23 avril.
16 heure 30
En Afghanistan .

Voila première mission, hier, je ne savait pas qu'elle serait ma première mission, je ne m'attendait pas a ça.

Le Caporal-Chef : ALERTE a la BOMBE, reculez.

Tout le monde recula sauf nous, les soldat. On est venue que a 4 avec notre Caporal-chef qui a insister pour venir avec nous.
Les autres regarde le compteur de la bombe.
Visage effrayer.
Je regarde a mon tour, il affiche 2 heures, je le lis plusieurs fois sans paniquez. Quand soudain je reprit conscience , plus que 2 heure !
Je cherche dans ma mémoire comment désamorcez une bombe ... Je ne m'en souvient plus. Quelqu'un doit la désamorcez, le Caporal-chef doit désigner quelqu'un.
Pas moi , pas moi, pas moi.

Le Caporal-Chef : Tien, toi ! Va désamorcer cette bombe.

Il me désigna. Je l'approcha de la bombe, mains tremblante, je titubais tellement que j'avais peur.
J’enfile des gants de protection prend une pince . J'attend.
Le Caporal-Chef tourna la tête, moi, j'en profita pour demander comment on fessait au soldat qui m'entourer.

Un soldat : C'est ton problème !

Un autre soldat : Débrouille toi tout seul !

Je voulus demander a un autre lorsque le Caporal-Chef se retourna.

Le Caporal-Chef : Qu'est que tu fais, ne perd pas de temps et désamorce cette bombe !

De la sueur coula sur mon front. Si je me loupe, on meurt tous.
Je demande un tourne vis. On me le donne. J’enlève les vis qui fixe le couvercle de la bombe.
Bizarrement il était déjà a moitié dévissée.

Moi : Quelqu'un a toucher a la bombe avant nous ?

Le Caporal-Chef : Non pourquoi ?

Moi : Rien.

J'avais un mauvais pressentiment. J'ouvre quand même la bombe.Plein de fil de toutes les couleurs. Lequel couper ?
Je tremble.
Plus que 30 minutes. J'entend des : " Plus vite ! " un peu partout derrière moi.

Le Caporal-Chef : Coupe le fil jaune qui est reliée au bleu.

Je fit ce qu'il dit. La bombe s'arrêta, mais j'avais toujours mon mauvais pressentiment. Tout le monde hurla de joie et venir tous a l'endroit de la bombe.
Mon mauvais pressentiment augmenta.
Je commença a courir, mais trop tard une deuxième bombe explosa. La foule devenir une marée de sang, mon Caporal-Chef, mes collège soldat tous ensanglanter. Je suis aussi toucher, dans mon dos une grosse brulure. Mais ce n'est rien face au autre. Mon meilleur-amis soldat rampa jusqu’à moi essaya de prononcer quelque chose, cracha du sang et mourut. Je pleur et appelle du secours.