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La Compagnie de Noelfic V2 : The Cube


Par : GreenStatik
Genre : Nawak, Science-Fiction
Statut : C'est compliqué



Chapitre 3 : Hey... mais... MES BOULES !


Publié le 03/03/2011 à 23:30:55 par GreenStatik

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Chargement des chunks... ... ... ... OK !
Chargement du texture pack Enhanced 128*128... ... ... ... ... ... OK !
Chargement des mexicains... ... OK !
Chargement des monstres... ... ... ... ERROR ! Critical... just, wait a minute... … … bugs au niveau des générateurs.
Initialisation des générateurs... ... ... Monstres multipliés par... ... ... 2.
Connexion en cours... ... ... ... Sucess !
Bonne chance ! (vous en aurez besoin...)


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— Casse-toi saloperie d’araignée !

Eh oui. Tout le monde sait (oui, vous le savez) que la nuit, dans le monde de Minecraft, il ne faut jamais trainer dehors. C’est d’ailleurs pour ça qu’on éclaire d’habitude pour y voir un peu plus clair. La nuit tombée, les monstres s’approchent de ce qu’ils leur semblent être de la chair fraiche. Et ils ont toujours raison. Le pire, voyez-vous, ce sont les creepers. Dès qu’ils estiment une distance assez rapprochée de vous, ils explosent. C’est sympa, non ? Surtout que l’explosion ne se produit pas tout le temps lorsque celui-ci est complètement collé à vous. Croyez-moi, d’expérience, j’ai pété une bonne dizaine de portes de maison comme ça. Enfin, bref, passons. Occupons-nous des autres couillons avec leurs maisons en terre et tout ça.

— Il fait nuit, j’ai peur ! cria Vaga.
— Allez, détends-toi, j’suis là, déclara Snake-Suicide. Et vu que j’suis trop fort, tu n’as rien à craindre.
— Mon cul ouais...
— On va trouver un moyen d’arranger tout ça, hein les copains ? demanda Sipro.
— Ta gueule soubrette ! répondit Snake-Suicide.

Mais arrêtez de gueuler, voyons ! Surtout de maison en maison. Je sens que cette nuit risque d’être longue... bon, je vous propose un passage en accéléré de tout ces évènements, d’accord ? Oui, les réflexions de Snake sur le cul de sa copine sont intéressantes, mais tout de même. Donc, p’tite ellipse... et hop !
Nous voici donc au petit matin, sur les lieux du crime. Des monstres en feu un peu partout, se dirigeant dans toutes les directions. Les zombis et les squelettes crament à la lumière du jour. Mais certains sont beaucoup plus malins que les autres...
Nirvana commençait à gratter la façade de sa cachette : il n’aimait pas trop rester dans le noir. Une fois un bloc de terre détruit, il put apercevoir la lumière du jour. Il était heureux de pouvoir sortir à cet instant : Snake l’avait martyrisé toute la nuit. Il creusait un deuxième bloc de terre pour pouvoir rejoindre l’extérieur. Une fois dehors, il se mit à sauter dans tous les sens, observant l’herbe aux alentours, les p’tites fleurs et... le creeper. Il cria de peur (...). Et le creeper lui péta lamentablement à la gueule. Et Nirvana disparut comme par magie, laissant à la place un énorme cratère de terre.

— Mais quel con ! s’exclama Snake tout en rigolant.

Du côté de la maison d’Aradied, Sipro et PascalBergeron avaient commencé à créer des petites fenêtres en taillant un bloc sur chaque paroi. Ils observaient le spectacle avec stupeur, non conscients de ce qui avait pu arriver au petit brun.
Après quelques minutes de blanc, les 5 pecnots se remirent à explorer les alentours. Quelques arbres étaient plantés par-ci par-là. La réflexion s’était faite dans l’esprit d’Aradied : vu qu’on pouvait creuser la terre sans pioche... pourquoi ne pourrait-on pas couper un arbre... sans hache ? MAIS ! IL EST FOU !

— Que quelqu’un tape frénétiquement dans le tronc de cet arbre au même endroit pendant un court instant ! dit-il.
— Euh.... j’veux bien moi, répondit PascalBergeron.

