une douleur fulgurante dans les bras et les jambes. Personne ne me tien, mais j'ai tellement mal que je ne peux pas bouger. L'homme s'accroupit, palpe, prends la bourse remplie d'or, bien en évidence, et celle qui contient la lettre, cachée entre ma cape et mon dos. Je vais hurler à l'aide, même si je sais que c'est un peu inutile, personne ne viendra m'aider. J'espère pourtant le désorienter. J'ouvre à peine la bouche que je la referme. J'ai envie de vomir... Je me retiens à grand peine. J'ai l'impression qu'un voile noir et profond comme l'espace me couvre. Je ne dois pas m'évan
Je sursaute. Je n'ai entendu personne approcher ! Je suis pourtant attentive. Était. C'est trop tard maintenant.
C'est l'esprit pleins de questions que je réponds.
- Oui ?
- Sauriez-vous où trouver l'Auberge des Murmures ?
- C'est derrière moi, vous ne pouvez pas vous tromper.
Mes yeux sont habitués à l'obscurité depuis un moment maintenant. L'étonnement passé, je regarde attentivement cet homme. Il est de taille moyenne, il porte une cape grise. Un homme banal.
- Je vous remercie.
Il me fait un grand sourire. C'est un sourire sincère, il a les yeux rieurs. C'est étrange, comment peut-il être si guilleret ? Il est tard, je lui ai juste donné une indication. Il passe à coté de moi, sur ce banc où je suis assise depuis un moment déjà. J'ai perdu la notion du temps et je ne sais pas quand mon contact doit arriver. C'est peut-être lui ?
J'ai comme l'impression qu'une main tiède me caresse le cou. Je me retrouve allongé au sol, une douleur fulgurante dans les bras et les jambes. Personne ne me tien, mais j'ai tellement mal que je ne peux pas bouger. L'homme s'accroupit, palpe, prends la bourse remplie d'or, bien en évidence, et celle qui contient la lettre, cachée entre ma cape et mon dos. Je vais hurler à l'aide, même si je sais que c'est un peu inutile, personne ne viendra m'aider. J'espère pourtant le désorienter. J'ouvre à peine la bouche que je la referme. J'ai envie de vomir... Je me retiens à grand peine. J'ai l'impression qu'un voile noir et profond comme l'espace me couvre. Je ne dois pas m'évan
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