Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

Dead World


Par : Avalanche
Genre : Moins de 15 ans, Horreur
Statut : C'est compliqué



Chapitre 1 : Prologue-Chapitre1


Publié le 31/08/2010 à 16:03:55 par Avalanche

Dead World
[Prologue]
« Je m’appelle Fréderic Gray, employé de bureau à Philadelphie. J’ai pris l’initiative de relater les faits du 21 Juillet 2010 par écrit. Tout y est expliqué, avec les moindres détails. J’aurais voulu être là pour vous les expliquez, mais mon temps presse. Si vous êtes obligez de lire ceci, c’est que je suis mort »

-Monsieur le président, dois-je déclarer l’état d’urgence ?
-Allez-y.

[Chapitre 1 – Là ou tout a commencé]
21 Juillet 2010 : Une date qui va rester dans la mémoire de la population mondiale pour longtemps. Je me présente, Fréderic Gray. Je suis un simple employé de bureau dans un immeuble de Philadelphie, Pennsylvanie. Et pourtant, ce jour-là, je n’allais plus être cela, plus jamais.
La journée commençait, les oiseaux chantait dans le ciel, tout était calme. Une journée comme toutes les autres. J’avais commencé ma journée très tôt, pour remplacer un collègue malade. Je rentrais dans la cantine de la société vers 13 heures, comme dans mon habitude. J’avais remarqué l’absence de beaucoup de personnes ce jour-là, mais je n’y faisais pas trop attention. Pendant la pause, certaines chaînes de télévision ne marchaient plus, et c’est là ou tout a commencé. Je repris ma route vers mon bureau quand j’ai vu un ami collègue dormir dans son bureau. J’ai marché vers lui et en arrivant je lui dis des choses comme « Hé toi » ou « Ca va ? ». Il ne répondait pas. Une autre personne arriva et me dit qu’il était malade mais qu’il a tout de même voulu venir travailler. J’ai quand même voulu savoir pourquoi il y avait autant de malade aujourd’hui alors je suis parti vers le bureau de mon chef. Arrivé là-bas, je toqua à sa porte. Pas de réponses. J’ai répété l’action deux ou trois fois avant d’ouvrir la porte pour de bon. Mais je ne m’attendais pas à ce que j’ai vu à l’intérieur. Allongé par terre, un corps avait des membres arrachés de tous les côtés. Du sang baignait dans toute la pièce. J’étais paralysé par la violence perpétré sur la personne. C’est après que j’ai reconnu le visage de mon patron, mort d’une façon inimaginable. Je suis rentré dans la pièce à la recherche d’une personne ayant commis le meurtre, mais je n’ai trouvé personne. Je m’apprêtais à sortir pour alerter mes collègues quand j’ai entendu un cri strident de femme. Je suis sorti le plus vite possible pour voir ce qui se passait. Je ne voyais personne dans les couloirs donc je suis parti à la recherche dans les bureaux. J’ai commencé par celui ou il y avait cette personne malade qui dormait. Quand j’ai ouvert la porte, il n’y avait personne. Quand tout à coup j’ai senti une main se poser sur mon épaule. Je n’ai pas eu le temps de me retourner que cette main me prit à la gorge et m’envoya à l’autre bout de la pièce. Je me remis debout et découvris que la personne qui m’avait empoigné était la personne malade qui avait disparu. Je ne comprenais pas ce qui m’arrivait, j’étais en plein cauchemar. Les yeux de malade étaient blancs avec un regard meurtrier. Il commença à courir vers moi. Je cherchais à me défendre, à quoi bon les poings avec la force qu’il a ? Sans regarder, je posai ma main sur le bureau situé à ma gauche à la recherche d’un objet qui pourrait arrêter l’agresseur. Je ne trouvais rien. J’ai du regarder aux murs pour trouver ce qu’il fallait. Derrière moi se trouvait une décoration, qui était une batte de baseball accroché dans un cadre. Sans réfléchir, je cassai la vitre pour prendre la batte et le plus vite possible l’utilisa contre l’agresseur. La batte fit son travail. Un coup porté à la tête de la personne le fit tomber à terre. Cependant, il n’était pas inconscient. Avant qu’il puisse se relevé, je lui portai d’autres coups à la tête et à la poitrine, ce qui finit par le tuer.

J’avais regardé par la fenêtre. A l’extérieur, des dizaines de personnes courait et criait. C’est à ce moment que j’entendis plusieurs cris venant de bureaux voisins. Je suis sorti le plus rapidement possible du bureau pour me diriger vers l’ascenseur le plus proche. Sur le chemin, j’observe par les fenêtres des corps dans toutes les pièces, et dans certaines des personnes encore vivantes qui semblait les manger. J’en vois aussi par terre et reconnais certains de mes amis allongés, sans vie. J’atteins enfin l’ascenseur. Quand les portes se sont ouvertes, je découvris plusieurs corps, avec une seule personne encore vivante, un revolver à la main…


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