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Aria la nouvelle héritière


Par : Onlie
Genre : Sentimental, Réaliste
Statut : En cours



Chapitre 16


Publié le 17/11/2016 à 00:20:51 par Onlie

Dans une ruelle, 01h58,

Nous étions dans un cul-de-sac obscur bloquées par ces moins que rien. Nous étions plongés dans un brouillard très épais, recouvrant la scène dont nous n'avions pour seuls éclairages les rayons de la pleine lune.. Nous avions tourné au mauvais moment, la bande en avait donc profité.
Mon coeur battait tellement fort et vite dans ma potrine que je pensais qu'il allait en sortir.
Je n'avais aucunement envie de finir en morceau ou même subir un viol. Heureusement pour moi, Swann avait bu mais elle tenait très bien l'alcool.

-Allez vous-en ! N'avez vous donc pas été assez humiliés ? Demandais-Je.
-On vous attendais, l'alcool a ses conséquences, annonça l'un des humiliés.
-Ce n'est pas parce que j'ai bien, que je ne peux pas me défendre, surenchérit Swann.
-Tu ne tiendras pas une seconde, poulette, se moqua-t-il.

La bande fit un pas vers nous afin de nous bloquer totalement, mais cette fois, contre le mur.
Ils avancèrent à pétait pas, comme si d'une minute à l'autre, ilsi allaient pour nous sauter desus et nous sauter tout court même.

-Ne t'en fais pas, il arrive, affirma Swann.
-Qui ça, questionnais-je.

A peine eu-je le temps de terminer ma phrase qu'une voiture arriva à toute allure comme si elle allait nous foncer dessus.
Les garçons prirent peur et se collèrent au mur dans le but de ne pas se faire écraser.
Les phares m'aveugl'aient, je n'arrivais pas à déterminer qui venait de nous sauver, ni même le type de voiture qui était devant nous. Personne n'osa bouger par peur, mais un coup de feu se fit entendre. La petite bande prit peur et se mît à fuir comme si leurs vie était menacée.

-Je t'avais dis qu'il allait arriver, affirma Swann.
-Qui donc ?
-Montes dans la voiture, tu verras.

Je n'osais pas répondre, la curiosité m'envahissait, j'exécutais ce qu'elle me conseilla et montais dans la voiture à l'arrière, tandis que swann monta à l'avant au siège passager.
Après avoir attaché ma ceinture, le conducteur se tournà vers moi et mème si cela me choqua, je n'étais pas tant surprise que ça de découvrir que Bastien était venu nous chercher.

-Vous avez parlété ? Demanda-t-il en chuchotant.
-Oui, mais ce n'est pas le moment, Répondit Swann. Nous en parlerons plus tard, s'il te plaît rentrons.
-Bon..d'accord, aquiessa-t-il.

??h??,

Je me reveillais en douceur, à compagnété de courbatures desagreable. sur une chaise, bâillonnée. J'étais seule en captivité dans une pièce qui semblait être sans issue. La pièce était éclairée à la seule l'usure d'une ampoule accrochée au plafond, juste un coin était légèrement sombre. Après ce réveil peu commun, je sentis bloquage, j'avais comme l'impression d'avoir un objet dans la bouche. Je n'arrivais pas à déterminer quel était cet objet plutôt désagréable. Tout ce que je ressentais c'était l'ouverture incessante de ma bouche, je n'arrivais pas à la fermer, j'étais complètement bloquée par cet objet. L'objet était de forme sphérique, il avait l'air d'être fait en métal car j'avais un goût assez métalique en bouche.

-Alors Swann, bien installée ? Fit une voix inconnue.

Suite à certe appellation, je baissais les yeux afin de m'observer un peu plus attentivement. Je remarquais que j'avais les cheveux plus courts que d'habitude, j'étais toujours brune mais plus clair, ma poitrine était plus petite qu'a ma vue habituelle et je portais aussi des vêtements dont je ne connaissais pas du tout leUrs existantes. J'essayais alors de parler mais là sphère dans ma bouche n'empêchait d'émettre ne serais-ce un son.

