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Ma découverte de l'IRL - Saison 2


Par : MotherFakeur
Genre : Nawak
Statut : C'est compliqué



Chapitre 25


Publié le 14/11/2008 à 19:13:25 par MotherFakeur

Sans que personne ne s'y attende, alors que les choses s'étaient rapidement mises en en place, une ombre se dressa contre le mur en face de moi.
Je me retournai alors et crus que j'allais chier dans mon froc. :noel:
Devant moi se dressait un groupe d'environ 10 racailles, le même groupe auquel j'avais échappé quatre ans plus tôt.

- WESH BIEN T'AS VU ?
- TA GRAND MÈRE LA RACE DE TA CHATTE DE LA RACE DE TA MÈRE !
- FILS DE PUTE !
- CLI !
- GNAN !
- COURT !

- Omagad ! :peur: :snif2:

Ce rictus de peur sortit de ma bouche sans que je puisse le contrôler.
Ils se rappelaient à coup sûr de moi, j'avais bousillé le paycay de l'un d'eux et avais écrit pleins de conneries noelistes sur leur mur. :peur:

En quelques instants je repris mes esprits, me calmai et réfléchis.
Ils ne m'avaient pas ni ne pouvaient pas me reconnaître.
J'avais 21 ans, de long cheveux, une barbe... c'était impossible que je sois spotted. :content:
Je décidai donc de rester discret en évitant de parler, tout en essayant de réfléchir à la façon dont ces enfoirés étaient parvenus jusqu'ici.

___________

Ma découverte de l'IRL - Saison 2 - Episode 25 - Season Final

¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯

- siiiiisiiiiiii
- B deux o BA !!
- Eh lé mec c'est pas...
- ki saa ?
- l'ot' là !!
- koi le fils de pute kon veut niker sa race depuis quat'an ?
- ouais !!!
- Voggle c'est pas moi. :noel:
- cé luuuuuiiiii loooooll
- on é allé chez les flic à cause de toi !!!
- ouaisss !!
- ta niké le ordinateur à momo !
- T'es mort !
- OONNNN te deffooonnnncceeee !!
- Cé nous les rois iciiiii !!!
- Haaaannn ! :snif2:

Les racailles, étrangement très organisées, se séparèrent en groupe de deux et en un instant nous encerclèrent.
Manu et Eva me regardèrent avec un regard noir, l'évasion allait être compromise à cause de cette vieille querelle. :-(
Les racailles, en cercle autour de nous, se rapprochaient petit à petit en criant des plusieurs injures.
C'était officiel, nous allions nous faire lyncher, moi le plus. :noel:

- Qu'est-ce qu'on va faire ? Oh ! Manu j'ai peur ! :snif:
- Les infirmiers vont venir voir... bordel Chuck !
- Eh oh, c'est pas de ma faute hein. :noel:
- Ben si, excuse toi.
- De quoi ?
- Excuse toi, je sais pas ce que tu leur as fait dans le passé, mais si les infirmiers nous trouvent c'est fini pour nous !
- Mais je vais pas m'excuser ! :0
- T'as pas le choix, dépêche.

- IAAAAAAAHHHHH !
- LA GRAND MÈRE DE LA CHATTE A TON COUSIN !

Ces cons allaient ameuter tout le monde, il fallait que je trouve une solution mais il n'était pas question que je m'excuse. :nah:

Ce que je dis à ce moment-là, je le regretterai toute ma vie.
Je n'aurais absolument pas du faire ça car cette décision allait grandement punir l'un d'entre nous, mais ça évidemment je ne le savais pas encore...
Je pris donc longtemps ma respiration et sortis la phrase fatidique.

- On va s'évader !
- Chuck..mais non non... mais non quoi ! :(
- C'est qui Chuck j'ai toujours pas compris. :noel:
- On a pas le choix Manu, désolé. :(
- de koiii ??
- c koi 7 histoire ?
- Bordel vs repondezzzzz !!!
- On est ici parce qu'on était sur le point de nous évader de ce centre pourri, si vous nous frappez et attirez l'attention des surveillants tout sera fichu.
- loool
- jy crois pas
- mitoooo !!!!! fékkkkeee !!!!
- abusé tas vus
- on s'en fous !
- si c vrai rien a foutre
- oué lol vs allez prendr dan votre cul !
- Ça je l'ai compris, c'est pourquoi on... je vous propose une place dans l'évasion, mais dans ce cas vous nous laissez faire nos affaires.

Manu me regarda avec de gros yeux ronds, il ne devait pas comprendre ma décision.
Il se rapprocha alors plus près de moi et m'interpella à voix basse.

- Mais qu'est-ce que tu fais ? On peut pas, ils sont trop nombreux... on passera jamais tous !
- Je sais, laisse-moi faire.

- La nuit va pas tarder à tomber, dans moins d'une heure nous serons tous libres.
- c dé konerie ?
- Promis, juré, si je mens je vais en Enfer. :noel:
- la vie de te mére ta grand mère ?
- koi ?
- jure putain !
- j'y crois pas sa mèèrreee !
- mittoooooooo
- une foi ta di kon oré GTA 8 on la pas eu... :snif:
- putain ta fé pleuré hamid ! c un sujet sensible pour ui
- ouais conaid
- jure fils de put
- sa mère
- ah oé ce vrai !!!!!
- Vous avez ma parole. :noel:
- okkkk
- d'accord, on vous laiiise
- On dois faire quoi nous ??
- Donc un premier temps barrez-vous, retournez dans la cour faire vos activités habituelles, on viendra vous chercher. (Fake. :content:)
- ah oué
- trop bien
- trooppp forrr
- allé lé mec venez
- houaaaa je stressss sa grand mère

Les racailles, complètement Under-Control, se regroupèrent alors et partirent de derrière le bâtiment.
Nous avions vraiment eu chaud.

- Bravo et maintenant on va en faire quoi d'eux ?
- On ne vient pas les chercher, on fait tout derrière leur dos.
- Je pense que ça marchera jamais. :snif:
- T'inquiètes Eva, ils sont super cons. :noel:
- Moi joseph. :noel:
- Ok... Grégoire ?
- Quoi ?
- Non rien. :noel:
- E8... Chuck, remonte au sixième étage chercher Neo et l'autre, moi je reste ici avec Eva et Grégoire.
- M'okay.
- Déclenche l'émeute, met le paquet et reviens ici pendant la confusion.
- Je connais le plan, merci... et vous, personne ne va vous voir ?
- Dépêche de toi de remuer les foules, c'est tout ce qu'on te demande, après on passera inaperçu. :ok:
- Yep'

Mon rôle prenait enfin place.
J'avais la tâche la plus difficile, comme par hasard. :noel:
Je devais déclencher l'émeute, émeute qui était le point central de l'évasion.
Je devais pénétrer dans le bureau de Pascal et faire une annonce au micro en faisant sorte que tous les nolifes du centres rentrent dans une rage folle.

