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La Penséedeo du jour


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Genre : No-Fake
Statut : C'est compliqué



Chapitre 278


Publié le 10/11/2010 à 22:01:47 par Nirvana

Voila c'est Aym, pour mon retour de cette longue absence je voulais vous offrir un de mes essais. C'est pas super concluant mais bon on fait avec. D'ailleurs si vous pouviez dire ce que vous en pensez :)


Ils l'avaient dit depuis quelques jours. On aurait du s'en douter et se protéger tant qu'il en était encore temps. Les voitures étaient chaudement rangées au fond de leur mornes garages. Les heureux propriétaires de ces gouffres à essences s'étaient réfugiés chez eux appréhendant au mieux cette attaque. Difficile pourtant de savoir comment ils allaient procéder pour nous prendre par surprise. Ce n'était pas faute d'avoir essayer de prévoir. Malheureusement ils sont venus une journée avant. Le jour tomba. Évidemment la nuit se leva brusquement, il était 14h30. Le soleil était obstrué par nos fabuleux attaquants. Ils existaient depuis la nuit des temps, depuis la mystérieuse création de notre monde mais nous avions choisis de nous mettre de leur coté. Aujourd'hui ils se révoltent. Ils arrivent en masse pour nous détruire, nous exterminer. Nous étions 6 milliards. Eux étaient des centaines de milliers de millions de milliards. Aucun n'a été assez fou pour les compter. Il fallait attendre. L'impuissance nous gagnait. Nous ne pensions même plus aux négociations. Ils allaient nous submerger de toute façon. Nous n'allions pas y échapper. Celui qui pensait à ça était parfaitement inconscient. Il faisait nuit noire, chose impensable en début d'après-midi où le soleil est roi, seul à régner dans son ciel bleu. Puis les assaillants commencèrent à quitter leurs vaisseaux. Les premiers frappèrent avec violence le sol. Les Nippons leur doivent d'ailleurs cette technique : arriver par le ciel et toucher ses ennemis au prix d'une vie. Ils nous avaient déjà dépassé en nombre. Depuis ma fenêtre je les voyais suivre la direction du vent pour percuter au mieux leurs cibles. Tout y passer, les routes, les immeubles, les rares personnes encore dehors alors que la menace oppressait. Ces minuscules combattants remplissaient les rivières. Je ne voyais plus rien dehors, ma fenêtre fut détrempée par la pluie battante. Ils étaient en train de gagner. Nous résistions du mieux que nous pouvions. Comme si ça ne suffisait pas, la crue se fit sentir et petit à petit le paysage se trouva inondé. Quelques heures plus tard le soleil a reprit les rennes de son empire en chassant ses nuages. Nous le savions, même avec un allié de cette taille-là, ils reviendraient pour nous exterminer. Ils ne nous veulent pas sur cette Terre. Nous ne sommes pas les bienvenus.




By Aym


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