Note de la fic : Non notée

Invasion : Fin Des Temps


Par : GorgeProfonde
Genre : Action, Science-Fiction
Statut : C'est compliqué



Chapitre 1 : Une vie qui reprend


Publié le 28/08/2012 à 00:42:32 par GorgeProfonde

Chapitre I : Une vie qui reprend


Tout à commencer quand je me suis réveillé, il était 7H29 et un médecin se dressa vers moi :"
- Vous allez bien ?
- Que s'est-il passé ? Lui demandais-je sans répondre à sa question d'un air inquiet.
- Je ne suis pas sûr que vous allez comprendre ce que je vais vous dire, mais il y a trois ans, vous aviez eu un accident, votre crâne s'est entrechoqué avec le pare-brise et s'est ouvert, puis vous êtes tombé dans le coma pendant que nous essayions de vous guérir de votre traumatisme crânien et y êtes resté pendant 3ans, me répondit-il.
- Et personne n'est avec vous ? Puis il continua d'un air terrorisé :
- Non il y a un peu plus de deux ans maintenant, un virus fit son apparition, il fût vite un terrible chaos aux États-Unis et en Europe également où beaucoup de personnes y perdirent la vie à cause de l'inffection et d'autres par des... Il se stoppa net.
- Et d'autres par des quoi ? Lui demandais-je. Mais il ne répondit pas.
Soudain, nous entendîmes un crie provenant du couloir.
- C'était quoi ça ? Disais-je très inquiet."
Pendant une minute, il y eu un silence vide. Mais cela s'interrompit lorsque deux hommes entrèrent de façon virile dans la salle, un homme vêtu d'une veste en cuir et d'un jean attrapa le médecin par le col, le colla au sol et enchaîna gauches et droites à la tête du chirurgien. L'autre avait une chemise d'infirmier, il s'approcha de moi, une lame à la main. Je pris un petit couteau qui se trouvait à côté de mon lit. J'esquivis son coup, éjectis son arme et le pris en otage. Je me mis à avancer vers l'autre à qui je criai :"
- Lâche-le ou ton ami va mourrir !"
Il se mit à grogner bizarrement, lâcha le médecin et me fonça dessus avec sa seringue comme un fou.
Je lâchai son ami juste avant qu'il ne me transperce et je lui plantai le couteau d'un coup si violent que j'en ai même ressenti le choc.
Je les observai, et constatai qu'ils avaient les yeux rouges, je me retournai vers le médecin mais il avait disparu.
Je sortis en courant de la pièce, arrivai dans un couloir, mais il était vide, bizarre dans un hôpital. Puis je repensa à ce que m'avais dit le médecin de tout à l'heure, à propos du virus. Je descendai les escaliers rapidement et au rez-de-chaussée aussi il n'y avait personne, je franchis la porte d'entrée pour sortir du bâtiment et la rue était plongée dans le brouillard. Je me mis à courir jusqu'à ma maison à 150m environ, située dans la même rue.
Une fois arrivé chez moi, j'essayai d'ouvrir la porte d'entrée, mais elle était fermée à clé, et je n'avais malheureusement pas les clés. Je fis le tour pour entrer de l'autre côté, et je vis que la fenêtre de la cuisine était entrouverte. Je passa donc par celle-ci et la referma derrière moi. Je m'installa sur le canapé du salon et alluma la télé pour regarder les infos. Rien ne se passa, je tenta une seconde fois, mais toujours rien. Puis j'essayai d'allumer la lumière avec l'interrupteur mais rien. Je pensa à une coupure de courant. Tant pis, je ne regarderais pas les infos. Puis après quelques minutes d'attente, je me sentais comme «coupable». Quelque chose n'allait pas, pourquoi avoir tué ces 2 hommes ? Il ne m'ont rien fait pourtant !

Je remarqua qu'il y avait une lettre sur la table de la salle à manger. Elle était adressée à un certain Mr Jones, je l'ouvrit :

Cher Mr Jones,

J'espère que vous n'avez pas oublié que vous étiez le capitaine d'une équipe d'intervention de Miami. On vous a remplacez pendant que vous étiez dans le coma pour cause d'accident de voiture et vous aviez un traumatisme crânien.
Nous voulons que vous réintégrez l'armée pour nous aider à lutter contre le virus car en ce moment nous avons de gros problèmes : Beaucoup de personne attrape le virus qui se développe en eux de jour en jour.
Ils ont les yeux rouges et dès qu'ils touchent un objet ou une personne, le virus y est transmis et si vous touchez un objet contenant le virus vous deviendrait comme eux.
Pour évitez les risques de transmission du virus, nous sommes obliger de prendre des risques car les armes à feus font trop gicler le sang et le virus et cela diffuse le virus 5x plus vite , donc il ne reste que les grenades (car elles brulent le virus) et armes de corps à corps. Avant de renvoyé une lettre de réponse, veuillez remplir ces informations vous concernant :

- Avez-vous déjà vu des hommes atteint par le virus ? Si oui est-ce qu'il vous ont touché ?
- Êtes-vous totalement rétabli de votre traumatisme crânien ?
- Êtes-vous prêts à sacrifier votre vie pour la survie de l'humanité ?
- Êtes-vous encore aussi doué aux armes de corps à corps ?
Merci de bien remplir ce questionnaire avec précision et mettez l'arme de corps à corps qui vous correspond le mieux. Avant de vous envoyer au combat, on vous donnera un antivirus pour vous protégez du virus, emmenez tous ce que vous voulez de votre maison car malheureusement, vous ne pourrez plus y retourner.
Prenez aussi un maximum de chiffon.