Je repassai par la porte de service, jetai un regard confiant à Manu (Au passage je ne l'étais pas du tout, confiant... Mes sphincters étaient soumis à dur épreuves. :noel:) et repris l'ascenseur pour monter au niveau six.

____


- C'est bon, tout est clair ?
- Mais... on est oblizé de le tuer ?
- Tu veux qu'ils nous suivent perpétuellement pour récupérer son fric ? On le bute... c'est tout.
- Ok...
- Regarde ça, c'est une tige de métal qui était dans mes baskets. Je l'ai aiguisé pendant tout ces années... une fois qu'il ne regardera pas je lui enfoncerai toute la longueur dans la nuque, prendrai l'argent et me barrerai en vitesse, toi tu n'auras plus qu'à me suivre.
En plus d'après ce que tu m'as dit c'est de sa faute si t'es arrivé à cet étage.
- Ouais... t'as raizon, on le tue.

*Bip Bip*

- Ok, Neo et Trinity vous venez avec moi, c'est parti. :noel:
- Mon nom est Link et je suis un kokiri ! :fier:
- Ouais, allez rentrez là dedans, dépêchez-vous.

Link et Neo qui étaient assis au milieu de couloir, se levèrent et se dirigèrent vers l'ascenseur auquel je bloquais les portes avec mon pied.
Puis, soudain...

*Bip Bip*

- Minze, z'est quoi za ? :-(
- L'ascenseur est appelé ! :peur:
- Diantre, sors de là l'ami !
- Merde !

Je n'eus pas le temps de réagir à temps, les portes se refermèrent presque instantanément, me piégeant à l'intérieur de la petite cabine métallique.
Je me me mis alors à flipper comme un porc, surtout quand je sentis que l'ascenseur descendait. :noel:
J'appuyai comme un dératé sur toutes les touches mais en vain, quelqu'un appelait l'ascenseur du rez de chaussé et j'allais pas tarder à savoir qui.

____


Robert avait fini de faire sortir tous les nolifes de la cafétéria.
Il se sentait très mal, et ce depuis qu'il avait revu le skatteur, son coup favori. :bave:
Il était vraiment mal à l'aise, ses couilles allaient exploser.
Ce n'était pas un image, non, ses testicules avaient vraiment doublées de taille depuis quelques heures, ressemblant à celles d'un taureau en rut.
Il n'en pouvait vraiment plus de ce centre, ce métier n'était pas un métier pour lui... il avait pourtant fait des efforts en ne violant aucun patient en quatre ans.
Mais là c'en était trop, on ne peut pas retenir ainsi un pedobear comme lui, il lui fallait sa dose d'enfant, d'aventure, de longues virées en camionettes. :noel:
Tans pis si sa protection était mise en danger, tant pis s'il avait promis à Pascal de rester en échange de sa couverture, aujourd'hui il allait tout laisser tomber, même le gamin, il en avait marre de tenter des approches vers le sixième étage sans jamais pouvoir lui parler.
Il ne saura jamais la vérité, il ne connaîtra jamais son incroyable destinée, tant pis.

Il allait écrire une lettre à Pascal avant de partir.
Lui révélant la vérité, Robert en était sûr, ce n'était pas lui son violeur.
Pascal lui avait souvent décrit la scène de son viol quand il avait 8 ans mais il avait beau essayer de se rappeler, Robert n'avait jamais violé d'enfant à cette époque.
Il était même père de famille, complétement casé, et n'avait commis aucun acte illégal.
C'est quand Christine l'avait largué et qu'il avait quitté sa maison qu'il avait commencé à dérailler et à devenir comme son père.
Son père... Roger Cisleauk, un être horrible dont il n'avait plus de nouvelle depuis des décennies, était un homme absolument diabolique qui avait disparu du jour au lendemain.
Robert avait pensé à cette hypothèse depuis un moment sans en parler à Pascal, c'était sûrement Roger le violeur... ils se ressemblaient tous les deux.

Perdu dans ses pensées, Robert sursauta.
Un Nolife venait de se tordre la nuque en voulant imiter une pièce de Tetris et pleurait en criant "Game Over" dans tous les sens.
Il en avait vraiment marre, il allait se tirer d'ici...

Robert traversa la cour, croisa les racailles qui, bizarrement ne lui cherchèrent pas de noises et arriva enfin devant l'ascenseur du rez-de-chaussée.
Il mit son pass, appuya sur le bouton d'appel et attendit perdus dans ses pensées.

____


Je m'étais collé contre la paroi de l'ascenseur, attendant que la mystérieuse personne rentre.
J'avais un plan. :noel:
J'allais la surprendre, l'assommer avec une prise de ninja et remonter le corps jusqu'au sixième étage où je le cacherai avec celui de Romain. :content:
Ni vu ni connu je t'encule. :noel:

Je me tenais face aux portes fermées, j'avais les yeux collés à l'écran de contrôle, mon cœur battait à tout rompre...

Les portes s'ouvrirent.

*Bip Bip*

Mon mouvement de karaté en mousse super saiyen rebondit sur le gros bide de Robert, me le reprenant ainsi en pleine poire.
Je sentis mon nez craquer ainsi qu'un liquide chaud se répandre sur mes mains.
Je ressentais ce que la pauvre Kikoo avait du subir plusieurs fois. :noel:

- Haaaaaann ! :peur:
- Bordel qu'est-ce que ? Gamin ?
- Aïïïïeee ! :snif2:
- C'est malin.

Robert rentra dans la cabine, la referma derrière lui puis appuya sur un étage au hasard.
Une fois que l'ascenseur avait un peu monté il pressa le bouton stop.
J'allais me faire dépuceler du cul ! :snif2:
J'étais en position de méga faiblesse face à Robert. :peur:
À ce moment là, Robert > moi, m'voyez ? :noel:

- Ne me viole pas s'il te plaît. :snif2: Tiens, je vais te rendre ton argent... Attends... Je m'excuse pour tout ! :snif2:
- Qu'est-ce que tu fais là ? Ils t'ont libéré ? Cet ascenseur est réservé au personnel..... Tu t'es enfui ?
- ... Oui, bon ok, j'allais m'évader mais de toute façon maintenant c'est foutu donc. :-(
Vas-y, tue-moi...
- M'enfin pourquoi je te tuerais, François ?