-Oh, c'est trop serré ? Tu n'arrives pas à parler Swann ?

L'homme dans le côté sombre de la pièce, il était uniquement vêtu d'un boxer, il était masqué, je n'arrivais pas à déterminer à qui appartenait cette voix.

-Tu sais Swann, ce qui t'empêches de parler sans baver s'appelle un écarteur.
Tu vas vite comprendre son utilité.

Il s'approcha alors de moi, à travers son boxer,je pouvais apercevoir la forme de son pénis formant une bosse.
Il baissa son boxer, saisit d'une main ma tête à l'arrière et de l'autre son sexe qu'il fit pénétrer dans ma bouche avec facilité. Le pire était que je ne pouvais même pas me débattres (j'avais l'impression d'être un saucisson). L'objet étant rentré, il posa sa deuxième main sur ma tête et me fit vers des vas-et-viens tout droit sortit d'un film pornographique. En plus il arrivait uand même à augmenter la brutalité et la vitesse de ses gestes.

-On va faire mieux, c'est pas assez. Dit-Il.

Ne le satisfaisant pas assez, il decida qu'à chaque fois qu'il était au plus profond de ma gorge, il resterait quelque instant me bloquant la respiration avant de se retirer.
Il répétait l'opération pendant une dizaine de minutes puis retira une fois pour toute son sexe de ma bouche ainsi que l'écarteur.

-Tu vas restée sage, disait-il comme à un chien.
-Comment oses-tu faire ça ? N'as tu donc aucun amour propre ou de coeur !? Criais-Je.
-Pas vraiment en fait, ricanna-t-il.
-Tu n'es qu'une ordure, dis-je en lui crachant à la figure.
-Ton agressivité est excitant, ma belle.

Il pris une corde et une paires de menottes roses afin de mattacher les poignets dans le dos à l'aide de ses objets sexuel roses puis mes pieds avec une corde qu'il noua. Puis me détacha de la chaise.

-Pour pas que tu gigottes trop, tu comprends.

D'un coup, un lit à barreaux apparu dans le coin de la pièce, comme par magie.
Il claqua alors des doigts et en un instant je me retrouvais sur le lit, dans la position d'une sirène.

-Un vrai petit objet, plaisanta-t-il.
-Vas te faire mettre sale merde.

Il déchira tout mes habits laissant apparaître mon corps dénudé.

-Ils ne sont pas bien gros, mais pas petits non plus. Une taille idéale.

Il se posa à quatre patte au dessus de moi pour pouvoir gouter à ma poitrine et se laissa ainsi tombé sur mon corps nu, nous étions collés l'un à l'autre.
Pendant qu'il avait mes seins à pleine bouche, il était collé sur moi et gigotait. Je pouvais sentir son penis se frotter contre moi, ce n'était pas une sensation désagréable, ça me procurais même de l'envie.
D'un coup mes menottes et cordes disparu.

-Ah, c'est enfin le moment, dit-il.

Le masqué se mit à genoux devant moi, prit mes jambes afin de les écartées au maximum, puis il prit son sexe d'une main et de l'autre il s'appuyait sur mon bas ventre. Pour enfin pénétrer son sexe dans le mien et fit de léger mouvement de bassin, en prenant appuis sur le lit.
Il me fit quelques morsures dans le cou laissant apparaitre un bleu très foncé, tout en faisant des vas-et-viens de plus en plus brutaux et sauvage ne laissant ainsi que nos corps s'enboiter sauvagement.
Au bout d'une dizaine de minute, le mouvement se voyait ralentir, il sortit et se redressa puis se leva. Je me relevais par la suite et me mis à genoux et pris son engin en bouche en faisant des aller et retour très léger.
D'un coup, je sentis ma bouche se remplir peu à peu d'un liquide étrange.

15h00,
(Lendemain).

Je me reveillais doucement en papillonant et paisiblement avec les jambes croisées et serrées.
Swann était debout devant l'ordinateur.

-Swann, je peux te poser une question ? demandais-je.


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