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Le jeu où VOUS massacrez du zombie ! Saison 2


Par : jonyfic
Genre : Horreur, Action
Statut : C'est compliqué



Chapitre 1 : Ô bon retour !


Publié le 23/10/2010 à 18:48:51 par jonyfic

[c]Introduction. [/c]

Personne ne l'attendait, personne ne savait ce qui allait leur arriver, personne, non personne ne savait rien...

(Ah, ok la phrase de merde...)

Mais le voici, le voilà, LE RETOUR !

Mon retour sur NF, avec quoi de mieux que le jeu où VOUS massacrez du zombie ? Mais cette fois si, pas mal de nouveauté :

-Reprenez ou créez votre propre personnage !
-Encore plus de possibilité pour la tournure RPG !
-Encore plus de personnalisation possible !
-Encore plus de choix pour la suite des évènements !
-Encore plus de mystère autour d'un (vrai) scénario !

Vous vouliez connaître la suite ? Là voilà !


[c]Ô bon retour ! [/c]

7 vivants, 7 survivants, peut être les derniers, de leur cité, de leur ville, de leur région, de leur pays, de leur continent, peut être les derniers, ou que ce soit, sur la planète bleu.

Ils étaient 7, face au monde, et c'est un miracle qui c'est produit. Ils étaient sur un toit, sans issue, et c'est Dieu lui même qui les a sauvé. Ils ont assistés à un miracle, créer par la même personne qui aurait dû les détruire. Tout ce qu'il en résultait, c'était des êtres, deux fois mort, dont le peu de sang qui leur restait s'écoulait sur le sol. Ce même Dieu qui punissait l'humanité de tout leur Pêché, ce même Dieu qui fit s'abattre sur eux la pire des malédictions, ce même Dieu les sauvaient, ne laissant pour signature qu'une forte, intense et aveuglante lumière.

Garin : Dénué de sens, cela est.
Johnny : Taggle, c'est pas le moment...
Max : Merci l'amis
Thibaut : Cimer Albert
Sarah : De rien Vaut-rien.
Johnny : Nan mais vous allez la fermer !

Où j'en étais moi ? Ah ouai. Et c'est alors que Dieu s'adressa à ses enfants.

??? : Monsieur Gyver ? Monsieur Gyver ! Je suis venue vous sauver !
Mac : J'en ai de la chance moi ! A plus les minables.
Johnny : Tu vas pas nous laisser crever ici ?!
Mac : Tu crois que je vais me gêner ? Dieu me propose de me sauver, pas vous, tant pis !
Johnny : Mais sur qui je suis tombé moi ?

La fumé commença à se dissiper, et là lumière à s'éloignait. C'est alors que Dieu fis se lever le vent, et éloigna la lumière.

Mac : Dieu, JE VIENS A TOI !
??? : Monsieur Gyver, ici Alfred, votre serviteur !
Garin : Et Dieu ?
Sarah : Alfred ?
Arthur : Hitchcock ?
Johnny : Un hélicoptère ! Non de Dieu, ON EST SAUVE !!!

C'est alors que Dieu lança une corde à ses fils et...

Johnny : Bon toi taggle hein ! On a tous compris ta zolie métaphore, mais elle commence à être barbante. Tu la fermes et tu racontes !

C'est alors que de l'hélicoptère une corde tomba lourdement, jusqu'au sol. Un à un, les survivants s'empressèrent de rentrer. Et quand ils furent tous en sécurité, l'hélicoptère ne perdit pas un instant avant de repartir.

Mac : Pourquoi êtes vous venus me chercher Alfred ? Vous auriez pu vous enfuir avec ce joujou.
Alfred : Ô moi ? Au début, j'étais parti chercher des célébrités. Je me suis dit que je serai plus en sécurité avec elles. J'ai commencé par Bill Muray, mais il semblait déjà s'en sortir, alors je suis aller voir M. Norris, mais lui s'en sortait encore mieux. J'ai ensuite été direction la Californie, mais des fans y étaient déjà et...
Mac : Bon, tu abrèges ?
Alfred : Et bien, vous êtes la dernière personne à qui j'aurais pensé, mais vous êtes déjà mieux que rien ?
Mac : Ok... Je vois... Je crois que je vais te faire sauter la cervelle...
Alfred : Hein quoi ?
Mac : Non rien.

C'est alors qu'une violente secousse... secoua l'appareille. Il se balança de gauche à droite, puis se rééquilibra.

Alfred : Euh, dites moi juste, est ce que c'est possible de prendre du poids en plein vole ?
Johnny : Pas que je sache, pourquoi ?
Alfred : On viens de prendre une surcharge de plus de 100 Kg.

Johnny jeta un coup d'œil en dehors de l'hélico. Il était là, c'était lui !

Johnny : Hey les gars, c'est Ohm ! Putain, ce lâcheur est vivant !
Max : Au putain, je vais lui faire la peau à ce type !

Max pris le fusil à pompe et s'approcha de Ohm. Mais quelque chose n'allais pas chez lui. Ces yeux, d'un rouge sang, ces muscles, plus développé que la normale, ce regard, vide et affamé... Ohm lâcha l'hélicoptère d'une main, se tint toujours avec l'autre, il saisi violemment Max au niveau du cou, ce qui lui fit lâcher son fusil. L'hélicoptère se pencha d'un côté. Max se débattait comme il le pouvait, il essayait de se défaire de l'emprise avec ses deux mains, mais rien à faire. Ohm l'approcha de son visage et lui chuchota "c'est moi, qui vais te faire la peau". Thibaut ramassa le fusil à pompe et lui mit une balle dans la tête. Il y eu un long silence... Mais Max ne respirai toujours pas.

Thibaut : BORDEL DE MERDE !

Alors que Thibaut "pompait" le fusil à pompe, Johnny lui, sorti son arme de poing. Il lui colla au visage et fit feu. Il poussa ensuite sa main, et Thibaut lui colla à son tour du plomb dans le visage. Une fois, deux fois, puis une troisième fois. Ohm lâchait ouvertement des cris de douleur, mais rien y faisait, il ne lâchait pas son emprise. Johnny, voyant que son ami devenait rouge comme une tomate, il vida une partie de son chargeur dans la main de Ohm. Celui ci relâcha un cour instant son emprise. Suffisamment longtemps pour que, quand Sarah lui mit son pied dans la figure, il lâche prise, et tombe comme une pierre sur un immeuble. Max s'allongea, reprenant difficilement son souffle.

Thibaut : Ô putain de merde, on l'a eu !
Alfred : Bon, aller, on se casse.
Johnny : Non, attendez.

Tous regardèrent au même endroit que Johnny, sur l'immeuble en question, celui où Ohm était tombé. Ils le regardèrent. C'était impossible, leurs yeux ne pouvaient pas leur montrer la vérité. Ohm se releva, et poussa un cris strident, les survivants durent se boucher les oreilles. Alfred commençait à perdre le contrôle de l'appareille.

Johnny : Aller, ON SE CASSE !

Alfred s'exécuta et poussa l'engin loin d'Ohm.

Ohm : Je les aurais un jour, je les aurais !


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