Au prononcement de ce prénom une série de tout petits pets s'échappèrent de mon anus.
Je ne l'avais pas entendu depuis des années, ce nom... c'était celui de quelqu'un d'autre.
Comment ce taré pouvait-il le connaître ? :peur:

- Je sais qui tu es.
- De quoi ?
- Je sais que tu t'appelles François et que tu es le fils de Christine... Je n'avais par contre jamais su qui tu étais.
- Qui tu étais quoi ? :snif:
Je comprends rien.. Tiens je te tends mes fesses, fais ça vite s'il te plaît. :noel:
- Je suis ton père.
- Fake. :noel:
- Non, je suis bien ton père génétique, François.
- Photo sinon fake. :noel:
- Avant j'habitais à côté de chez toi, j'ai couché avec ta mère un soir... et paf, elle est tombée enceinte. Donc, je suis ton père.
- Naaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaan. :snif2: .... OMAGAD NAN ! :malade: C't'un fake ? :snif:
Mais... mais non ! Nan nan nan nan Non !!
J'y crois pas ! Depuis quand tu le sais ça ? :ouch:
- Depuis que Thomas m'a dit que tu étais son voisin, alors j'ai compris qui tu étais vraiment.

- Apparemment ça a pas changé grand chose. :(
Tu es venu chez moi, m'a mis un sac sur la gueule tu m'as séquestré dans une cave. :noel:
Moi je dis fake spotted. :content:
- Tu es un Cisleauk. Je te testais... comme j'ai toujours voulu tester Thomas.
Mais bon ce dernier ne m'a jamais bien rendu fier...
- Donc tu l'as tué. :noel:
Te fatigues pas ton fake est spotted. :noel:
- Si tu n'étais pas mon fils je t'aurais tué ce jour-là.
Je ne me serais pas amusé à t'enfermer dans une cave, je t'aurais égorgé, sur le champ. Comme maintenant, tu serais déjà mort depuis des lustres ou alors j'aurais donné un petit coup de talkie-walkie pour te faire t'enfermer.
Je connais ce centre depuis 4 ans, je sais que tu n'a aucune chance de t'évader... Mais je vais te laisser essayer car tu es un Cisleauk, mon fils.
Nous sommes la race supérieur en ce bas monde.

Je n'y croyais pas une seconde. :(
Cette histoire sentait le fake à 8 kilomètres à la ronde.
Tout ceci était très louche, ça cachait surement un plan vicieux made in pedobear. :noel:
La situation était très désavantageuse... J'étais dans un ascenseur avec le plus gros violeur que le monde n'ait jamais porté.
Il allait forcément reprendre son argent, j'allais forcémment me faire tuer.
Il me menait en bateau ! :ouch: J'allais agir, avant lui. :cool:
Alors, pendant qu'il essayait de me démontrer que son fake n'en était pas un, je réfléchis à un moyen de le pwned made in moi. :noel:

C'est là que je tiltai...
Une de ses testicules sortait à peine de son survêtement, elle était immense !
Sa rougeur était impressionnante... elle était rouge et elle clignotait... grossissant... rétrécissant... grossissant... rétrécissant... Comme dans Mario ! :noel:
Comme dans Mario quand le point faible d'un boss nous est montré ! :bave:
Owiii, c'était le point faible de Robert, le boss final ! :content:

- ... c'est ainsi que j'ai vraiment su qui tu étais. Tu comprends ?
Je ne te ferais jamais de mal, tu es un Cisleauk.
Tu es voué à faire de grandes choses, tu ne t'imagines même pas ce que le destin lié à ton nom signifie.
Tu vas devenir un Pedobear.
- Omagad, nan jamais ! :malade:

Mon poing droit se dirigea en plein vers l'immense couille.
Le contact fut sec et douloureux, je sus tout de suite que c'était efficace.
Je sentis les deux protubérances s'entrechoquer entre elles, une énorme vibration s'en dégagea parcourant tout mon bras.

- AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !

Robert fut pris de sursauts.
Il ne contrôlait plus son corps, se mettant alors à genoux pour se cogner la tête contre les parois de l'ascenseur.
Plus que deux coups et à moi l'étoile. :noel:

Je visais bien cette fois-ci et c'est mon pied qui frappa les deux énormes jumelles du vieux pervers.
Le cri de mon ennemi était strident !

- AAAAAAAAAH AAAAAAAAAAAAH POURQUOI ? TON PROPRE PÈRE !!!
- Bien ton cake au jus de pruneaux ? :noel:
- NON C'EST VRAI ! MAIS ÉCOUTES-MOI ! TU ES UN CISLEAUK ! TU NE SAIS PAS CE QUI T'ATTEND !!!
- Joseph. :content:

Cette fois-ci oui... Moi > Robert. :bave:
Je donnais enfin mon troisième coup dans les bourses du pauvre homme. Adieu...

- Fatality ! :noel:

Ce qui se passa à ce moment-là, je m'en souviendrai toujours.
Les couilles, qui étaient à présent complètement à l'air libre, explosèrent littéralement !
Nofake je vous jure que ça s'est réellement passé. :noel:
Une énorme quantité de sperme gicla au contact de mon pied, j'en fus recouvert de partout. :malade:

Robert me regarda une dernière fois avec un regard rempli de peur et de dégoût, épela doucement mon prénom et tomba la tête au sol, complètement inconscient, en plein dans la mare de sperme. Son nez fit quelques bulles dans le liquide blanchâtre puis plus rien...
Je l'avais tué. :content:
J'avais tué Robert Cisleauk en lui kickant les couilles. :noel:
J'avais enfin mis fin aux agissements de ce gros pedobear machiavélique. :content:

- Omagad... Trop déçu. :-( Vraiment simple à battre le boss de fin. :( :noel:

Je fis le tour de l'énorme carcasse soulevant un bras, tapant dans mes mains, me mis en position de domination sexuelle pour tenter de le stimuler...
Ouais, il était mort. :(

- Yeah. :content:
À ce moment-là je croyais vraiment avoir accomplis une bonne chose.
Je n'avais absolument pas du tout cru à cette histoire de paternité et avais juste voulu me défendre de ce qui me semblait être encore un plan tordu destiné à vouloir me faire du mal.
J'avais tort.
Robert Cisleauk était mon père, autant que Dark Vador est celui de Luke.
J'avais commis l'erreur irréparable, et à partir de ce moment, quelque part dans le monde, une âme ténébreuse venait de se réveiller d'un profond sommeil.
Une âme diabolique, une âme sans pitié ni compassion.
Une âme sans les défauts de son fils, une âme indestructible.
Un âme du diable, mon grand père, Roger Cisleauk.

