500 caractères pour raconter sa vie, c'est assez short quand même, ou alors faut être un beau spécimen de no-life. Non pas que ma vie soit si palpitante, mais quand vous voyez qu'avec cette phrase, j'aurai déjà épuisé plus de la moitié de mes caractères, c'est un gros problème. Bref, ça sert plus à rien de vous dire comment je m'appelle et ce que j'ai bouffé ce matin : vous vous en foutez.
Je vais donc dire n'importe quoi :
N'importe quoi.