Pascal commença donc sa petite affaire. Oui, il tapa frénétiquement dans le tronc (oh, putain...). Le même effet fait sur la terre se produisit : le bois se craqua au fur et à mesure, sous les yeux ébahis de tout le monde. Soudain, deux silhouettes tombèrent d’entre les arbres.

— Aïe ! firent deux voix en même temps.
— Mon bras... dit l’une d’entre elles.
— Attendez, j’ai reconnu une des deux voix... signala Snake. C’est... LE TROLL ?!

Le troll. C’était ainsi que Snake appelait Clemicool1. Un surnom qui selon lui qualifiait le mieux cet être. Le troll... il était connu pour ces trolls sur Noelfic, que ce soit sur le chat ou bien dans ses BD. Car oui, il aimait troller les jeux vidéo et le pape. Et dessiner des BD, aussi.

— Sors de là, Clemi ! vociféra Snake.
— Putain, ma tête...
— On est où ? demanda Chou-Fleur, dans le vent.
— J’sais pas... mais... AH NON ! PUTAIN ! TOUT SAUF CA !

Clemi se leva d’un bond. On l’avait prévenu, mais il s’en était foutu. On lui avait dit qu’à force de troller, ses délires allaient devenir ses propres cauchemars. Des cris d’horreurs lui sortaient de la gorge, pendant qu’il courrait comme un taré, les bras en l’air. Un cri inhumain, déchirant. Nirvana revint au même moment, d’on ne sait où.

— Ah, revoilà Nirvana, déclara Sipro.
— Merde, j’suis retourné au début les mecs ! C’est quoi cette merde ?
— OH PUTAIN, DITES-MOI QUE C’EST UN CAUCHEMAR !
— Youhou, on est tous ensemble ! s’exclama Sipro.

Pendant ces petites retrouvailles, Snake matait tel un lâche les seins de Vaga et il se disait qu’ils étaient vachement... carrés. Il lui fit ainsi la remarque.

— Vu qu’on est tout carré, je suppose que c’est pareil chez tout le monde, répondit-elle calmement.
— Attends, tu veux dire que...

Il se met dans un coin, où personne ne pouvait l’observer. Quelques minutes plus tard, un cri se fit donc entendre. Un cri de désespoir.

— Mes magnifiques boules ! TOUTES CARRÉES !
— Hop, bien fait, ça t’apprendra, reprit Vaga.

Les autres s’attelaient déjà à la préparation du bois. Chou-Fleur était toujours sur le cul, attendant que quelqu’un lui explique où il était vraiment et Clemicool1 toujours dans sa profonde phase de désespoir absolu. C’est ainsi que le groupe récupéra une bonne centaine de blocs de bois brut. Ils se rassemblèrent tous directement après autour d’Aradied, qui commençait à réfléchir quant à l’utilisation de ces bouts de bois. Il en vint vite à la conclusion suivante : tout les meubles ou maison faits en bois sont faits de bois qui a été traité. Des planches de bois, en somme.

— Filez-moi un bout de bois !

Celui-ci tomba à ses pieds. Le soleil commençait à se coucher maintenant. Il regarda attentivement le bout de bois avant de ne plus bouger. Quelques secondes plus tard, à la place du bout de bois initialement dans sa main apparaissaient des belles planches. Tout le monde le félicitait, sauf Clemicool qui continuait de gueuler. Il expliqua la méthode aux autres, qui rapidement créèrent ces mêmes planches de bois.

— Tout est dans la concentration... expliqua-t-il.
— Mon cul, tu ne bouges même pas ton p’tit doigt, désapprouva Snake.
— Ta gueule chérie coupa net Vaga avec un grand sourire.
— Mais...

C’est ainsi que les constructions d’une nouvelle maison s’entamèrent. Une maison moyenne, le temps d’héberger tout ce p’tit monde pour la nuit.

— Mes boules... snif.

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Je tiens juste à dire qu'aucune représailles ne sera prise en compte. Hem. :hap:
Peace, hein ? :hap:

P'tite dédicasse à Sipro au passage pour cette magnifique blague sur les Creepers et les cris de peur.


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