Mais osef, tout ça je ne le savais pas encore. :noel:

Je fis le con un petit moment en jouant avec le cadavre du pedobear et appuyai sur le bouton numéro 6 de l'ascenseur.

*Bip Bip*

Neo et Link m'apparurent très surpris.
Ils étaient entrain d'essayer de rentrer dans leur cellule, croyant que j'avais été attrapé et que le plan était donc fichu.

- Alors! Qu'est-ce que...
- Ce donjon est bourré de piéges mon ami. :fier:
- T'as encore tué un surveillant ? :(
- Ouais et cette fois celui-là il est spécial... enfin je vous raconterai. :noel:
- En tout cas heureusement que tu l'as fait... eurk, c'est quoi ce truc blanc ? :malade:
- Rien. :noel:
- Gloire et fierté sur ton courage, jeune héros. :fier:
- Maintenant venez, on doit aller dans le bureau de Pascal.
- Le bureau de Pascal ? o_o
- L'antre de Ganon est impénétrable ! :peur:
- On a pas le choix, vite, dépêchez vous... on est déjà très en retard, les autres risquent d'être repérés.

Pascal rédigeait un rapport à l'intention de Blizzard dans son bureau.
Les chiffres de ces dernières années étaient excellents, cela grâce à Wow et Wow2. :noel:
Il n'aurait bientôt plus besoin de faire cette émission de télé réalité stupide sur TF1... :(
Tout ces wesh, tektoniques rebelles allaient enfin lui laisser la paix. :content:

Il sauvegarda, se leva de sa chaise et alluma une cigarette, fier de lui.
Il avait terriblement faim, il n'aimait pas manger avec les nolifes dans la cafétéria, donc il attendait toujours que ceux-ci aient terminé de manger pour y aller.
Il sortit donc de son bureau, verrouilla bien la porte et partit dans les couloirs, ne se doutant absolument pas que trois de ces nolifes qu'il détestait tant étaient cachés contre un mur et attendaient avec impatience ce moment.

____


- Ok, il s'est barré.
- Enfin..
- Vil Ganon, je ne sais pas ce qui me retiens de bondir sur lui et de le transpercer avec ma fidèle épée Excalibur. <img src=(">
- J'espère que mon pass ouvre son bureau. :(
- Nan, il l'ouvre pas.
- Comment tu sais ça toi ?
- Z'est moi qui l'ai conzu. :fier:
- C'est vrai... ben l'autre alors, celui que t'as fait avec ta montre et qui ouvre les cellules, il marche ?
- Non.
- Super et c'est quoi qui l'ouvre ce putain de bureau ?
- Z'est une zerrure à reconnaizance d'empreintes dizitales.
- Ah merde. :0
- Mais ze peux peut être l'ouvrir.

Neo et moi avancèrent jusqu'à la porte pendant que l'autre plouc faisait le guet.
Le hackeur examina longuement la serrure et me fit oui de la tête.

- Comment tu vas faire ça ? :(
- Z'est très zimple, regardes.

Neo pris une petite inspiration et souffla sur le capteur.
De la buée se forma alors sur la petite surface électronique révélant ainsi une empreinte de doigt, le capteur la reconnut alors instantanément et prit une petite couleur verte, signe que tout était déverrouillé.

- Voilà, z'est bon. :fier:
- ... c'est quoi ce cheat ? :noel:
- Une petite astuze...
- Ok, Link machin, surveille les couloirs et appelle-nous quand tu entends quelqu'un arriver.
Neo toi tu viens avec moi.
- Ta bezoin de moi ?
- Ouais... :content:

Nous pénétrâmes alors avec prudence dans le bureau de Pascal.
Je fis signe à Neo d'approcher et je m'accoudai face à l'ordinateur.

- :bave: :content:
- Z'est pas le moment. :(
- Laisse-moi juste cinq minutes sur Youporn. :noel:
- ...
- Bon, ok... mais bordel, j'en peux plus ça fait quatre ans quoi ! :snif2:
- Que... Tu t'es pas branlé ?
- Non... que je suis pas allé sur internet. :noel:
- Eum... bon, pourquoi tu voulais que je viennes ?
- C'est possible de faire en sorte que le son qui provient de cet ordinateur ressorte par tous les hauts-parleurs du CISLA ?

Neo réfléchit quelques secondes, regarda les branchements et me répondit positivement.

- Ok, bonne nouvelle. :bave:
- Tu veux faire quoi ?
- Tu vas voir, maintenant pousses toi, je dois faire une annonce... pendant ce temps là fais tes branchements.
- Ok

Je m'approchai du micro, appuyai sur le bouton de marche et pris une grande inspiration.
Mon message devait directement déclencher une émeute, je n'avais pas le choix...
Si je faisais un bide tous les surveillants allaient accourir dans le bureau. :peur:
Je réfléchis quelques instants et me mis à sourire, j'avais trouvé. :content:

*clik* Chers amis, pour célébrer toutes vos années de bonne conduite, moi, Pascal, vous offre personnellement à chacun une Game Boy Color ainsi que tous les jeux que vous voulez.
Pour obtenir cette offre, venez juste me voir, je suis dans mon bureau, dépêchez-vous. *clik*

- Et hop' :content:
- Bordel mais z'était nul ! :ouch: On est repéré z'est zûr !
- Arrête de paniquer et fait ce que tu as à faire, ça va marcher.
- Z'est bon z'ai fini, qu'est-ze que tu veux faire ? :(
- Tu vas voir, laisses moi juste aller sur Youtube...

____


Manu, Grégoire et Eva attendaient depuis plus de 30 minutes derrière le bâtiment B.
Plusieurs fois ils avaient faillis se faire repérer et avaient évité le pire de justesse.
Ils n'en pouvaient plus et avaient presque failli abandonner pensant que E874 s'était fait choper.

- Bordel.. mais il fait kouuuuaaaaa ! :fou:
- Je sais pas, je crois que c'est foutu. :-(
- Manu... remontes dans ta cellule, je t'en supplies je ne veux pas que tu te fasses attraper. :snif2:
- Ouais... vaudrait peut-être mieux. =/

*clik* Chers amis, pour célébrer toutes vos années de bonne conduite, moi, Pascal, vous offre personnellement à chacun une Game Boy Color ainsi que tous les jeux que vous voulez.
Pour obtenir cette offre, venez juste me voir, je suis dans mon bureau, dépêchez-vous. *clik*

- Génial. :)
- Il a réussi !