Lt John Harewood de la fédération de l'armée de Miami

- Ah oui ! Ca me reviens ! Randy Jones, l'armée ! J'étais le capitaine de mon escouade ! Me dis-je.
Je partis chercher une feuille, un stylo et une enveloppe dans un tiroir et m'installa sur la table pour écrire. Je commençai à écrire lorsqu'un bruit m'interrompit. C'était la porte de mon placard. Je partis en direction du couloir où ce trouvait le placard et un contaminé avait pris un de mes 2 M4 ! Je fis une roulade jusqu'à la cuisine et je me demandai ce que je pouvais faire. Dès que je bougeais un peu, il tirait partout. Je courrai pour revenir au salon mais il m'avait touché au genou et je trébucha par terre. Je resta au sol un moment en essayant de calmer ma douleur. Soudain il commença à avancer pas à pas. Je brandit mon sabre japonais que j'avais acheté au Mexique et attendais un peu le temps qu'il soit proche. Puis je lui fonça dessus avec le sabre
et lui coupa la tête. Je récupérai le M4 qu'il n'avait pas toucher et partie dans le salon chercher un chiffon et de la glace pour calmer la douleur. Je pris les 2 autres chiffons et partis de la maison. Je monta dans ma Cadillac et je démarra. Il était 10H01 et la ville était encore plonger dans l'obscurité. J'arrivais à la base sans problèmes. Il y avait une barrière où il y avait 2 gardes.
- Bonjour ! Je suis venu vous aidez à luttez contre les intrus. Fis -je d'un air satisfait de les avoir trouvé.
Ils avaient un air bizarre comme si personne leur en avait parlé et le deuxième fit :
- Les intrus ?
- Oui les personnes qui ont le virus.
- Ahh...entrez.
Je redémarra le véhicule et j'entrais dans le hangar où beaucoup de voitures y étaient stationnés. Je décidais de me garer, je sorti de la Charger et j'entendis quelqu'un crier :
- Tu va te dépêcher de les localiser au plus vite ou on disséquera votre cadavre pour des tests !
- Oui chef ! Rétorqua une autre personne.
Je marchais dans le silencieux hangar jusqu'à trouvé une personne.
- Bonjour ! Lui lançai-je.
- Bonjour, Que faites-vous ici ? Me répondit-il et je continua :
- J'ai reçu une lettre du Lieutenant Harrewood disant que vous aviez de sérieux problème et donc... il m'interrompit.
- Bienvenu chez nous, je suis Gus, Gus Jacobsen et vous trouverez le commandant Jack Clusters plus loin.
- Merci, moi c'est Randy Jones, ravi de vous rencontrer. Lui renvoyais-je.
Et je repartis sans attendre dans les tunnels étroits et sombres comme ceux d'une fourmilière. Puis je reparti dans le tunnel souterrain. J'apercevais un homme à une quinzaines de mètres en uniforme. Je l'interpella au loin, il se retourna vers moi. Il me vit et eut un air surprit. Je couru jusqu'à lui, m'arrêtais et repris mon souffle.
- Ah ! J'étais sûr que tu viendrais ! Toujours la forme ? Lança-t-il.
- Oui ça va mais par contre tu as un peu vieillis depuis la dernière fois. Fis-je.
- Ah ! Toujours aussi comique toi ! Répondit-il.
- Et oui, mais pourquoi vous avez besoin de moi ? L'armée est assez puissante non ? Continuais-je.
Il soupira et pris un air triste pour me répondre.
- L'armée... Ce n'est plus ce qu'elle était.
- Comment ça ? Lui demandais-je.
- Viens. On va te faire passé des tests.
- D'accord.




J'espère que ce premier chapitre vous a plus et que vous ne vous êtes pas ennuyer à lire.
Dites-moi les points auxquelles je dois amélioré et dîtes si vous aimez ou pas.

J'ai également besoin que cinqs personnes s'inscrivent en créant un personnage que je fera rentrer dans la fic dans le chapitre d'après :ok:
Faites comme ceci :
Prénom/nom :
Âge :
Arme 1 : (pas d'armes à feu)
ARME 2 : (pas d'armes à feu)
Caractère : détaillez :svp: :noel:


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