Je me rends dans ce fameux parking, je me gare, et je monte avec Eliott.

- « Bonsoir. Prêt ? »

- « Salut. Oui, je suis assez détendu. »

- « Tant mieux alors, il faudra agir avec sang froid. »

- « Vu le plan, c’est sûr. »

- « Donc voilà ton arme, c’est un pistolet équipé d’un silencieux comme prévu, facile à manier. Tu tueras Nico, et moi Jim. Ils seront normalement bourrés, ça sera plus facile. »

- « Compris. »

Maintenant on doit attendre le départ de Nico et Jim. Finalement on attend à peine une demi-heure qu’ils sortent de chez eux et se retrouvent dans une voiture, une Opel Corsa noire. Ils ont l’air très vigilant, ça me donne quelques frissons.

Ils prennent la route, on les suit, mais nous sommes un peu plus loin, il faudrait vraiment être très fort pour voir qu’on les suit, car nous somme très discrets. La voiture s’arrête, devant un HLM, c’est pour se rendre sûrement chez leurs amis.

On attend, garés un peu plus loin dans la même rue. 1h, 2h, 3h, ils sortent enfin, il est 1h du matin. Ils sont moins vigilants, ça doit être à cause de l’alcool. Eliott et moi observons attentivement autour de nous ainsi que les fenêtres du bâtiment, il n’y a pas un chat.

Je prends mon arme, on sort de la voiture, et on se dirige vers eux, qui se préparent pour y aller. Nico prêt à conduire, Eliott va s’occuper de lui, et moi de Jim.

Eliott sort son arme, et tir deux balles dans la tête de Nico, alors assis sur le siège du conducteur, et j’enchaine avec trois balles dans le cœur de Jim, côté passager.

- « Tu vas bien Cole ? »

- « T’inquiètes pas, j’ai l’habitude »

- « Super, on cache les coffres dans le coffre, et on décolle »

- « c’est parti »

Voilà, la mission d’Eliott a réussi, j’ai remplit ma part du contrat.

Sur le chemin du retour, on s’arrête pour acheter un pack de bière à l’épicerie du coin

Lorsque je m’apprête à payer les bières et partir, j’entends une voiture. Une voiture de flic avec 4 personnes est partie voir Eliott, pendant que moi je regarde depuis l’épicerie ce qui se passe.

Eliott me voit dans le magasin, et me regarde d’un air inquiet…