Manu jubilait, ce message allait sûrement fonctionner.
Il s'empressa d'aller regarder les nolifes vers la cour et, effectivement, leurs réactions ne se fit pas attendre.

- KOOUUUAA ?
- YEAAAAAAH ! YEAAAAAAAHHH ! :snif2:
- OUAIS UNE GAME BOY !!!! :0
- POKEMON !!! é_é
- YEAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !
- OOOOOOOOHHHH YEEAAAAAHHH !!!
- OH OUAIS !
- GAME BOY !!!

*We're no strangers to love
You know the rules and so do I
A full commitment's what I'm thinking of
You wouldn't get this from any other guy*

*clik* CISLA HAS BEEN RICK ROLLED :noel: *clik*

*I just wanna tell you how I'm feeling
Gotta make you understand*

- C'est quoi ce truc ? Mais il déraille complètement Pascal ! :ouch:
- C'est pas moi, je suis là !

Pascal sortit en panique de la cafétéria.
C'était le chaos, tout le monde courait, mordait les infirmiers, certains arrivèrent à pénétrer dans les différents bâtiments.

- Vite ! Allez dans mon bureau quelqu'un s'est servi de mon micro pour faire cette fausse annonce !
- On doit rester ici monsieur !
- Ils sont trop nombreux !
- Mon dieu, qu'est-ce qu'on va faire ? :snif2:
- GAME BOOYYYYYYYYYY
- COLLLLOOOOOOORRR
- YEAAAAHHH !

* Never gonna give you up
Never gonna let you down
Never gonna run around and desert you*

Pascal se mit à paniquer.
Il avait toujours réussi à maintenir en place tout ces enfoiré de gosses !
Son centre était à présent complètement plongé dans le chaos...
Il fallait qu'il réagisse, c'est pourquoi il se dépêcha de prendre la direction de son bureau.

*Never gonna make you cry
Never gonna say goodbye
Never gonna tell a lie and hurt you*

____


Des vitres se brisèrent de tous les cotés, les nolifes hurlaient, les infirmiers avaient presque tous renoncé et étaient partis se cacher pour éviter de se faire tuer.
C'était l'anarchie la plus totale sous un fond sonore signé Rick Astley. :noel:

Manu, Grégoire et Eva suivirent toute la scène de leur cachette.
Le plan avait fonctionné comme prévu.

- C'est super !
- C'est quoi cette musique, j'aime bien! :fou: :noel:
- On n'a plus qu'à attendre E874. :)
- Ouais, il nous file son pass et on pourra enfin partir de cet endroit, c'est pas trop tôt.
- Il serait peut-être temps de me le dire ce plan. :noel:
- Pas encore Grégoire, pas encore...
- Ah, ils sont là ! :hap:

____


Après avoir mis le Rick Roll en boucle, je m'empressai de sortir du bureau avec Neo et Link.
Nous parcourûmes les couloirs à toute vitesse en croisant des hordes de nolifes qui couraient dans tous les sens, on se serait cru dans 28 jours plus tard. :noel:

Quelques escaliers plus tard nous arrivâmes enfin là où Grégoire, Manu et Eva nous attendaient.

- Tu as réussi. :ok:
- Bravo !
- C'était easy. :noel:
- Pourquoi t'as été si long ? :(
- J'ai eu un empêchement dans l'ascenseur...
- Il a tué un zurveillant.
- Encore ? Lequel ?
- Robert. :noel:
- ... merci, Chuck, merci. :snif:
- Ah bon, pourqu...
- ... Mais c'est quoi cette musique ? :noel:
- Je t'expliquerai une fois sortis d'ici. :)
- Salut Eva ! :hap:
- Ah... salut Neo. :rouge:
- Salut, toi, t'es qui ? :noel:
- Je suis Link, et je dois sauver la princesse Zelda. :fier:
- Nofake ? :bave:
- Bon, vous êtes prêts à sortir d'ici ? :(

Manu se mit à courir le premier et nous le suivirent.
Nous traversâmes toute la cour entre les différentes bagarres, les hurlements etc... dans l'émeute quoi. :noel:
Après quelques minutes nous arrivâmes enfin devant la porte qui représentait à ce moment là notre liberté.

- Nous y voilà, la salle des surveillant du rez-de-chaussée.
- Notre porte de sortie ! :coeur:
- OMAGAD mais c'est ici qu'ils vivent tous, on va se faire attraper ! :peur:
- Elle est vide Grégorio, voila le pourquoi de l'émeute. :noel:
- Ah... j'ai compris. :bave:
- Chuck, le pass ?
- Tiens...

*Bip Bip*

Nous entrâmes dans une grande pièce magnifique.
C'était une super salle à vivre, il y avait des couchettes, des douches, des jacuzzis, une énorme télé, des ordinateurs...
Le paradis, ces enfoirés vivaient dans un pur confort. :(

- Regardez ces gobelets de cafés pleins...
- ... ils ont tout laissé en plan pour faire face à l'émeute.
- Parfait. :bave:
- Bah alors, où c'est qu'elle est la sortie ? :noel:
- Aux toilettes.
- Quoi ?
- Z'est quoi zette histoire ?
- Eva et moi avons eu ce renseignement il y a quatre ans par un surveillant qui s'apprêtait à démissionner.
Ne supportant plus ce centre et la façon dont ils traitent les adolescents, il nous a renseigné en nous disant qu'il existait qu'une seule faille...
- ... une faille permis les centaines de systèmes de sécurité archi perfectionné. :ok:
- Les chiottes ? :noel:
- Le système d'évacuation des toilettes de ce niveau débouchent à 800 mètres de là, dans les champs...
- Ze le fais pas ! :ouch:
- Ok ben tu resteras ici. :noel:
- ... donc, on casse un chiotte et on creuse pendant 50 cm pour normalement tomber sur un tuyau de 90cm de diamètre.
- Assez pour passer à l'intérieur et ramper jusqu'à la sortie. :ok:
- DANS LA MERDE ? :noel:
- Merci de cette précision Grégoire, oui... dans la merde.
- Encore partant les payday ? :noel:
- Ramper dans la merde durant 800 métres... :malade:
- C'est la seule faille du CISLA, et il faut se dépêcher de creuser avant que l'émeute soit maitrisée et que les surveillants reviennent.
- Je zuppoze qu'on a pas le choix...
- À Hyrule pour faire caca nous creusons un trou et nous nous essuyons avec des feuilles fraîches provenant de l'arbre Mojo. :fier:

*give you up. give you up
give you up, give you up
never gonna give
never gonna give, give you up*

___


Pascal arriva en courant à son bureau, fou de rage.
Il avait tenté plusieurs fois de joindre Robert mais celui-ci ne répondait pas, d'ailleurs plus personne ne répondait.
Il avait totalement perdu le contrôle.

