Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

Blérians : la guilde


Par : El_TTT
Genre : Action
Statut : C'est compliqué



Chapitre 1 : Le poème


Publié le 02/07/2010 à 15:06:26 par El_TTT

"Un mouvement est un souffle, qu'il dure une seconde ou une heure.
Tu dois l'accompagner et ne faire qu'un avec lui".

Emos imprima cette phrase dans son esprit tout en évitant souplement le coup de taille ainsi que le revers qui auraient dûs l'éventrer.
Emos, blérian de son état, était en mauvaise posture, mais il souriait.Il souriait toujours.
Même face à dix combattants chevronnés ayants des sabres dernier cri, et que lui, jeune homme de 15 ans, n'avait aucune armes, était à moitié nu :ouch2: , ne mesurait qu'un (tout petit) métre soixante trois et pesait 46 kilos, il souriait.
Il souriat parcequ'il passait (et passe encore) pour un des plus doués de la guilde :
La guilde des Blérians.
Ce sont des adultes; d'accords.
Ils sont armès et rompus au combat; ça peut encore passer.
Mais...le probléme est là:
Ils ne sont pas assez nombreux!!!!!
Un de ses adversaires souriait lui aussi.
-Oh toi tu ne vas plus sourire longtemps, songea Emos, tu vas avoir une bien mauvaise surprise!
Il se mit en mouvement.Si vite que ses gestes en furent flous.Il enfonca son talon en plein milieu du plexus solaire de l'homme qui se trouvait derriére lui.
Il mourut sur le coup.
Emos profita de l'appui que lui donnait le corps pour faire un magnifique saut périeux arrière afin d'atterrir derrière l'homme qui souriait.
Trop tentant.
L'homme fit décrire un magnifique et mortel arc de cercle à son sabre, qui s'enfonca ... dans la terre :question: à l'endroit même où se trouvé se sale gamin une seconde avant.
Fatale erreure.
L'homme qu'Emos avait abbatu, qulques secondes plus tôt, avait laché son sabre qui avait tourbilloner dans les airs avant de retomber dans la paume ouverte d'Emos.
Ils voulurent réagir, mais déjà Emos laissait retomber le sabre au sol et s'éloignait en sifflotant.
Il laissait derrière lui dix cadavre et un rocher.
Sur ce rocher, il était écrit avec du sang :malade: :
Mort volante
soupir invisible
Lame


Trois jours plus tard, Il passa, Il vit les corps de ses lieutenants, cela ne lui fît ni chaud ni froid.
Mais quand il vit le poême, son visage se tordit en un rictus de rage :diable:.
Il tendit sa paume ouverte vers le rocher qui disparut dans un mini trou noir.
En se hatant vers son lieu de rendez-vous, il se promit intérieurement de tuer se gamin qui lui avait coûter bien trop d'hommes.

A suivre.

tatataaaaan.


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