Je comprends pas. Je n'arrive pas à respirer.Un peu comme si vous vous réveillez avec une migale sur le torse. Vous serez tellement étonné et horrifié que vous n'aurez pas le courage de faire quoi que ce soit.
Je ne la savais pas comme ça. Elle s'approche de moi en souriant. Je sais pas quoi faire. Est ce une feinte ? Si j'enlève mon tee shirt, vais-je passer pour le gros mec en manque ? Est ce qu'au moins j'en serai capable, moi qui as une expérience très limitée au niveau de relations amoureuses ?
J'ai pas le temps de réfléchir plus que ça qu'elle s'allonge sur moi. Je sens sa poitrine se presser contre mon torse, ce qui m'envoya un spasme de plaisir dans le corps entier.
Je détache un à un les boutons de ma chemise, sans pour autant l'enlever. J'arrive toujours pas à respirer, comme quand tu te prends un ballon de foot à pleine vitesse dans le bide.
Je suis à la foi vachement mal à l'aise, mais à la fois très bien.
On continue à s'embrasser, comme deux dingues.
Et plus le temps passe, plus on se caresse, et plus je me sens à l'aise. Je tente de dégraffer son soutien-gorge, mais elle me pousse d'une main.
Soudain, elle me soulève du lit, me pousse et me plaque contre un mur. À nouveau, elle met ses mains dans la poche arrière de mon jean en m'embrassant dans le cou. Mmmmh ... Qu'est ce que je me sens bien. Moi aussi, je mets mes mains dans ses poches arrières. C'est la première fois que je me permets ce genre de choses, du moins sur Solenne.
J'ai eu peur un court instant qu'elle se retire et qu'elle me gifle, mais elle se laissa faire, et m'embrassa de nouveau. Elle retira ses mains de mes poches arrières, et les mis cette fois ci entre mon pantalon et mon caleçon. Je n'ose quand même pas l'imiter. Mais d'un bras, elle me pousse avec son coude en faisant un "Mmh !" alors qu'elle avait sa langue dans ma bouche, pour se faire comprendre. Discètrement et doucement, je glissa une main derrière. Elle se serra encore plus contre moi, il devait y avoir zéro centimètre entre mois et elle. De tout notre corps, ce qui me mettait mal à l'aise, de peur qu'elle sente la bosse dans mon pantalon. Ne riez pas, c'est entièrement naturel et compréhensible dans ce genre de situation.
Mais apparement, ça ne la gênait pas. Plus le temps passe, plus on "ose" des choses, et on places nos mains ... ailleurs. Entre deux baisers, je lui murmure que je l'aime de tout mon coeur. Elle me réponds qu'elle aussi. Comme dans les films, elle soulève le cou en expirant vachement fort, frissonnante de plaisir. Désormais, il n'y a aucuns tabou entre nous. Peu à peu, on se rapproche du lit, on est désormais couché l'un sur l'autre. Je me sens TELLEMENT bien ...