Complètement hors de lui il donna un énorme coup de pied à son ordinateur, arrêtant ainsi l'affreuse musique qui contaminait tout le centre.
Il s'enerva comme un porc, détruisant tous les meubles afin de trouver le coupable... et là il vit un message sur le mur qui été écrit au marqueur noir : "Owned Pascalounet :noel: "

"E874 ! <img src=("> "

Comment avait-il pu sortir de sa cellule ?
Il sortit de son bureau complétement ravagé par la colère, courus jusqu'à un ascenseur et monta en direction du 6ème étage.

Ce qu'il vit là haut lui retourna les sens, Robert et Romain avaient été tués et trois des cellules étaient ouvertes.
La cellule Pascal Obispo, la cellule Patrick Fiori et la cellule Tokio Hotel.
Comment était-ce possible ? :ouch:
Il n'aurait jamais du laisser cet étage à l'abandon avec si peu de surveillance... :-(

Certains nolifes de son centre étaient probablement en train de s'évader à ce moment là.
Il n'allait pas déclencher l'alerte... non, il allait en faire une affaire personnelle.

___


Au bout de quelques minutes acharnées, Manu, Grégoire, Neo et moi arrivèrent enfin à arracher le siège des toilettes de son socle.
En dessous il n'y avait rien d'autre qu'un petit tuyau et du carrelage.
Il fallait encore creuser quelques centimètres pour atteindre le gros tuyau principal.

- Avec quoi on creuse ? :(
- Avec des morceaux de toilette brisées.
- Et comment on le brise ?
- On prend un gravity gun et on le propulse contre un mur. :bave:
- Presque...

Manu attrapa le siège des toilettes et le jeta par terre.
La porcelaine explosa en milles morceaux sur le sol.
Il en attrapa un et nous le tendis.

- Ça c'est aussi tranchant qu'un lame de rasoir ! :)

Et il donna un énorme coup contre le carrelage le brisant instantanément, laissant apercevoir une couche de béton juste en dessous.

- Prenez chacun un morceau et tapez là-dedans !

*We're no strangers to love
You know the rules and...*

- Mince, la musique vient de s'arrêter. :mort:
- Pascal est au courant.
- Quoi ?
- J'ai laissé un mot dans son bureau. :content:
- Dépêchez-vous !
- Vite, allez !

Chacun prit son bout de porcelaine et frappa le sol d'un coup sec, le temps nous était compté.

____


Les racailles étaient aux anges dans tout ce bordel.
Il tapaient sur tout ce qui bouge que ce soit des nolifes ou des surveillants...

- Wesshhh trop boonnnn !
- vas y ! aaaaaah !
- Ta grand mère
- le fils de ton grand père
- wesh
- eh les mecs on s'évade pas alors ??
- si siiiii !
- ben i son pa venu ns voir !
- ben non
- merde on s'est fait baissé
- lé enculé !!
- dan se ca fo les dénonc !!!
- lol ouaiiii
- dans leur chatte a leur mere
- oué mai on denonc à ki ?
- wé putain c'est le davouaa !! lol
- chui sur cé fils de put de surveillant se sont baricadé dan leur super salle ! la ba !!!
- ah oué les put
- on va lé voi et on les dénonce lloooolll
- ouaaaiiiissssssss
- dan leur chatte !!

___


*BAM* PAF* BAOUM*

- Je le vois ! :0
- De quoi ?
- Le tuyau, là je le vois !

Un petit trou venait de se former dans le béton dégageant alors une odeur affreuse. :malade:

- Ok, vite cassez tout ce béton, il faut que le tuyau ressorte en entier !
- Ça pue du fion. :malade: :noel:

Après quelques minutes de labeur nous avions rapidement retiré tout le béton qui recouvrait le tuyau.
Il était alors parfaitement sortis du sol, il ne restais plus qu'a sauter à l'intérieur.
Gares aux claustrophobes. :noel:

- Bon ben qui passe en premier ? :noel:
- Ze propoze Eva. :hap:
- Merci... :-)
- :( ... Ok, Eva tu passes devant, moi je passe en dernier pour m'assurer que tout se passe bien.
- Non Manu, ne fais pas ça ! :snif:
- Moi je vais le faire. :noel:
- Jerry. :noel:
- Taggle Koupain, je vais attendre que tout le monde passe. :fier:
- Quel brave décision jeune compagnon. :-)
- Ooooh ! c'est vraiment courageux. :coeur:
- Bon, si c'est toi qui le veux... :( Eva tu passes la tête la première et tu avances tout droit.
- D'accord...
- Ne paniques pas, tu vas ressortir au bout de 800 mètres, même si c'est très long tu ne dois pas abandonner... et surtout ne fais pas attention à la merde et à l'odeur.
- Bon... quand faut y aller... :hap:

Eva prit une longue respiration, introduit sa tète dans le tuyau et se laissa glisser.
Elle disparut alors dans le sol...

Manu jeta quelques regards anxieux à l'intérieur, lança quelques mots d'encouragements à Eva puis se tourna vers nous.

- Alors, qui est le suivant ?
- Ben... :malade:
- C'est pas que j'ai pas envie mais là tout de suite non. :(
- Bon, j'y vais alors.

A son tour, Manu glissa dans l'énorme trou noir emboîtant ainsi le pas à Eva pendant que dehors, l'émeute battait son plein.

- Tout ça me rappelle une blague les gars. :noel:
- J'ai peur... :noel:
- Qu'est-ce qu'une merde dans un tuyau ? :noel:
- Ze sais pas...
- Un arabe à Aqualand. :noel:
- ... hum ...
- :hum:
- GG Grégoire. :noel:

- KOI KES TA DI ?????
- Ta grand mere !!!!!
- la chatte a ta mere vous vous échappiez sans nous !!!!!
- Sa raccceee !
- Ztes mort !

- Oups. :peur:
- Merde... la zalle est pas fermée. :(
- Salut les gars... on voulait bien vous emmener mais on a oublié. :hap:
- fermé vos gueules et laissez nous passé !
- Ouéééé
- zetes niké
- nous en sévade, lol !!!

Les racailles nous regardèrent alors avec un regard rempli de haine.(Comme d'hab quoi. :noel:)
Ce que nous devions faire sembla alors très évident au vus de leur nombre...
Nous les laissâmes donc emprunter un à un le passage tandis que Grégoire et moi commencèrent à barricader la porte avec des meubles.

- Sa sent komme la chatte à ta mere la dedans
- looool
- ziva
- weshhh
- lol

Après de précieuses minutes perdues, toutes les racailles avaient disparues dans le tuyau.
Il ne restait plus que Neo, Gregoire, Link et moi.

- Bordel putain de racailles !
- Vite on a perdu du temps à cause d'eux.
- Je me propose de passer le premier. :fier:
- Allez, magnes toi. :noel:

Link descendit dans le tuyau, ainsi que Neo juste derrière lui.
Je fis signe à Grégoire d'y aller juste après mais il ne me répondit pas, il avait l'air concentré.

- Alez Koupain, vasy ! :ok:
- Ok. :noel:

*BOUM BOUM BOUM *

La porte de la salle tremblait, quelqu'un s'acharnait dessus.
C'était Pascal.

- Laissez-moi rentrer !!!!!! <img src=(">
- Merde, on fait quoi ??! :peur:

Sous l'effet des battements, la porte commença à céder, ainsi que notre barricades de fortune.

- Vite, rentre là-dedans koupain. :noel:
- .. non, vas-y, je vais tenir la porte. :(
- Nan, vas-y je te dis, moi j'y vais !
- Ok...

Grégoire fonça jusqu'à la porte et s'y agrippa de toutes ses forces.
Moi, je m'empressai de renter dans le tuyau.
En tenant l'oreille je pouvais entendre les racailles discuter entres elles... Eva devait juste avoir atteind la sortie à présent. :(
Je pris une grand respiration et plongea la tête dans le cylindre.
C'était horrible. :malade:
Il y avait de la merde partout et ça sentait affreusement mauvais.

Je me laissai glisser doucement jusqu'à y passer mon corps entier.
Au bout de quelques mètres de chute verticale le tuyau tourna brusquement pour devenir parallèle au sole, je pouvais avancer en rampant.
C'était vraiment la pire expérience de ma vie...

___


La porte menaçait de céder.
Pascal tapait dessus comme un dératé, fou de rage.
Grégoire qui avait calé tout son corps contre la porte commençait sérieusement à flipper.
Il n'allait pas pouvoir tenir longtemps, il fallait qu'il se décide à lâcher prise et à partir...

- BANDE DE SALAUDS ! PERSONNE NE S'ÉCHAPPE DE MON CENTRE !
- :snif2:

Grégoire se concentra, fixa son objectif... et se lança.
Il lâcha la porte et se precipita vers le tuyau.
Il entendit alors la porte se fracasser derrière lui, il se mit à paniquer et sauta dans le trou.

Une fois à l'intérieur il put voir les pieds d'E874 au loin, il rampa de toutes ses forces...
il allait y arriver,il le devait.
Quand soudain...
Il sentit quelque chose lui agripper les pieds et le tirer en arrière.
Il paniqua s'agrippant alors aux parois métalliques de l'énorme tube... mais en vain.

Pascal tira Grégoire du tuyau de toutes ses forces et l'envoya valser avec une extrême violence.
Celui-ci atterit douloureusement sur le sol et rampa, essayant d'échapper à son agresseur.

- BANDES DE PETITS ENCULES !

Pascal saisit alors Grégoire par le cou et le plaqua contre un mur

- TOI, TU VAS AVOIR DE GROS ENNUIS.
- Owned. :snif2:

Pascal laissa tomber Grégoire qui commençait à suffoquer et essaya alors de renter dans le tuyau. Rien à faire, il était trop grand, il ne passait pas.

- MERDE ! MERDE !

*TOUT LE MONDE, ICI PASCAL, VOUS ÊTES LA ?*

Il dut attendre un petit moment avant qu'une réponse ne lui parvienne, l'émeute étant encore à son apogée.

*- Oui ? Monsieur Pascal c'est bien vous ? C'est le chaos ici, vous devez venir !
- Il y a plus grave, nous avons des évadés, je répété, des évadés, déclenchez l'alerte maximum.*

____


La nuit était magnifique ce soir là.
A environs 800 mètres du CISLA, dans un champ de blé, près d'un gigantesque arbre se trouvait une petite marre d'eaux usées où la pleine lune se reflétait.
Un énorme tuyau ressortait de la terre et l'alimentait constamment avec un mince filet d'eau.
Le visage d'Eva en sortit alors doucement, elle leva les yeux au ciel, pris une grand bouffée d'air et fit ressortir ses mains qui agrippèrent les rebords de l'énorme tube.
Elle se hissa alors à l'extérieur et tomba dans l'eau jusqu'aux genoux.

Elle se leva doucement, toussota et posa son regard sur le CISLA qu'elle pouvait apercevoir au loin. Un énorme brouhaha en provenait, l'émeute battait encore son plein.

Elle regarda le centre s'agiter au loin pendant quelques minutes en pensant à sa soudaine liberté quand quelqu'un l'enlaça...
Manu venait de sortir à son tour et pris Eva dans ses bras, ils étaient enfin libres.

Ils attendirent un petit moment avant de voir de nouveaux arrivants, et, avec surprise, c'est neuf racailles qui apparurent de sous la terre pour se laisser tomber dans l'eau boueuse.

- Il me semblait bien que je l'es avait entendus ceux là. :(
- Mais... qu'est ce que ? :-(
- wesssh loool
- owwnnneedd
- ptdr xD mdrr
- tro bien on é libre
- Qu'est ce qui s'est passé là bas ?
- ta mere fils de pute
- ta grand mere en slip loool
- mdrr
- mdrr on pu
- looool

Les racailles restèrent quelques instants à ce pavaner dans l'herbe et partir en courant, s'éloignant ainsi du CISLA pour disparaitre au loin dans la nuit.

Manu, inquiet, se précipita alors vers le tuyau pour y glisser sa tête, il souffla de soulagement quand ils vit Link arriver, suivit de prêt par Neo.
Ceux ci lui expliquèrent que les racailles étaient arrivés et les avaient doublés.

- Normalement nos deux amis vont arriver. :fier:
- Oui z'ai entendus du mouvement derrière moi.
- Ok.
- Restons ici pour accueillir nos fiers compagnons. :fier: :sournois:

____


Ce parcours était interminable.
Je ne sais pas combien de temps j'étais resté à l'intérieur de ce tuyau, mais c'est vraiment pas lol. :noel:
Je m'étais posé des question tout le long... je n'avais pas entendu Grégoire derrière moi.
Il s'était fait attrapé par Pascal... c'était sûr. :-(
Il l'avait bien cherché ce boulet avec son acte héroïque en mousse. :noel:

Quand j'aperçus enfin la nuit en face de moi j'eus un véritable spasme de bonheur. :bave:
J'accélérai alors mon rampage et, une fois à l'air libre, pris une énorme bouffé d'air frais.
La liberté... :content:
Enfin. :bave:

Eva, Manu, Neo et Link me regardèrent sortir et je me dirigeai vers eux, la mine triste.

- C'est bon, on a réussi, on peut partir.
- Et Grégoire ?
- Je... il s'est fait avoir. :-(
- ... de quoi ? :snif:
- Y avait Pascal qui est arrivé, Grégoire a essayé de le retenir mais je l'ai pas entendu me suivre, il s'est fait choper.
- Mince alors... :-(
- Il risque quoi ? :snif:
- Cher, très cher, je suis vraiment désolé pour lui.
- Il s'est sacrifié en héros. :noel:
- Du coup on fait quoi ?
- On peux ze zéparer.
- Excellente idée, je me barre les nazes. :noel: :cool:

*Viouuuuuuuu*
*VIIIUUUUUUUUU*

L'énorme sirène nous firent tous sursauter.
Son bruit strident provenait du CISLA, c'était comme les Tripod dans La Guerre des Mondes. :bave:
Kiffant mais Flippant. :noel:

- Courez, courez !!!
- Quoi ?

Manu attrapa la main d'Eva et il se mirent tout deux à partir dans la direction opposée au centre.

- Pascal a déclenché l'alerte !! On est repéré !
- Comment ça ?
- C'est l'alerte évasion du CISLA, la police va arriver du minutes à l'autre ! Eva, viens... dépêche-toi.

Ils s'enfuirent tous les deux complètement paniqués.

Je les regardai s'en aller et me tournai alors vers le CISLA, d'énormes projecteurs s'étaient allumés et éclairaient les environs.
Et le pire, au loin, vers la route, on pouvait apercevoir au moins une cinquantaine de voitures de police arriver.

- Merde.... :0 Allez les gars, il faut partir ! :peur:
- Nous nous partons, pas toi. :hap:

Link sortit un objet brillant de sa poche et le colla contre ma joue.

- Adieu ! :sournois:

*Shlak*

La tête de Link fut prise de nombreux tremblements, tandis que ses yeux me regardèrent d'un air absent. Neo avait lui aussi sorti une lame et l'avait planté dans le crâne de Link, sans que celui-ci ne voit rien venir.
C'était gore et brutal. :noel: :bave:

- Owned Zyborg, ze que tu ne zavais pas zé que c'est moi qui t'ai vendu au zurveillant il y a six ans pour qu'ils te foutent au zizième étage. :rire:
- Omagad, je comprends rien. :noel:
- E874, donne-moi ton fric.

Neo retira le couteau de la tête du pauvre kokiri et me menaça alors avec.

- Tu veux finir pareil que lui ? Ze te laize une zanche, file moi ton fric.
- Je ne vois pas de quoi tu veux parler. :noel:

Il fonça alors vers moi et m'enfonça sa lame dans le bide.
Je n'avais jamais ressenti une douleur aussi atroce. :0
Je m'écoulai au sol, crachant du sang et lançai de petits gémissements.
Ce salaud me fit alors les poches et il récupéra mon butin.

- On ne fait zamais de zales coups à Neo. Fallait pas m'envoyer au zizième étage, enculé ! <img src=))">

Il me jeta un regard rempli de haine et, à son tour s'enfuit pour échapper à la police.
J'étais seul au milieu du champ, me tenant le ventre en essayant de retenir le sang qui coulait.
Je me levai douloureusement et jetai un regard en direction du CISLA, j'eus un hic de peur.
Des centaines de voitures de police arrivèrent de tous les côtés, elles étaient à environ 2 minutes de là.

Je fis demi tour, regardai un point fixe dans l'horizon et courus le plus vite possible en me tenant le ventre. Les sirènes quant à elles s'approchaient de plus en plus derrière mon dos.

___


Maxime se leva difficilement.
Il avait passé la nuit dehors dans une petite ruelle.
Il avait du égorger un clochard pour lui voler son abri...
Oui, Maxime était un tueur.
Du moins officiellement depuis qu'il avait tué deux personnes en une journée.
Plus rien ne lui faisait peur, il avait perdu trop de gens de sa famille pour avoir la moindre compassion à présent.

Il se leva, et marcha dans la rue avec la capuche baissée.
Ses cernes faisaient peur à voir... Les gens changeaient de trottoir à son passage.

Un chose curieuse attira alors son attention.
Des dizaines de personne étaient regroupées devant un magasin de télévisions et regardaient les différentes télés de la vitrine.
Il s'approcha, et vit que c'était les informations, quelque chose d'important venait d'arriver.

"... si vous arrivez à l'instant sachez que plusieurs individus dangereux se sont échappés d'un centre spécialisé la nuit dernière. Je vous propose de revoir la déclaration de notre président qui a tenu à réagir directement après l'annonce de la nouvelle...."

"ces personnes, aussi dangereuses et dérangés soient-elles seront rapidement retrouvés.
Je m'engage personnellement à mettre en place tous les moyens possibles pour mettre un terme à leur cavale. Nous en avons deja attrapé huit d'entre eux durant la première nuit.
Je vous promets qu'avant la fin de la semaine ces personnes seront sous les verrous, car dès à présent, ce sont les personnes les plus recherchés de France."

"... Un discours qui se veut rassurant donc. Voici encore une fois le visage de ces cinq individus encore en liberté, si vous les avez aperçus veuillez le signaler en appelant le numéro affiché sur votre écran..."

Maxime n'en revenait pas.
Sur les photos qui venait de s'afficher il avait reconnu les deux êtres qu'il détestait le plus au monde.
D'abord l'ex-copain de sa sœur et, plus impressionnant encore, l'assassin de ses parents.
Il se souviendrait toujours de se visage et même des années après il le reconnut directement.

Maxime serra les poings...
Il allait retrouver chacun de ces fugitifs et les tuer un par un...jusqu'au dernier...
Ce fut sa promesse. La chasse à l'homme allait pouvoir commencer.


²²²²²²²²²

Fin de la seconde saison.

²²²²²²²²²


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